Mac sur un toit brûlant
édition l’Archipel – 340 pages.
Présentation de l’éditeur :
Chat kleptomane épris d’indépendance, MacGyver – le Cupidon félin – a le don de se fourrer dans des situations impossibles. Mais, lorsqu’il tombe sur une portée de quatre chatons orphelins, il fond. Pour ne pas les laisser livrés à eux-mêmes, Mac décide de s’occuper de ces petites boules de poil – le temps de trouver des humains qui les adopteront. Mais Mac, suspect n° 1 d’une série de larcins commis dans le voisinage, est assigné à résidence par ses maîtres Jamie et David – qui s’étaient rencontrés grâce à lui. Avec cinq chatons à caser – et deux matons à ses trousses –, notre matou a de quoi exercer sa sagacité légendaire. Sauf qu’une jolie minette croisée récemment lui fait perdre jusqu’à son sixième sens…
Mon avis :
La vie est dure pour Mac. Si, si. On a beau être un chat qui vit dans un beau quartier, qui mange largement et abondamment, qui se promènent quasiment comme il veut dans le quartier, sans que ses maîtres ne le sachent, on peut vivre des moments difficiles. La preuve : il découvre quatre chatons orphelins. Et il n’est absolument pour rien dans leur existence, David et Jaimie, ses maîtres, ont pris les précautions qui s’imposaient. S’occuper de chatons, c’est compliqué. Il faut les nourrir et pas forcément en chassant des souris, il semble ne pas y en avoir dans le quartier, les éduquer, ils ont tout à apprendre, ces petites bêtes, et les socialiser (tout un programme – un chat adulte fera toujours mieux qu’un humain, puisqu’il sait comment s’y prendre). L’un des personnages a cependant raison, quand il dit qu’un chat adulte peut tuer un chaton (ou le blesser grièvement). Mais un chat stérilisé peut aussi prendre soin de chatons qui ont besoin d’être éduqués (je pense à Chablis et ses trois chablettes) tout est une question de territoire.
J’ai beaucoup aimé tout ce qui avait trait à Mac, à Doggy, le colocataire chien de Mac et aux quatre chatons, Pitchou, Fripouille la bien nommée, Zoum et Sushi, j’ai aimé les explorations de Mac dans le voisinage, sa recherche du maître idéal en fonction de la personnalité des chatons, de sa quête, aussi, pour résoudre les problèmes des humains qu’il a croisés – et ils en ont, des problèmes, les pauvres, quand ils ne s’en créent pas eux-mêmes. J’ai moins aimé tout ce qui concernait les humains, finalement. Je me suis perdue avec Eric, le policier, et Serena, qui reprend sa carrière de comédienne. J’ai été moyennement intéressée, pour ne pas dire pas du tout, par les scènes d’audition ou de tournage – parce que ce n’est pas pour cette raison que j’avais envie de lire le livre. Heureusement, l’intrigue ne se contente pas de ronronner, et sort des sentiers battus – un peu. En revanche, j’ai trouvé plus intéressant ce qui avait trait à Daniel, le comédien en devenir de 35 ans et de son frère Marcus, ou de Charlie, assigné à résidence, humain parfait pour Pitchou – parce que les chatons s’invitent assez vite avec eux. Quant à Sushi et sa passion pour les sauterelles et les insectes, elle est débrouillarde, il faut bien le dire, si ce n’est que, parfois, manger n’importe quoi peu être dangereux (et ce n’est pas Chanel n°2 qui dira le contraire).
Mac sur un toit brûlant est le troisième tome de la série, et même si quelques allusions sont faites aux tomes précédents, il n’est pas nécessaire de les avoir lus pour suivre cette intrigue. Ne ratez pas l’épilogue, qui montrera le devenir des charmants chatons.
édition l’Archipel – 340 pages.
Présentation de l’éditeur :
Chat kleptomane épris d’indépendance, MacGyver – le Cupidon félin – a le don de se fourrer dans des situations impossibles. Mais, lorsqu’il tombe sur une portée de quatre chatons orphelins, il fond. Pour ne pas les laisser livrés à eux-mêmes, Mac décide de s’occuper de ces petites boules de poil – le temps de trouver des humains qui les adopteront. Mais Mac, suspect n° 1 d’une série de larcins commis dans le voisinage, est assigné à résidence par ses maîtres Jamie et David – qui s’étaient rencontrés grâce à lui. Avec cinq chatons à caser – et deux matons à ses trousses –, notre matou a de quoi exercer sa sagacité légendaire. Sauf qu’une jolie minette croisée récemment lui fait perdre jusqu’à son sixième sens…
Mon avis :
La vie est dure pour Mac. Si, si. On a beau être un chat qui vit dans un beau quartier, qui mange largement et abondamment, qui se promènent quasiment comme il veut dans le quartier, sans que ses maîtres ne le sachent, on peut vivre des moments difficiles. La preuve : il découvre quatre chatons orphelins. Et il n’est absolument pour rien dans leur existence, David et Jaimie, ses maîtres, ont pris les précautions qui s’imposaient. S’occuper de chatons, c’est compliqué. Il faut les nourrir et pas forcément en chassant des souris, il semble ne pas y en avoir dans le quartier, les éduquer, ils ont tout à apprendre, ces petites bêtes, et les socialiser (tout un programme – un chat adulte fera toujours mieux qu’un humain, puisqu’il sait comment s’y prendre). L’un des personnages a cependant raison, quand il dit qu’un chat adulte peut tuer un chaton (ou le blesser grièvement). Mais un chat stérilisé peut aussi prendre soin de chatons qui ont besoin d’être éduqués (je pense à Chablis et ses trois chablettes) tout est une question de territoire.
J’ai beaucoup aimé tout ce qui avait trait à Mac, à Doggy, le colocataire chien de Mac et aux quatre chatons, Pitchou, Fripouille la bien nommée, Zoum et Sushi, j’ai aimé les explorations de Mac dans le voisinage, sa recherche du maître idéal en fonction de la personnalité des chatons, de sa quête, aussi, pour résoudre les problèmes des humains qu’il a croisés – et ils en ont, des problèmes, les pauvres, quand ils ne s’en créent pas eux-mêmes. J’ai moins aimé tout ce qui concernait les humains, finalement. Je me suis perdue avec Eric, le policier, et Serena, qui reprend sa carrière de comédienne. J’ai été moyennement intéressée, pour ne pas dire pas du tout, par les scènes d’audition ou de tournage – parce que ce n’est pas pour cette raison que j’avais envie de lire le livre. Heureusement, l’intrigue ne se contente pas de ronronner, et sort des sentiers battus – un peu. En revanche, j’ai trouvé plus intéressant ce qui avait trait à Daniel, le comédien en devenir de 35 ans et de son frère Marcus, ou de Charlie, assigné à résidence, humain parfait pour Pitchou – parce que les chatons s’invitent assez vite avec eux. Quant à Sushi et sa passion pour les sauterelles et les insectes, elle est débrouillarde, il faut bien le dire, si ce n’est que, parfois, manger n’importe quoi peu être dangereux (et ce n’est pas Chanel n°2 qui dira le contraire).
Mac sur un toit brûlant est le troisième tome de la série, et même si quelques allusions sont faites aux tomes précédents, il n’est pas nécessaire de les avoir lus pour suivre cette intrigue. Ne ratez pas l’épilogue, qui montrera le devenir des charmants chatons.