LE CHAGRIN
Notes, édité chez Gallimard en septembre 2021
112 pages
Résumé
Comment dire adieu à un être cher alors que le monde entier est frappé par une crise sanitaire, que le défunt repose au Nigeria et que ses enfants sont bloqués en Angleterre et aux États-Unis ? Le père de Chimamanda Ngozi Adichie vient de mourir. Séparée de ses proches, cette dernière vit un deuil empêché et solitaire. Elle écrit alors sous la forme de courts chapitres, composés comme des soubresauts de chagrin et de rage, où l'amour et l'admiration qu'elle portait à son père explosent à chaque page. James Nwoye Adichie a traversé plusieurs époques de l'histoire du Nigeria. S'il a transmis la culture et la langue igbos à ses enfants, essentielles à l'œuvre de l'autrice, il s'est aussi élevé contre certaines traditions de son pays. En partageant des anecdotes familiales simples et touchantes, Chimamanda Ngozi Adichie rend hommage au professeur émérite de l'université du Nigeria, mais surtout au père humble et affectueux qu'il était, son "dadounet originel ». La perte se voit ainsi transcendée par l'amour et la transmission.
Mon ressenti
Magnifique, poignant, les mots d’une très grande dame pour dire au revoir à son père, pour décrire la douleur, les affres des regrets et de l’impuissance, de la colère, de la tristesse.
Si vous ne connaissez pas le talent de Chimamanda, c’est le moment. Ces mots font mouches et échos à certaines de nos peines ou décès vécus. Un très beau texte où l’émotion coule de source.
Un coup de cœur
A découvrir
Notes, édité chez Gallimard en septembre 2021
112 pages
Résumé
Comment dire adieu à un être cher alors que le monde entier est frappé par une crise sanitaire, que le défunt repose au Nigeria et que ses enfants sont bloqués en Angleterre et aux États-Unis ? Le père de Chimamanda Ngozi Adichie vient de mourir. Séparée de ses proches, cette dernière vit un deuil empêché et solitaire. Elle écrit alors sous la forme de courts chapitres, composés comme des soubresauts de chagrin et de rage, où l'amour et l'admiration qu'elle portait à son père explosent à chaque page. James Nwoye Adichie a traversé plusieurs époques de l'histoire du Nigeria. S'il a transmis la culture et la langue igbos à ses enfants, essentielles à l'œuvre de l'autrice, il s'est aussi élevé contre certaines traditions de son pays. En partageant des anecdotes familiales simples et touchantes, Chimamanda Ngozi Adichie rend hommage au professeur émérite de l'université du Nigeria, mais surtout au père humble et affectueux qu'il était, son "dadounet originel ». La perte se voit ainsi transcendée par l'amour et la transmission.
Mon ressenti
Magnifique, poignant, les mots d’une très grande dame pour dire au revoir à son père, pour décrire la douleur, les affres des regrets et de l’impuissance, de la colère, de la tristesse.
Si vous ne connaissez pas le talent de Chimamanda, c’est le moment. Ces mots font mouches et échos à certaines de nos peines ou décès vécus. Un très beau texte où l’émotion coule de source.
Un coup de cœur
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