Les thés meurtriers d’Oxford, tome 2 : Beau thé fatal
édition City - 298 pages.
Présentation de l’éditeur :
Lors d’un cocktail à Oxford, Gemma Rose, propriétaire d’un salon de thé, entend une conversation inquiétante quelques minutes avant qu’une étudiante de l’université ne meure empoisonnée. Simple coïncidence ? Et le nouveau conjoint de sa meilleure amie Cassie pourrait-il être impliqué ? Gemma décide de mener sa propre enquête, aidée par les vieilles commères de son village de l’Oxfordshire et par son ancien amour d’université, l’inspecteur Devlin O’Connor. Mais sa mère fait du grabuge dans le charmant salon de thé anglais de Gemma, sa meilleure amie est furieuse de la voir fouiner… et ce mystère s’avère plus intriqué qu’un bretzel au chocolat ! Gemma réalise un peu tard qu’elle pourrait bien être la prochaine sur la liste du tueur. Sauf si sa petite chatte tigrée, Muesli, parvient à la sauver.
Mon avis :
Mais qu’est-ce qu’ils ont tous ? Ou plutôt, qu’est-ce qu’elles ont toutes ? J’ai l’impression que toutes les héroïnes de cosy mystery plaquent tout pour ouvrir soit un salon de thé soit un restaurant. J’ai l’impression qu’il ne me reste plus qu’à faire la même chose – non, pas tout plaquer et ouvrir un salon de thé, tout plaquer et écrire un roman où l’on ouvre un salon de thé.
Pour revenir à l’intrigue, elle est, à mes yeux, des plus classiques, pour ne pas dire qu’elle contient quelques clichés. Par exemple, Gemma est toujours plus ou moins amoureuse de Devlin, son premier amour. C’est elle qui a refusé de l’épouser, non qu’elle ne l’aimait pas, mais parce que ses parents s’étaient opposés à son union avec quelqu’un qui n’était pas de leur milieu social. Qu’il lui en veuille (un peu), qu’il la chambre en lui demandant si elle obéit toujours à ses parents, eh bien, c’est de bonne guerre. Et quand il lui dit de réserver le rôle d’enquêteur aux professionnels, je serai très tentée de le soutenir.
Celles que j’ai préférées, ce sont les vieilles commères d’Oxford, un quatuor de vieilles dames bien décidées à enquêter, elles qui ont été témoin de la mort de Sarah, elles qui sont presque persuadées de connaître la coupable. Elles sont créatives, prennent des risques, et même si elles sont les reines du potin (oui, encore un cliché), je les ai trouvées très intéressantes. Elles sont toujours prêtes à donner un coup de main, et pas seulement pour enquêter : quel meilleur endroit pour faire le plein de potins qu’un salon de thé ?
Revenons aux choses sérieuse : une étudiante a été tuée ! Empoisonnée, même. Comme c’est souvent le cas dans les romans policiers, la victime ne manquait pas de personnes qui la détestaient. En fait, chercher quelqu’un qui l’appréciait demande nettement plus de temps ! Mais qui a pu franchir le pas et se débarrasser d’elle de manière aussi machiavélique – en effet, le poison est pour moi l’arme des lâches, puisqu’il évite la confrontation directe avec la personne que l’on veut supprimer. L’enquête sera menée de manière minutieuse, même si elle ne sera pas forcément facile – il est tant de personnes qui ont des choses à cacher, et qui ne sont pas nécessairement coupables.
Je terminerai par la mention de Muesli, adorable chatte adoptée par Gemma. Elle me donne à elle seule l’envie de poursuivre cette série.
édition City - 298 pages.
Présentation de l’éditeur :
Lors d’un cocktail à Oxford, Gemma Rose, propriétaire d’un salon de thé, entend une conversation inquiétante quelques minutes avant qu’une étudiante de l’université ne meure empoisonnée. Simple coïncidence ? Et le nouveau conjoint de sa meilleure amie Cassie pourrait-il être impliqué ? Gemma décide de mener sa propre enquête, aidée par les vieilles commères de son village de l’Oxfordshire et par son ancien amour d’université, l’inspecteur Devlin O’Connor. Mais sa mère fait du grabuge dans le charmant salon de thé anglais de Gemma, sa meilleure amie est furieuse de la voir fouiner… et ce mystère s’avère plus intriqué qu’un bretzel au chocolat ! Gemma réalise un peu tard qu’elle pourrait bien être la prochaine sur la liste du tueur. Sauf si sa petite chatte tigrée, Muesli, parvient à la sauver.
Mon avis :
Mais qu’est-ce qu’ils ont tous ? Ou plutôt, qu’est-ce qu’elles ont toutes ? J’ai l’impression que toutes les héroïnes de cosy mystery plaquent tout pour ouvrir soit un salon de thé soit un restaurant. J’ai l’impression qu’il ne me reste plus qu’à faire la même chose – non, pas tout plaquer et ouvrir un salon de thé, tout plaquer et écrire un roman où l’on ouvre un salon de thé.
Pour revenir à l’intrigue, elle est, à mes yeux, des plus classiques, pour ne pas dire qu’elle contient quelques clichés. Par exemple, Gemma est toujours plus ou moins amoureuse de Devlin, son premier amour. C’est elle qui a refusé de l’épouser, non qu’elle ne l’aimait pas, mais parce que ses parents s’étaient opposés à son union avec quelqu’un qui n’était pas de leur milieu social. Qu’il lui en veuille (un peu), qu’il la chambre en lui demandant si elle obéit toujours à ses parents, eh bien, c’est de bonne guerre. Et quand il lui dit de réserver le rôle d’enquêteur aux professionnels, je serai très tentée de le soutenir.
Celles que j’ai préférées, ce sont les vieilles commères d’Oxford, un quatuor de vieilles dames bien décidées à enquêter, elles qui ont été témoin de la mort de Sarah, elles qui sont presque persuadées de connaître la coupable. Elles sont créatives, prennent des risques, et même si elles sont les reines du potin (oui, encore un cliché), je les ai trouvées très intéressantes. Elles sont toujours prêtes à donner un coup de main, et pas seulement pour enquêter : quel meilleur endroit pour faire le plein de potins qu’un salon de thé ?
Revenons aux choses sérieuse : une étudiante a été tuée ! Empoisonnée, même. Comme c’est souvent le cas dans les romans policiers, la victime ne manquait pas de personnes qui la détestaient. En fait, chercher quelqu’un qui l’appréciait demande nettement plus de temps ! Mais qui a pu franchir le pas et se débarrasser d’elle de manière aussi machiavélique – en effet, le poison est pour moi l’arme des lâches, puisqu’il évite la confrontation directe avec la personne que l’on veut supprimer. L’enquête sera menée de manière minutieuse, même si elle ne sera pas forcément facile – il est tant de personnes qui ont des choses à cacher, et qui ne sont pas nécessairement coupables.
Je terminerai par la mention de Muesli, adorable chatte adoptée par Gemma. Elle me donne à elle seule l’envie de poursuivre cette série.