La cité des squelettes
Gulfstream éditeur – 179 pages.
Présentation de l’éditeur :
Salut ! Moi, c’est Jacinthe. J’adore raconter ma vie même si, le plus souvent, seul mon chien Ventouse m’écoute.
Mais cette fois, c’est le truc le plus fou que tu entendras dans ta vie. Mes parents et moi, on vient d’emménager à la Cité des Squelettes. Et elle porte très bien son nom, crois-moi !
Mes voisins sont de véritables squelettes, bien vivants, faits d’os… et d’os.
Je te vois venir : les squelettes, on les trouve sous terre ou bien en déco pour Halloween. Ici, ils sont professeurs, musiciens, boulangers, écoliers… et sont même victimes de vol.
Lorsqu’on accuse mon gros toutou, je perds patience : qui que soit le responsable, il aura désormais Jacinthe Matagot-Pantoute à ses trousses !
Mon avis :
Voici le premier tome des aventures de Jacinthe et de Ventouse, aventures qui, à ce jour, en comportent trois. Oui, je m’intéresse davantage à Ventouse qu’aux parents de Jacinthe. Oui, ils font des métiers très originaux, qui les amènent à déménager fréquemment, mais je n’ai pas été très intéressée ni par le personnage du père, ni par celui de la mère, québécoise de son état (avec quelques clichés) et danseuse de flamenco.
Ventouse, lui, c’est quelque chose. Il est du surnaturel dans cette bête, et je me demande si, au cours d’un des volumes, on ne découvrira pas qu’il est un extraterrestre ! Or, voici que toute la famille a aménagé dans la cité des squelettes, et ce n’est pas qu’un nom, ce sont véritablement des squelettes qui y vivent !!! Quand des os disparaissent (oui, des os qui appartiennent à des squelettes vivants, si j’ose dire), il est le premier à être soupçonné ! Jacinthe enquête, elle n’a pas le choix !
Que découvrira-t-elle ? Non, je ne le révèlerai pas, je dirai simplement que l’histoire est bien conçue, surprenante, et utilise toutes les possibilités nées de ce cadre et de ces personnages atypiques, dont le gentil Casper Cubitus, ou Joris, le meilleur ami de Jacinthe qui a beau être un humain « normal », se retrouve être tout de même très différent des héros traditionnels de littérature jeunesse.
Gulfstream éditeur – 179 pages.
Présentation de l’éditeur :
Salut ! Moi, c’est Jacinthe. J’adore raconter ma vie même si, le plus souvent, seul mon chien Ventouse m’écoute.
Mais cette fois, c’est le truc le plus fou que tu entendras dans ta vie. Mes parents et moi, on vient d’emménager à la Cité des Squelettes. Et elle porte très bien son nom, crois-moi !
Mes voisins sont de véritables squelettes, bien vivants, faits d’os… et d’os.
Je te vois venir : les squelettes, on les trouve sous terre ou bien en déco pour Halloween. Ici, ils sont professeurs, musiciens, boulangers, écoliers… et sont même victimes de vol.
Lorsqu’on accuse mon gros toutou, je perds patience : qui que soit le responsable, il aura désormais Jacinthe Matagot-Pantoute à ses trousses !
Mon avis :
Voici le premier tome des aventures de Jacinthe et de Ventouse, aventures qui, à ce jour, en comportent trois. Oui, je m’intéresse davantage à Ventouse qu’aux parents de Jacinthe. Oui, ils font des métiers très originaux, qui les amènent à déménager fréquemment, mais je n’ai pas été très intéressée ni par le personnage du père, ni par celui de la mère, québécoise de son état (avec quelques clichés) et danseuse de flamenco.
Ventouse, lui, c’est quelque chose. Il est du surnaturel dans cette bête, et je me demande si, au cours d’un des volumes, on ne découvrira pas qu’il est un extraterrestre ! Or, voici que toute la famille a aménagé dans la cité des squelettes, et ce n’est pas qu’un nom, ce sont véritablement des squelettes qui y vivent !!! Quand des os disparaissent (oui, des os qui appartiennent à des squelettes vivants, si j’ose dire), il est le premier à être soupçonné ! Jacinthe enquête, elle n’a pas le choix !
Que découvrira-t-elle ? Non, je ne le révèlerai pas, je dirai simplement que l’histoire est bien conçue, surprenante, et utilise toutes les possibilités nées de ce cadre et de ces personnages atypiques, dont le gentil Casper Cubitus, ou Joris, le meilleur ami de Jacinthe qui a beau être un humain « normal », se retrouve être tout de même très différent des héros traditionnels de littérature jeunesse.