La guerre des robots
SF
188 pages édité au fleuve noir en 1966
Résumé
La
Terre et Mars sont dirigés par deux informaticiens roboticiens des
Supercybs, qui quoique amis ont des divergences quant à l'attribution de
l'exploitation du satellite Epsilon. Pourtant des liens vont bientôt
réunir ces deux familles...
Sur Terre, dans chaque famille, on se
réjouit d'assister au défilé traditionnel des robots domestiques et
professionnels. Mais voilà que les robots se rebellent ! Ne serait ce
pas la faute des martiens ?
Mon ressenti
C’est
une histoire intéressante et qui pose les bases des grandes réflexions
de l’humanité autour des robots : prennent-ils la place de l’homme ? Si
le robot travaille à la place de l’homme, que va faire celui-ci ? à ne
plus réfléchir, ne risque-t-on pas de devenir moins intelligent ?…
Dans
la société que décrit le livre, ils ont poussé le bouchon un peu plus
loin : il y a même des nourrices robots, des éducateurs (parents au sens
large) qui élèvent nos chères têtes blondes ! et je ne vous dis pas le
reste… La population de la terre a tellement explosée, qu’une colonie
est partie sur Mars. Deux mondes avec des terriens, fait par des
terriens… et bien même issu du même peuple, ils trouvent le moyen de ne
pas être d’accord. Bon vous allez me dire que c’est facile, même à notre
époque, on se bat parfois pour des motifs plus futiles que ceux évoqués
dans le livre…
Et bien , il faudra s’unir encore une fois pour
faire face à l’adversité, qui n’est autre les robots qui se révoltent et
refusent de faire ce qu’on leur demande… sous prétexte qu’ils ne sont
pas des esclaves, et qu’ils veulent eux aussi des égards, du repos, des
loisirs… et pourquoi pas des RTT tant que nous y sommes… !!!!
Derrière
ce côté très improbable, autour de nombreux rebondissements, l’auteur
utilise cette métaphore pour aborder la traditionnelle lutte des hommes
dans l’obtention de toujours plus de richesses, d’avoir mieux que
l’autre, sa course effrénée vers un ailleurs sans voir ce qui se passe
autour de lui… C’est un texte sympathique mais qui parfois s’enfonce
dans une certaine lenteur.
Il ne faut pas bouder son plaisir.
SF
188 pages édité au fleuve noir en 1966
Résumé
La
Terre et Mars sont dirigés par deux informaticiens roboticiens des
Supercybs, qui quoique amis ont des divergences quant à l'attribution de
l'exploitation du satellite Epsilon. Pourtant des liens vont bientôt
réunir ces deux familles...
Sur Terre, dans chaque famille, on se
réjouit d'assister au défilé traditionnel des robots domestiques et
professionnels. Mais voilà que les robots se rebellent ! Ne serait ce
pas la faute des martiens ?
Mon ressenti
C’est
une histoire intéressante et qui pose les bases des grandes réflexions
de l’humanité autour des robots : prennent-ils la place de l’homme ? Si
le robot travaille à la place de l’homme, que va faire celui-ci ? à ne
plus réfléchir, ne risque-t-on pas de devenir moins intelligent ?…
Dans
la société que décrit le livre, ils ont poussé le bouchon un peu plus
loin : il y a même des nourrices robots, des éducateurs (parents au sens
large) qui élèvent nos chères têtes blondes ! et je ne vous dis pas le
reste… La population de la terre a tellement explosée, qu’une colonie
est partie sur Mars. Deux mondes avec des terriens, fait par des
terriens… et bien même issu du même peuple, ils trouvent le moyen de ne
pas être d’accord. Bon vous allez me dire que c’est facile, même à notre
époque, on se bat parfois pour des motifs plus futiles que ceux évoqués
dans le livre…
Et bien , il faudra s’unir encore une fois pour
faire face à l’adversité, qui n’est autre les robots qui se révoltent et
refusent de faire ce qu’on leur demande… sous prétexte qu’ils ne sont
pas des esclaves, et qu’ils veulent eux aussi des égards, du repos, des
loisirs… et pourquoi pas des RTT tant que nous y sommes… !!!!
Derrière
ce côté très improbable, autour de nombreux rebondissements, l’auteur
utilise cette métaphore pour aborder la traditionnelle lutte des hommes
dans l’obtention de toujours plus de richesses, d’avoir mieux que
l’autre, sa course effrénée vers un ailleurs sans voir ce qui se passe
autour de lui… C’est un texte sympathique mais qui parfois s’enfonce
dans une certaine lenteur.
Il ne faut pas bouder son plaisir.