Les identités meurtrières
Auteur: Amin Maalouf
Edition: Livre de poche
Pages: 187
Genre: essai
4ème de couverture:
Que signifie le besoin d'appartenance collective, qu'elle soit culturelle, religieuse ou nationale ?
Pourquoi ce désir, en soi légitime, conduit-il si souvent à la peur de l'autre et à sa négation ?
Nos sociétés sont-elles condamnées à la violence sous prétexte que tous les êtres n'ont pas la même langue, la même foi ou la même couleur ?
Né au confluent de plusieurs traditions, le romancier du Rocher de Tanios (prix Goncourt 1993) puise dans son expérience personnelle, aussi bien que dans l'histoire, l'actualité ou la philosophie, pour interroger cette notion cruciale d'identité. Il montre comment, loin d'être donnée une fois pour toutes, l'identité est une construction qui peut varier. Il en dénonce les illusions, les pièges, les instrumentations. Il nous invite à un humanisme ouvert qui refuse à la fois l'uniformisation planétaire et le repli sur la "tribu".
Mon avis:
Amin Maalouf nous donne dans ce livre matière à réfléchir...
Il nous fait partagé son point de vue, qui me semble tellement correcte, et tellement logique, que je me suis demandée pourquoi tant de personnes ne parvenaient pas à le partager...
Il nous parle de la notion d'identité, de la (l' in)tolérance, la mondialisation, l'acculturation,..., en illustrant le tout par des exemples, des faits historiques, actuels,...
Je pourrais discourir longtemps sur les fondements de ce livre, mais je ne souhaite pas entrer dans un discours politique.
Je m'en tiendrai donc au coté "superficiel" du livre.
J'ai été littéralement subjuguée par l’habilité d'Amin Maalouf à manier les mots comme il le fait.
J'en suis encore toute émoustillée...
Comment parvient-il, alors que ce n'est pas sa langue maternelle, à écrire de manière si "poétique"?
Je l'admire beaucoup pour ça...
Et pour bien d'autre chose!
Bref, si vous vous intéressez sur la notion d'identité, sur ce qui fait que nous sommes nous, sur la tolérance,... Lisez ce livre!
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Auteur: Amin Maalouf
Edition: Livre de poche
Pages: 187
Genre: essai
4ème de couverture:
Que signifie le besoin d'appartenance collective, qu'elle soit culturelle, religieuse ou nationale ?
Pourquoi ce désir, en soi légitime, conduit-il si souvent à la peur de l'autre et à sa négation ?
Nos sociétés sont-elles condamnées à la violence sous prétexte que tous les êtres n'ont pas la même langue, la même foi ou la même couleur ?
Né au confluent de plusieurs traditions, le romancier du Rocher de Tanios (prix Goncourt 1993) puise dans son expérience personnelle, aussi bien que dans l'histoire, l'actualité ou la philosophie, pour interroger cette notion cruciale d'identité. Il montre comment, loin d'être donnée une fois pour toutes, l'identité est une construction qui peut varier. Il en dénonce les illusions, les pièges, les instrumentations. Il nous invite à un humanisme ouvert qui refuse à la fois l'uniformisation planétaire et le repli sur la "tribu".
Mon avis:
Amin Maalouf nous donne dans ce livre matière à réfléchir...
Il nous fait partagé son point de vue, qui me semble tellement correcte, et tellement logique, que je me suis demandée pourquoi tant de personnes ne parvenaient pas à le partager...
Il nous parle de la notion d'identité, de la (l' in)tolérance, la mondialisation, l'acculturation,..., en illustrant le tout par des exemples, des faits historiques, actuels,...
Je pourrais discourir longtemps sur les fondements de ce livre, mais je ne souhaite pas entrer dans un discours politique.
Je m'en tiendrai donc au coté "superficiel" du livre.
J'ai été littéralement subjuguée par l’habilité d'Amin Maalouf à manier les mots comme il le fait.
J'en suis encore toute émoustillée...
Comment parvient-il, alors que ce n'est pas sa langue maternelle, à écrire de manière si "poétique"?
Je l'admire beaucoup pour ça...
Et pour bien d'autre chose!
"Depuis que j'ai quitté le Liban pour m'installer en France, que de fois m'a-t-on demandé, avec les meilleures intentions du monde, si je me sentais 'plutôt français' ou 'plutôt libanais'. Je réponds invariablement : 'L' un et l'autre !' Non par quelque souci d'équilibre ou d'équité, mais parce qu'en répondant différemment, je mentirais. Ce qui fait que je suis moi-même et pas un autre, c'est que je suis ainsi à la lisière de deux pays, de deux ou trois langues, de plusieurs traditions culturelles. C'est précisément cela qui défini mon identité. Serais-je plus authentique si je m'amputais d'une partie de moi même?"
Bref, si vous vous intéressez sur la notion d'identité, sur ce qui fait que nous sommes nous, sur la tolérance,... Lisez ce livre!
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