Genre littéraire : Roman historique
Titre : La scribe
Auteur : Antonio Garrido
Nombre de pages : 633
Editeur : Le livre de poche
Résumé
Franconie, an 799, à la veille du sacre de Charlemagne. Fille d’un célèbre scribe byzantin, Theresa est apprentie parcheminière. Un drame l’oblige à quitter sa ville et à se réfugier dans la cité abbatiale de Fulda. Là, elle devient la scribe du moine Alcuin d’York, véritable Sherlock Holmes en robe de bure, qu’elle assiste dans ses enquêtes. Mais elle découvre que, dans sa fuite, elle a emporté à son insu un précieux parchemin qui pourrait bien sceller l’avenir de la chrétienté... À travers les aventures de Theresa, La Scribe évoque une page décisive du christianisme au Moyen Âge. Coups de théâtre et rebondissements se succèdent dans ce passionnant roman historique, qui mêle personnages fictifs et personnages ayant réellement existé.
Mon appréciation
Je pensais lire un roman historique comme le résumé semble l’indiquer. Après la fin de cette lecture, je me rends compte que l’histoire passe vraiment au second plan.
L’histoire repose sur un manuscrit qui pourrait, s’il était découvert dans de vils mains mettre un terme à la chrétienté occidentale au profit d’une reconnaissance de cette même chrétienté dans les pays orientaux sous fond de grains de céréales « empoisonnés » qui décimeraient les personnes ayant connaissance de ce fameux parchemin.
Evidemment tout cela fait penser à une autre intrigue historique bien connue du grand public « le nom de la rose ». Le lecteur retrouve tous les éléments de cet autre fameux roman mais il déchante rapidement tant la comparaison ne peut se faire que sur l’histoire du roman en lui-même. N’est pas Umberto Eco le premier venu, voilà ce que je retiens.
Bref, beaucoup de déception, quant à la lecture de ce roman. Ca semble déjà lu et revisité mais mal recomposé. Intrigue intéressante mais qui ne transporte pas le lecteur dans le récit. Beaucoup de répétitions, beaucoup de longueurs inutiles. Ennuyant (n’ayant pas peur des mots) par moment.
Roman applaudit par la critique et best-sellers, pour moi, il n’aurait fait qu’un petit passage médiocre dans mes découvertes littéraires. Très moyen.
Ma note : 5/10
Titre : La scribe
Auteur : Antonio Garrido
Nombre de pages : 633
Editeur : Le livre de poche
Résumé
Franconie, an 799, à la veille du sacre de Charlemagne. Fille d’un célèbre scribe byzantin, Theresa est apprentie parcheminière. Un drame l’oblige à quitter sa ville et à se réfugier dans la cité abbatiale de Fulda. Là, elle devient la scribe du moine Alcuin d’York, véritable Sherlock Holmes en robe de bure, qu’elle assiste dans ses enquêtes. Mais elle découvre que, dans sa fuite, elle a emporté à son insu un précieux parchemin qui pourrait bien sceller l’avenir de la chrétienté... À travers les aventures de Theresa, La Scribe évoque une page décisive du christianisme au Moyen Âge. Coups de théâtre et rebondissements se succèdent dans ce passionnant roman historique, qui mêle personnages fictifs et personnages ayant réellement existé.
Mon appréciation
Je pensais lire un roman historique comme le résumé semble l’indiquer. Après la fin de cette lecture, je me rends compte que l’histoire passe vraiment au second plan.
L’histoire repose sur un manuscrit qui pourrait, s’il était découvert dans de vils mains mettre un terme à la chrétienté occidentale au profit d’une reconnaissance de cette même chrétienté dans les pays orientaux sous fond de grains de céréales « empoisonnés » qui décimeraient les personnes ayant connaissance de ce fameux parchemin.
Evidemment tout cela fait penser à une autre intrigue historique bien connue du grand public « le nom de la rose ». Le lecteur retrouve tous les éléments de cet autre fameux roman mais il déchante rapidement tant la comparaison ne peut se faire que sur l’histoire du roman en lui-même. N’est pas Umberto Eco le premier venu, voilà ce que je retiens.
Bref, beaucoup de déception, quant à la lecture de ce roman. Ca semble déjà lu et revisité mais mal recomposé. Intrigue intéressante mais qui ne transporte pas le lecteur dans le récit. Beaucoup de répétitions, beaucoup de longueurs inutiles. Ennuyant (n’ayant pas peur des mots) par moment.
Roman applaudit par la critique et best-sellers, pour moi, il n’aurait fait qu’un petit passage médiocre dans mes découvertes littéraires. Très moyen.
Ma note : 5/10