ENTRE DEUX MERS, VOYAGE AU BOUT DE SOI
Récit édité au livre de poche en mars 2016
264 pages
Résumé
Au printemps 2014, Alex Kahn s’est une nouvelle fois lancé dans une traversée de la France en diagonale. De la côte atlantique (la pointe du Raz en Bretagne) à la côte méditerranéenne (Menton).
Ce périple diffère du premier, en 2013, par la difficulté de l’épreuve physique. Le généticien de renom a parcouru, souvent en dehors des sentiers balisés, 2 057 km, gravi 43 000 m... et autant en descente ! Un « voyage au bout de soi ».
Les régions arpentées cette année-là lui sont apparues moins éprouvées par les crises que celles de son précédent circuit, leur dynamisme mieux conservé et semblant aller de pair avec l'attachement des habitants à l'identité de leurs territoires.
Comme Pensées en chemin, Entre deux mers est un récit de voyage passionnant, celui d'un marcheur épris de beauté et d’humanité. Le témoignage d’Alex Kahn est riche de réflexions politiques sur la France réelle – celle des gens –, ses difficultés, mais aussi ses atouts et ses espoirs.
Mon ressenti
C’est avec plaisir que j’ai chaussé mes lunettes et installée confortablement pour faire la plus longue marche que je n’ai jamais faite et découvrir avec ce grand randonneur, les sentiers, les paysages, parfois les routes et user quelques chaussures.
C’est un plaisir de lire son périple même si parfois il y a quelques longueurs ou redites. J’ai découvert pas mal de paysage, de flore, d’animaux. J’aurai aimé croiser un peu plus de monde et m’attarder un peu plus sur ces rencontres mais l’objectif passait avant tout 2000 km en 2 mois et demi de la Pointe du Raz en Bretagne jusqu’à Menton. Et puis, il y a aussi la douleur, la souffrance il faut bien le dire… les pieds en prennent un coup, dormir dehors, subir les intempéries…. Mais pour les coups de blues, il y a la douceur avec « Norman » ou « princesse mascotte », une pouliche en peluche comme un doudou.
En tout cas, cela donne envie de chausser ses chaussures de rando, de prendre son baluchon, ses bâtons et d’oser faire plus que mes quelques kilomètres… se dépasser un peu plus !
Récit édité au livre de poche en mars 2016
264 pages
Résumé
Au printemps 2014, Alex Kahn s’est une nouvelle fois lancé dans une traversée de la France en diagonale. De la côte atlantique (la pointe du Raz en Bretagne) à la côte méditerranéenne (Menton).
Ce périple diffère du premier, en 2013, par la difficulté de l’épreuve physique. Le généticien de renom a parcouru, souvent en dehors des sentiers balisés, 2 057 km, gravi 43 000 m... et autant en descente ! Un « voyage au bout de soi ».
Les régions arpentées cette année-là lui sont apparues moins éprouvées par les crises que celles de son précédent circuit, leur dynamisme mieux conservé et semblant aller de pair avec l'attachement des habitants à l'identité de leurs territoires.
Comme Pensées en chemin, Entre deux mers est un récit de voyage passionnant, celui d'un marcheur épris de beauté et d’humanité. Le témoignage d’Alex Kahn est riche de réflexions politiques sur la France réelle – celle des gens –, ses difficultés, mais aussi ses atouts et ses espoirs.
Mon ressenti
C’est avec plaisir que j’ai chaussé mes lunettes et installée confortablement pour faire la plus longue marche que je n’ai jamais faite et découvrir avec ce grand randonneur, les sentiers, les paysages, parfois les routes et user quelques chaussures.
C’est un plaisir de lire son périple même si parfois il y a quelques longueurs ou redites. J’ai découvert pas mal de paysage, de flore, d’animaux. J’aurai aimé croiser un peu plus de monde et m’attarder un peu plus sur ces rencontres mais l’objectif passait avant tout 2000 km en 2 mois et demi de la Pointe du Raz en Bretagne jusqu’à Menton. Et puis, il y a aussi la douleur, la souffrance il faut bien le dire… les pieds en prennent un coup, dormir dehors, subir les intempéries…. Mais pour les coups de blues, il y a la douceur avec « Norman » ou « princesse mascotte », une pouliche en peluche comme un doudou.
En tout cas, cela donne envie de chausser ses chaussures de rando, de prendre son baluchon, ses bâtons et d’oser faire plus que mes quelques kilomètres… se dépasser un peu plus !