LE BAGNE D'EDENIA
SF édité au Fleuve Noir en 1975
224 pages
Résumé
Ed Tand, jeune lieutenant astronaute, est condamné à vingt ans de bagne stellaire pour trafic de « Phim », drogue mystérieuse apparue depuis quelques mois sur les planètes de l'Union Terrienne.
Sur Edenia, les prisonniers doivent chasser les « mantes », monstrueux insectes qui attaquent avec férocité les hommes.
Là-bas, Ed Tand comprendra qu'il a été victime d'une machination sordide et il Jure de se verger de tous ceux qui l'on fait injustement condamner.
L'arrivée des « Xuls », envahisseurs venus d'une autre galaxie, lui permettra-t-il de s'évader et de tenir son serment d'implacable vengeance ?
Mon ressenti
Un très bon moment de lecture et une découverte intéressante : au travers de la condamnation du jeune lieutenant Ed Tand pour le bagne, l'auteur rend hommage à un grand auteur d'un autre temps Dumas Alexandre. Ed Tand n'est pas sans rappeler le célèbre Edmond Dantes.
Le livre se dévore tout comme les mantes dévorent les prisonniers qui s'éloignent un peu trop du droit chemin. J'ai adoré.
A découvrir
SF édité au Fleuve Noir en 1975
224 pages
Résumé
Ed Tand, jeune lieutenant astronaute, est condamné à vingt ans de bagne stellaire pour trafic de « Phim », drogue mystérieuse apparue depuis quelques mois sur les planètes de l'Union Terrienne.
Sur Edenia, les prisonniers doivent chasser les « mantes », monstrueux insectes qui attaquent avec férocité les hommes.
Là-bas, Ed Tand comprendra qu'il a été victime d'une machination sordide et il Jure de se verger de tous ceux qui l'on fait injustement condamner.
L'arrivée des « Xuls », envahisseurs venus d'une autre galaxie, lui permettra-t-il de s'évader et de tenir son serment d'implacable vengeance ?
Mon ressenti
Un très bon moment de lecture et une découverte intéressante : au travers de la condamnation du jeune lieutenant Ed Tand pour le bagne, l'auteur rend hommage à un grand auteur d'un autre temps Dumas Alexandre. Ed Tand n'est pas sans rappeler le célèbre Edmond Dantes.
Le livre se dévore tout comme les mantes dévorent les prisonniers qui s'éloignent un peu trop du droit chemin. J'ai adoré.
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