La jurée
Seuil Policiers - 1995 - 460 pages
Résumé :
Annie Laird est jurée dans un procès dont l'accusé, Louie Boffano, parrain de la mafia new-yorkaise, est accusé de meurtre.
Mon avis :
Histoire éculée que celle du juré suborné pour diriger le jury vers un verdict favorable à l'accusé. Annie a un fils, Oliver, 13 ans, qu'elle élève seule. Les menaces se porteront sur elle, certes, mais aussi sur le fiston.
Cela aurait pu, malgré tout faire un bon livre ou, du moins, un livre intéressant, malheureusement, plouf, à côté et pas qu'un peu. Ceci étant il faut dire que des histoires de ce genre j'en ai lu quelques unes. Alors, forcément, au fil du temps on devient de plus en plus exigeant. Néanmoins n'est pas Grisham qui veut et on ne s'invente pas auteur de polars juridiques en se levant le matin et en se regardant devant son miroir en se rasant.
Dire que je n'ai pas aimé, n'exagérons pas, La jurée fait partie de la part d'ombre de notre mémoire, l'endroit de l'oubli :
Ah, oui ! p't'être bien que je l'ai lu mais je n'en garde aucun souvenir.
C'est bien résumé, pour moi s'entend, sinon écriture agréable mais plate comme une bière sans bulle et sans mousse, intrigue cousue de fil blanc : oui, Madame vous avez fait vot'part de boulot, mais comprenez dans la nature vous pouvez causer, alors on est bien obligé de vous supprimer, vous pouvez comprendre ? Non, comme c'est dommage. Le petit ? Aussi, bien sûr.
L'auteur essaie bien d'entretenir un semblant de suspense, il n'y parvient pas.
La fuite d'Annie (je me suis posé la question de savoir si elle aimait les sucettes, mystère !) au Guatemala ne donne rien de plus au bouquin, dommage c'est un beau pays le Guatemala, enfin j'imagine, pasque moi plus loin que Ronchin, connais pas, bref même pas, loupé le Guatemala, pas de description d'oiseaux plein de plumes multicolores, de zindiens néant, plat comme déjà dit.
On trouve beaucoup mieux sur le marché !
Pour un livre payé 2€, je suis on ne peu plus déçu, na!
Seuil Policiers - 1995 - 460 pages
Résumé :
Annie Laird est jurée dans un procès dont l'accusé, Louie Boffano, parrain de la mafia new-yorkaise, est accusé de meurtre.
Mon avis :
Histoire éculée que celle du juré suborné pour diriger le jury vers un verdict favorable à l'accusé. Annie a un fils, Oliver, 13 ans, qu'elle élève seule. Les menaces se porteront sur elle, certes, mais aussi sur le fiston.
Cela aurait pu, malgré tout faire un bon livre ou, du moins, un livre intéressant, malheureusement, plouf, à côté et pas qu'un peu. Ceci étant il faut dire que des histoires de ce genre j'en ai lu quelques unes. Alors, forcément, au fil du temps on devient de plus en plus exigeant. Néanmoins n'est pas Grisham qui veut et on ne s'invente pas auteur de polars juridiques en se levant le matin et en se regardant devant son miroir en se rasant.
Dire que je n'ai pas aimé, n'exagérons pas, La jurée fait partie de la part d'ombre de notre mémoire, l'endroit de l'oubli :
Ah, oui ! p't'être bien que je l'ai lu mais je n'en garde aucun souvenir.
C'est bien résumé, pour moi s'entend, sinon écriture agréable mais plate comme une bière sans bulle et sans mousse, intrigue cousue de fil blanc : oui, Madame vous avez fait vot'part de boulot, mais comprenez dans la nature vous pouvez causer, alors on est bien obligé de vous supprimer, vous pouvez comprendre ? Non, comme c'est dommage. Le petit ? Aussi, bien sûr.
L'auteur essaie bien d'entretenir un semblant de suspense, il n'y parvient pas.
La fuite d'Annie (je me suis posé la question de savoir si elle aimait les sucettes, mystère !) au Guatemala ne donne rien de plus au bouquin, dommage c'est un beau pays le Guatemala, enfin j'imagine, pasque moi plus loin que Ronchin, connais pas, bref même pas, loupé le Guatemala, pas de description d'oiseaux plein de plumes multicolores, de zindiens néant, plat comme déjà dit.
On trouve beaucoup mieux sur le marché !
Pour un livre payé 2€, je suis on ne peu plus déçu, na!