Lîle des gauchers
Roman
Résumé
Dans un archipel du Pacifique
Sud ignoré des géographes, l'île des Gauchers abrite une population où
les droitiers ne sont plus que l'exception.
Mais là n'est pas le plus
important. Cette minuscule société, fondée par des utopistes français
en 1885, s'est donné pour but de répondre à une colossale question :
comment fait-on pour aimer ? Sur cette terre australe, le couple a cessé
d'être un enfer. C'est l'endroit du monde où l'on trouve, entre les
hommes et les femmes, les rapports les plus tendres. Voilà ce que vient
chercher, dans l'île des Gauchers, lord Jeremy Cigogne.
A trente-huit
ans, cet aristocrate anglais enrage de n'avoir jamais su convertir sa
passion pour sa femme Emily en amour véritable. A trop vouloir demeurer
son amant, il n'a pas su devenir un mari.
Mon ressenti
Une histoire sympathique au demeurant mais dans laquelle très vite, je
me suis pas sentie à l’aise. J’ai mis du temps à comprendre pourquoi,
car il n’y a pas de cadavre à tout va, ni démembrement… bref ce n’est
pas un thriller, c’est un roman qui pose la question de comment aimer
son conjoint en tant que mari ou femme, à différencier d’être son amant…
Peut-on aimer quelqu’un de la même manière en étant son amant, son
mari, son homme… (l’inverse est valable aussi..). J’ai suivi donc Mr
Cigogne dans sa soif d’aimer sa femme correctement et de la connaître…
Ils vont donc sur l’île des gauchers, monde où tout semble à l’envers
mais pour le meilleur des mondes, à l’inverse du monde des droitiers…
Un
peu fleur bleue, il y a donc un peu naïvement, une course engagée pour
trouver le véritable amour pour faire en sorte que ce couple et surtout
madame soit combler… Monsieur va donc subir une multitude d’épreuves
réelles ou symboliques, pendant que Madame va pouvoir le mettre à
l’épreuve en se laissant courtiser par d’autres… adultère, jalousie,
court après moi que je t’attrape, construction de la maison, le silence
dans le couple, routine, voyage…. Les chapitres courts se succèdent
rapidement en me laissant un certain malaise…
J’ai tilté sur la
fin… en fait le personnage de la femme m’énerve, elle suit, subit, se
laisse porter, et joue à la petite innocente… bref, une femme qui est à
des années lumière de ce que je peux être… et puis je ne conçois pas le
couple comme étant uniquement la responsabilité de monsieur… un couple
c’est deux personnes… Le livre ne montre que les efforts de monsieur qui
met tout au pied de sa belle …
Bref, si l’idée de départ me
semblait intéressante, la lecture en fut décevante… même si cela reste
du domaine de la fable, je n’ai pas été séduite… Je préfère de loin me
battre que d’attendre…
A vous de voir
Roman
Résumé
Dans un archipel du Pacifique
Sud ignoré des géographes, l'île des Gauchers abrite une population où
les droitiers ne sont plus que l'exception.
Mais là n'est pas le plus
important. Cette minuscule société, fondée par des utopistes français
en 1885, s'est donné pour but de répondre à une colossale question :
comment fait-on pour aimer ? Sur cette terre australe, le couple a cessé
d'être un enfer. C'est l'endroit du monde où l'on trouve, entre les
hommes et les femmes, les rapports les plus tendres. Voilà ce que vient
chercher, dans l'île des Gauchers, lord Jeremy Cigogne.
A trente-huit
ans, cet aristocrate anglais enrage de n'avoir jamais su convertir sa
passion pour sa femme Emily en amour véritable. A trop vouloir demeurer
son amant, il n'a pas su devenir un mari.
Mon ressenti
Une histoire sympathique au demeurant mais dans laquelle très vite, je
me suis pas sentie à l’aise. J’ai mis du temps à comprendre pourquoi,
car il n’y a pas de cadavre à tout va, ni démembrement… bref ce n’est
pas un thriller, c’est un roman qui pose la question de comment aimer
son conjoint en tant que mari ou femme, à différencier d’être son amant…
Peut-on aimer quelqu’un de la même manière en étant son amant, son
mari, son homme… (l’inverse est valable aussi..). J’ai suivi donc Mr
Cigogne dans sa soif d’aimer sa femme correctement et de la connaître…
Ils vont donc sur l’île des gauchers, monde où tout semble à l’envers
mais pour le meilleur des mondes, à l’inverse du monde des droitiers…
Un
peu fleur bleue, il y a donc un peu naïvement, une course engagée pour
trouver le véritable amour pour faire en sorte que ce couple et surtout
madame soit combler… Monsieur va donc subir une multitude d’épreuves
réelles ou symboliques, pendant que Madame va pouvoir le mettre à
l’épreuve en se laissant courtiser par d’autres… adultère, jalousie,
court après moi que je t’attrape, construction de la maison, le silence
dans le couple, routine, voyage…. Les chapitres courts se succèdent
rapidement en me laissant un certain malaise…
J’ai tilté sur la
fin… en fait le personnage de la femme m’énerve, elle suit, subit, se
laisse porter, et joue à la petite innocente… bref, une femme qui est à
des années lumière de ce que je peux être… et puis je ne conçois pas le
couple comme étant uniquement la responsabilité de monsieur… un couple
c’est deux personnes… Le livre ne montre que les efforts de monsieur qui
met tout au pied de sa belle …
Bref, si l’idée de départ me
semblait intéressante, la lecture en fut décevante… même si cela reste
du domaine de la fable, je n’ai pas été séduite… Je préfère de loin me
battre que d’attendre…
A vous de voir