LE LIÈVRE DE MON GRAND-PÈRE
Nouvelle classique édité au serpent à plumes en mars 2008
187 pages
Résumé
Un homme raconte l'histoire de son grand-père, Jérôme Palan, un brave homme qui a deux passions : la science qui l'a rendu impie, et la chasse... Un jour, il tue accidentellement le garde-chasse. Il s'apprête à cacher le corps lorsqu'il aperçoit un immense lièvre aux yeux de braise assis sur le cadavre. Cette vision va le mener à sa perte... Le Lièvre de mon grand-père mêle le fantastique et le burlesque pour le plus grand plaisir du lecteur : saint Hubert, le saint des chasseurs, la forêt et ses habitants y occupent une place importante. Sur la même thématique, Les Chasses du comte de Foix met en scène Gaston Phébus, les forêts du Béarn et une partie de chasse sous le signe du surnaturel. Deux contes de Dumas pour faire redécouvrir ce pan de son œuvre encore méconnu.
Mon ressenti
Contes sympathiques qui allient fantastique et burlesque comme aime faire Dumas. Passionné de chasse et de bonnes chaires, Dumas n’a pas toujours le temps de s’y rendre. Il doit écrire, encore écrire pour payer ses dettes. C’est donc un ami qui raconte et lui qui met en mots. Les contes se lisent facilement et le lecteur est porté par la simplicité et le plaisir qui s’en dégage. Le fantastique est amené petit à petit et l’histoire reste crédible.
Dans le lièvre de mon grand-père, c’est son impiété plutôt que son crime qui aura raison du héros. Ce lièvre immense hantera notre homme jusqu’à sa mort pour expier somme toute ses défauts : égoïsme, remord, orgueil.
Dans les chasses du comte de Foix à l’époque médiévale, là encore il est question faute à expier, de remord, dans un décor féérique avec une laie fantastique, un ours dont le squelette se transforme en squelette d’homme…
A découvrir
Nouvelle classique édité au serpent à plumes en mars 2008
187 pages
Résumé
Un homme raconte l'histoire de son grand-père, Jérôme Palan, un brave homme qui a deux passions : la science qui l'a rendu impie, et la chasse... Un jour, il tue accidentellement le garde-chasse. Il s'apprête à cacher le corps lorsqu'il aperçoit un immense lièvre aux yeux de braise assis sur le cadavre. Cette vision va le mener à sa perte... Le Lièvre de mon grand-père mêle le fantastique et le burlesque pour le plus grand plaisir du lecteur : saint Hubert, le saint des chasseurs, la forêt et ses habitants y occupent une place importante. Sur la même thématique, Les Chasses du comte de Foix met en scène Gaston Phébus, les forêts du Béarn et une partie de chasse sous le signe du surnaturel. Deux contes de Dumas pour faire redécouvrir ce pan de son œuvre encore méconnu.
Mon ressenti
Contes sympathiques qui allient fantastique et burlesque comme aime faire Dumas. Passionné de chasse et de bonnes chaires, Dumas n’a pas toujours le temps de s’y rendre. Il doit écrire, encore écrire pour payer ses dettes. C’est donc un ami qui raconte et lui qui met en mots. Les contes se lisent facilement et le lecteur est porté par la simplicité et le plaisir qui s’en dégage. Le fantastique est amené petit à petit et l’histoire reste crédible.
Dans le lièvre de mon grand-père, c’est son impiété plutôt que son crime qui aura raison du héros. Ce lièvre immense hantera notre homme jusqu’à sa mort pour expier somme toute ses défauts : égoïsme, remord, orgueil.
Dans les chasses du comte de Foix à l’époque médiévale, là encore il est question faute à expier, de remord, dans un décor féérique avec une laie fantastique, un ours dont le squelette se transforme en squelette d’homme…
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