La Servante écarlate
Résumé :
Defred est en quelque sorte un bien national, à elle seule une entreprise de salubrité publique. En ces temps de dénatalité galopante, elle a dû mettre au service de la République de Gilead, sont attribut le plus précieux : sa matrice. Et c'est avec un sentiment mal réprimé de révolte qu'elle offre son corps comme toutes les femmes en âge de procréer, aux privilégiés en mal de progéniture.
Vêtue d'écarlate, à l'exception des voiles blancs de sa cornette, elle accomplit sa tâche comme une somnambule. Doit-elle céder à la révolte, tenter de tromper le système ? A ce jeu-là, elle a déjà tant perdu : son mari et sa fille lui ont été arrachés.
Le soir, Defred regagne sa chambre à l'austérité monacale. Là elle laisse affluer ses souvenirs. Elle songe au temps où les femmes avaient le droit de lire, d'échanger des confidences, de dépenser de l'argent, d'avoir un travail, un nom, des amants...
C'était le temps où l'amour était au centre de tout.
L'amour, cette chose si douce aujourd'hui punie de mort.
Saluée partout comme une œuvre majeure, la servante écarlate est l'un des plus grands succès littéraires des dix dernières années aux États-Unis, au Canada et en Angleterre. La société répressive qu'y évoque Margaret Atwood n'est pas sans rappeler 1984 d'Orwell : un monde si proche du nôtre qu'il paraît en être issu. Mais au-delà de cette magistrale création d'un monde, c'est la question du rôle et de l'avenir des femmes -libres ou soumises- que pose avec force, ce roman fascinant.
Mon avis :
J'ai trouvé ce livre intéressant, mais je n'ai pas tout compris. En effet, dès le début, on est perdu. On ne sait pas à quelle époque on est, ni dans quel pays exactement. On s'attache à Defred, dont on ne sait rien. J'étais pressée d'arriver à la fin du livre, pour comprendre, et en fait, je n'ai pas plus compris. Ce livre m'a désorienté... Je ne l'ai pas trop aimé...
Résumé :
Defred est en quelque sorte un bien national, à elle seule une entreprise de salubrité publique. En ces temps de dénatalité galopante, elle a dû mettre au service de la République de Gilead, sont attribut le plus précieux : sa matrice. Et c'est avec un sentiment mal réprimé de révolte qu'elle offre son corps comme toutes les femmes en âge de procréer, aux privilégiés en mal de progéniture.
Vêtue d'écarlate, à l'exception des voiles blancs de sa cornette, elle accomplit sa tâche comme une somnambule. Doit-elle céder à la révolte, tenter de tromper le système ? A ce jeu-là, elle a déjà tant perdu : son mari et sa fille lui ont été arrachés.
Le soir, Defred regagne sa chambre à l'austérité monacale. Là elle laisse affluer ses souvenirs. Elle songe au temps où les femmes avaient le droit de lire, d'échanger des confidences, de dépenser de l'argent, d'avoir un travail, un nom, des amants...
C'était le temps où l'amour était au centre de tout.
L'amour, cette chose si douce aujourd'hui punie de mort.
Saluée partout comme une œuvre majeure, la servante écarlate est l'un des plus grands succès littéraires des dix dernières années aux États-Unis, au Canada et en Angleterre. La société répressive qu'y évoque Margaret Atwood n'est pas sans rappeler 1984 d'Orwell : un monde si proche du nôtre qu'il paraît en être issu. Mais au-delà de cette magistrale création d'un monde, c'est la question du rôle et de l'avenir des femmes -libres ou soumises- que pose avec force, ce roman fascinant.
Mon avis :
J'ai trouvé ce livre intéressant, mais je n'ai pas tout compris. En effet, dès le début, on est perdu. On ne sait pas à quelle époque on est, ni dans quel pays exactement. On s'attache à Defred, dont on ne sait rien. J'étais pressée d'arriver à la fin du livre, pour comprendre, et en fait, je n'ai pas plus compris. Ce livre m'a désorienté... Je ne l'ai pas trop aimé...