RETROUVAILLES
Roman
308 pages Edité chez actes Sud en septembre 2012
Résumé
Veronica croit connaître son frère, et pourtant, le jour où elle apprend qu'il s'est jeté dans l'océan, elle s'aperçoit qu'elle en sait très peu sur lui. Dans de fébriles nuits d'écriture, elle capte et recompose les images du passé pour comprendre. Dans leur famille nombreuse, il n'est pas le premier à souffrir. Quel rôle Eros joue-t-il dans ces destins de pertes et de retrouvailles ? Parlant d'amour et de déception, de désirs forts et de frustration, ce roman a été distingué, en 2007, par le prestigieux Booker Prize. Il appartient à cette tradition irlandaise qui marie savoir-faire littéraire et franc-parler fougueux.
Biographie de l'auteur : Née à Dublin en 1962, Anne Enright a été d'abord actrice et productrice de télévision avant de se consacrer entièrement à la littérature. Ses livres, récompensés par de nombreux prix, explorent les relations familiales, l'amour et la sexualité, et les difficultés liées à l'histoire de l'Irlande. Chez Actes Sud elle a publié Le Choc de la maternité (2008), Retrouvailles (2009) et La Valse oubliée (2012).
Mon ressenti
J’ai eu du mal à entrer dans ce livre et à trouver ma vitesse de croisière (peut-être ce n’était pas le bon moment de le lire pour moi). J’ai trouvé les propos confus, une difficulté à repérer les différents personnages et surtout les temps mêlant passé et aujourd’hui sans avertissement.
Cependant, je me suis accrochée et au final, j’ai apprécié l’écriture et l’histoire. Ce qui n’empêche pas qu’il faudra que je le relise car je suis certainement passée à côté de beaucoup de chose…
Est-ce qu’une famille nombreuse est le gage d’une famille heureuse ? Et si tous ces flash-back avaient comme but de faire ressortir la violence des souvenirs et des non-dits des secrets ? La narratrice raconte et va à la rencontre d’elle-même, c’est sa souffrance qu’elle crie. La famille d’origine n’est pas toujours synonyme d’amour, elle (l’auteur) aborde alors ce qui fait les liens filiaux, les liens conjugaux, les liens maternels et paternels, les liens fraternels.
Le deuil qui frappe cette famille, cette sœur, est une crise qui va remettre en perspective bon de nombres de souvenirs. Le souvenir malgré notre vécu identique dans une famille, nous n’avons pas le même, alors où est la réalité, où est la vérité… qu’est-ce qui fait que nous pouvons dans une même famille être si différent et prendre des chemins diamétralement opposés : s’épanouir dans sa vie ou collectionner les échecs et les addictions ?
Un livre sur une rencontre, sur des possibles et une renaissance …
Roman
308 pages Edité chez actes Sud en septembre 2012
Résumé
Veronica croit connaître son frère, et pourtant, le jour où elle apprend qu'il s'est jeté dans l'océan, elle s'aperçoit qu'elle en sait très peu sur lui. Dans de fébriles nuits d'écriture, elle capte et recompose les images du passé pour comprendre. Dans leur famille nombreuse, il n'est pas le premier à souffrir. Quel rôle Eros joue-t-il dans ces destins de pertes et de retrouvailles ? Parlant d'amour et de déception, de désirs forts et de frustration, ce roman a été distingué, en 2007, par le prestigieux Booker Prize. Il appartient à cette tradition irlandaise qui marie savoir-faire littéraire et franc-parler fougueux.
Biographie de l'auteur : Née à Dublin en 1962, Anne Enright a été d'abord actrice et productrice de télévision avant de se consacrer entièrement à la littérature. Ses livres, récompensés par de nombreux prix, explorent les relations familiales, l'amour et la sexualité, et les difficultés liées à l'histoire de l'Irlande. Chez Actes Sud elle a publié Le Choc de la maternité (2008), Retrouvailles (2009) et La Valse oubliée (2012).
Mon ressenti
J’ai eu du mal à entrer dans ce livre et à trouver ma vitesse de croisière (peut-être ce n’était pas le bon moment de le lire pour moi). J’ai trouvé les propos confus, une difficulté à repérer les différents personnages et surtout les temps mêlant passé et aujourd’hui sans avertissement.
Cependant, je me suis accrochée et au final, j’ai apprécié l’écriture et l’histoire. Ce qui n’empêche pas qu’il faudra que je le relise car je suis certainement passée à côté de beaucoup de chose…
Est-ce qu’une famille nombreuse est le gage d’une famille heureuse ? Et si tous ces flash-back avaient comme but de faire ressortir la violence des souvenirs et des non-dits des secrets ? La narratrice raconte et va à la rencontre d’elle-même, c’est sa souffrance qu’elle crie. La famille d’origine n’est pas toujours synonyme d’amour, elle (l’auteur) aborde alors ce qui fait les liens filiaux, les liens conjugaux, les liens maternels et paternels, les liens fraternels.
Le deuil qui frappe cette famille, cette sœur, est une crise qui va remettre en perspective bon de nombres de souvenirs. Le souvenir malgré notre vécu identique dans une famille, nous n’avons pas le même, alors où est la réalité, où est la vérité… qu’est-ce qui fait que nous pouvons dans une même famille être si différent et prendre des chemins diamétralement opposés : s’épanouir dans sa vie ou collectionner les échecs et les addictions ?
Un livre sur une rencontre, sur des possibles et une renaissance …