Éditions: Le Dilettante
Pages: 217
Roman contemporain
Deuxième de couverture
Anna Gavalda est née en 1970 en région parisienne, où elle vit toujours. Je l'aimais est son premier roman.
- ...Car vois-tu Chloé, ma vie, toute ma vie est comme ce poing serré. Je suis là, devant toi, dans cette cuisine. J'ai 65 ans. Je ne ressemble à rien. Je suis ce vieux con que tu secouais tout à l'heure. Je n'ai rien compris, je ne suis jamais monté au 6e étage. J'ai eu peur de mon ombre et me voilà maintenant, me voilà devant l'idée de ma mort et ... Non, je t'en prie, ne m'interromps pas... Pas maintenant. Laisse-moi ouvrir ce poing. Un tout petit peu.
Je nous resservais à boire.
- Je vais commencer par le plus injuste, le plus cruel... C'est-à-dire, toi...
Mon avis
J'ai commencé la lecture de ce livre croyant que ce serait l'histoire de Chloé (que son mari Adrien vient de quitter) et de ses deux filles.
Le beau-père de Chloé, Pierre, décide de l'éloigner et l'emmène à sa résidence secondaire.
Le livre se lit bien et là ou je suis restée bien surprise c'est que Pierre raconte sa vie à Chloé, un homme qui a vécu selon son époque et surtout qui a pris ses décisions en pensant au "Qu'en dira t'on ?
Je ne peux dire que j'ai adoré mais je n'ai pas détesté, ce n'est pas le genre de lecture qui me fait dire que je vais lire tous les livres de cette auteure. Pourtant, il n'y a pas de longueur mais il me manquait ce petit quelque chose qui fait que je ne peux arrêter de lire sans être arrivée à la dernière page.
Ma note: