Quatrième de couverture :
Ils sont trois oursons, nés sous des cieux différents. Kallik vit sur la banquise, qui fond chaque jour davantage. Toklo grandit dans une forêt abîmée par les hommes. Lusa, enfermée dans un zoo, rêve d’explorer le monde sauvage. Ils n’auraient jamais dû se rencontrer, et pourtant… Leur quête pour un monde meilleur ne fait que commencer !
Mon avis :
Quand j’ai vu qu’Erin Hunter commençait une nouvelle saga, je me suis laissée tenter. Je n’aurai peut-être pas dû. Les intrigues sont plus faciles à suivre que la guerre des clans, car les personnages sont moins nombreux. Ou plutôt, ils disparaissent plus rapidement, à mon grand regret : certains avaient un potentiel qui aurait gagné à être développé.
L’action se passe entre les États-Unis et le Canada, comme le prouve la carte qui ouvre ce volume. Nous trouvons trois oursons, nés dans des milieux différents : sur la banquise (Kallik, son frère et sa mère), dans les forêts (Toklo, accompagné de son frère et de sa mère) ou dans un zoo (Lusa, accompagnée, vous l’aurez compris, de son frère et de sa mère). Note : il n’est pas toujours utile d’avoir un frère.
Je reste partagée, le mode de vie des ours est, me semble-t-il, bien mis en valeur. De l’autre, l’anthropomorphisme des ourses, notamment vis à vis de leurs oursons, m’a dérangé, alors que je n’ai pas ressenti ce souci avec La guerre des clans (qui, je le rappelle, mettait en scène des chats). Comme le récit est partagé entre les trois personnages, chacun ayant droit à un chapitre à tour de rôle, je trouvai plus facile à lire ce qui se passait dans le zoo, car une issue tragique est moins improbable – même si, sous couvert de protections des espèces, il peut en arriver des vertes et des pas mûres aux ours.
Qu’adviendra-t-il dans le tome 2, après quelques péripéties tirées par les cheveux ? Je ne suis pas sûre d’avoir envie de le découvrir.
Ils sont trois oursons, nés sous des cieux différents. Kallik vit sur la banquise, qui fond chaque jour davantage. Toklo grandit dans une forêt abîmée par les hommes. Lusa, enfermée dans un zoo, rêve d’explorer le monde sauvage. Ils n’auraient jamais dû se rencontrer, et pourtant… Leur quête pour un monde meilleur ne fait que commencer !
Mon avis :
Quand j’ai vu qu’Erin Hunter commençait une nouvelle saga, je me suis laissée tenter. Je n’aurai peut-être pas dû. Les intrigues sont plus faciles à suivre que la guerre des clans, car les personnages sont moins nombreux. Ou plutôt, ils disparaissent plus rapidement, à mon grand regret : certains avaient un potentiel qui aurait gagné à être développé.
L’action se passe entre les États-Unis et le Canada, comme le prouve la carte qui ouvre ce volume. Nous trouvons trois oursons, nés dans des milieux différents : sur la banquise (Kallik, son frère et sa mère), dans les forêts (Toklo, accompagné de son frère et de sa mère) ou dans un zoo (Lusa, accompagnée, vous l’aurez compris, de son frère et de sa mère). Note : il n’est pas toujours utile d’avoir un frère.
Je reste partagée, le mode de vie des ours est, me semble-t-il, bien mis en valeur. De l’autre, l’anthropomorphisme des ourses, notamment vis à vis de leurs oursons, m’a dérangé, alors que je n’ai pas ressenti ce souci avec La guerre des clans (qui, je le rappelle, mettait en scène des chats). Comme le récit est partagé entre les trois personnages, chacun ayant droit à un chapitre à tour de rôle, je trouvai plus facile à lire ce qui se passait dans le zoo, car une issue tragique est moins improbable – même si, sous couvert de protections des espèces, il peut en arriver des vertes et des pas mûres aux ours.
Qu’adviendra-t-il dans le tome 2, après quelques péripéties tirées par les cheveux ? Je ne suis pas sûre d’avoir envie de le découvrir.