George ORWELL
1984
420 pages
Résumé :
«De tous les carrefours importants, le visage à la moustache noire vous fixait du regard. BIG BROTHER VOUS REGARDE, répétait la légende, tandis que le regard des yeux noirs pénétrait les yeux de Winston... Au loin, un hélicoptère glissa entre les toits, plana un moment, telle une mouche bleue, puis repartit comme une flèche, dans un vol courbe. C'était une patrouille qui venait mettre le nez aux fenêtres des gens. Mais les patrouilles n'avaient pas d'importance. Seule comptait la Police de la Pensée.»
Mon avis :
Un grand classique que je voulais lire. Ce n'est pas vraiment de la SF car ces situations font penser à des dictateurs célèbres. Difficile d'en parler sans dévoiler l'intrigue. Ce livre m'a plu mais j'ai moins apprécié l'absence de dialogues. Un peu ennuyeux lors des 150 premières pages, ensuite le rythme s'accélère, il faut s'accrocher, ça en vaut la peine. La fin est magistrale, et le rebondissement, je ne l'ai pas vu venir.
1984
420 pages
Résumé :
«De tous les carrefours importants, le visage à la moustache noire vous fixait du regard. BIG BROTHER VOUS REGARDE, répétait la légende, tandis que le regard des yeux noirs pénétrait les yeux de Winston... Au loin, un hélicoptère glissa entre les toits, plana un moment, telle une mouche bleue, puis repartit comme une flèche, dans un vol courbe. C'était une patrouille qui venait mettre le nez aux fenêtres des gens. Mais les patrouilles n'avaient pas d'importance. Seule comptait la Police de la Pensée.»
Mon avis :
Un grand classique que je voulais lire. Ce n'est pas vraiment de la SF car ces situations font penser à des dictateurs célèbres. Difficile d'en parler sans dévoiler l'intrigue. Ce livre m'a plu mais j'ai moins apprécié l'absence de dialogues. Un peu ennuyeux lors des 150 premières pages, ensuite le rythme s'accélère, il faut s'accrocher, ça en vaut la peine. La fin est magistrale, et le rebondissement, je ne l'ai pas vu venir.