L'œil de Diderot
Hubert Prolongeau
Editions du Masque 2010
190 pages
Résumé :
Il est bien difficile en ce XVIIIe siècle, dit des « Lumières », de vouloir à tout prix éclairer les esprits. Denis Diderot, qui met la dernière main à son Encyclopédie, ne se décourage pas malgré la défection de d’Alembert qui le laisse bien seul face à une lourde tâche.
Et cette soudaine solitude n’est pas le moindre de ses soucis : le pouvoir, qui veut maintenir le bon peuple dans l’ignorance, a interdit l’ouvrage.
Diderot se voit contraint d’écrire en cachette et de faire imprimer l’ouvrage dans la clandestinité. En dépit de toutes les précautions dont il entoure l’œuvre de sa vie, le grand philosophe n’est pas à l’abri puisque ceux qui veulent l’empêcher de s’exprimer ne reculent devant rien… Et cette fois, c’est l’imprimeur qui vient d’être retrouvé assassiné !
Mon avis :
Diderot enfreint l'interdiction de publier son Encyclopédie et continue d'en faire imprimer des articles, dans la plus grande discrétion. Or il retrouve l'imprimeur assassiné. Commence alors une enquête semée de fuites, de trahisons... Cette enquête n'est en fait qu'un prétexte pour nous faire connaître Diderot, hors l'aspect parfois rébarbatif des manuels scolaires. Voici un Diderot aimant la fête et les femmes (sauf la sienne), fidèle en amitié (pas toujours payé de retour), n'hésitant pas à défendre ses idées -nouvelles pour l'époque - sur l'égalité, sur les arts et bien d'autres sujets.
Ce court roman de 190 pages m'a enchantée et réconciliée avec un sujet que je jugeais ardu.
Hubert Prolongeau
Editions du Masque 2010
190 pages
Résumé :
Il est bien difficile en ce XVIIIe siècle, dit des « Lumières », de vouloir à tout prix éclairer les esprits. Denis Diderot, qui met la dernière main à son Encyclopédie, ne se décourage pas malgré la défection de d’Alembert qui le laisse bien seul face à une lourde tâche.
Et cette soudaine solitude n’est pas le moindre de ses soucis : le pouvoir, qui veut maintenir le bon peuple dans l’ignorance, a interdit l’ouvrage.
Diderot se voit contraint d’écrire en cachette et de faire imprimer l’ouvrage dans la clandestinité. En dépit de toutes les précautions dont il entoure l’œuvre de sa vie, le grand philosophe n’est pas à l’abri puisque ceux qui veulent l’empêcher de s’exprimer ne reculent devant rien… Et cette fois, c’est l’imprimeur qui vient d’être retrouvé assassiné !
Mon avis :
Diderot enfreint l'interdiction de publier son Encyclopédie et continue d'en faire imprimer des articles, dans la plus grande discrétion. Or il retrouve l'imprimeur assassiné. Commence alors une enquête semée de fuites, de trahisons... Cette enquête n'est en fait qu'un prétexte pour nous faire connaître Diderot, hors l'aspect parfois rébarbatif des manuels scolaires. Voici un Diderot aimant la fête et les femmes (sauf la sienne), fidèle en amitié (pas toujours payé de retour), n'hésitant pas à défendre ses idées -nouvelles pour l'époque - sur l'égalité, sur les arts et bien d'autres sujets.
Ce court roman de 190 pages m'a enchantée et réconciliée avec un sujet que je jugeais ardu.