ET IL ME PARLA DES CERISIERS, DE POUSSIÈRES ET D'UNE MONTAGNE
Réflexion, édité chez Pocket en janvier 2014
139 pages
Résumé
Il faut parfois toute une vie pour apprendre à marcher... Certaines rencontres peuvent-elles changer le cours d'une existence ? Assurément. Une extraordinaire leçon de vie attend Paul Lamarche, Paul qui pense que réussir sa vie, se résume à... réussir. Un Noir américain à la carrure d'athlète rencontré en prison et un puissant homme d'affaires japonais qui parle de cerisiers et de poussières, d'autres encore, lui permettront enfin de comprendre que l'on ne réussit que lorsque l'on se met debout. Paul admettra enfin que les peurs ont mené sa vie jusque-là. On ne peut marcher que lorsqu'on dépasse les craintes qui nous entravent tous et nous empoisonnent. La vie est au bout du chemin. Un roman tour à tour parabole moderne de la découverte de soi, récit d'une amitié profonde et histoire d'amour incandescente.
Mon ressenti
Paul Lamarche raconte son histoire : comment il a réussi à se tenir debout et non plus à ramper. Il écrit à la première personne, ce qui le rend plus proche du lecteur. Il explique sa rencontre déterminante qui petit à petit l’a amené à changer son regard en profondeur sur la vie en général mais aussi sur ses pairs.
Si j’ai aimé l’idée de ce qu’il dit, je n’ai pas accroché avec le personnage qu’est Paul Lamarche. Il me semble distant, un rien pédant, vit dans un monde qui n’est pas le mien. J’ai été touché par son changement cela dit ; comment au travers de rencontres, les choses prennent un autre sens et vont l’amener à se comprendre autrement ainsi que les autres.
Il faut bien le dire, Paul est un jeune homme qui a les dents longues, qui aime avant tout l’argent et se faire de l’argent facilement quitte à écraser les autres. Il trouve donc une idée (celle-ci existe de par le monde ! l’exploitation et la misère forment une paire souvent indissociable !) qui va se révéler des plus brillantes : le tourisme médical. Paul est un homme soumis à ses peurs « intérieures », sans même en avoir conscience.
Je n’ai pas aimé le style de l’auteur, je trouve les tournures lourdes et des phrases parfois longues (peut-être pour ressembler à Paul). J’ai beaucoup aimé la couverture et le titre que l’auteur a choisi, ainsi que l’idée de son livre. Idée que je partage énormément : il y a des rencontres qui changent notre vie et qui font que nous avançons sur nos deux jambes…
Le reste, c’est chacun d’entre nous qui l’écrit.
Réflexion, édité chez Pocket en janvier 2014
139 pages
Résumé
Il faut parfois toute une vie pour apprendre à marcher... Certaines rencontres peuvent-elles changer le cours d'une existence ? Assurément. Une extraordinaire leçon de vie attend Paul Lamarche, Paul qui pense que réussir sa vie, se résume à... réussir. Un Noir américain à la carrure d'athlète rencontré en prison et un puissant homme d'affaires japonais qui parle de cerisiers et de poussières, d'autres encore, lui permettront enfin de comprendre que l'on ne réussit que lorsque l'on se met debout. Paul admettra enfin que les peurs ont mené sa vie jusque-là. On ne peut marcher que lorsqu'on dépasse les craintes qui nous entravent tous et nous empoisonnent. La vie est au bout du chemin. Un roman tour à tour parabole moderne de la découverte de soi, récit d'une amitié profonde et histoire d'amour incandescente.
Mon ressenti
Paul Lamarche raconte son histoire : comment il a réussi à se tenir debout et non plus à ramper. Il écrit à la première personne, ce qui le rend plus proche du lecteur. Il explique sa rencontre déterminante qui petit à petit l’a amené à changer son regard en profondeur sur la vie en général mais aussi sur ses pairs.
Si j’ai aimé l’idée de ce qu’il dit, je n’ai pas accroché avec le personnage qu’est Paul Lamarche. Il me semble distant, un rien pédant, vit dans un monde qui n’est pas le mien. J’ai été touché par son changement cela dit ; comment au travers de rencontres, les choses prennent un autre sens et vont l’amener à se comprendre autrement ainsi que les autres.
Il faut bien le dire, Paul est un jeune homme qui a les dents longues, qui aime avant tout l’argent et se faire de l’argent facilement quitte à écraser les autres. Il trouve donc une idée (celle-ci existe de par le monde ! l’exploitation et la misère forment une paire souvent indissociable !) qui va se révéler des plus brillantes : le tourisme médical. Paul est un homme soumis à ses peurs « intérieures », sans même en avoir conscience.
Je n’ai pas aimé le style de l’auteur, je trouve les tournures lourdes et des phrases parfois longues (peut-être pour ressembler à Paul). J’ai beaucoup aimé la couverture et le titre que l’auteur a choisi, ainsi que l’idée de son livre. Idée que je partage énormément : il y a des rencontres qui changent notre vie et qui font que nous avançons sur nos deux jambes…
Le reste, c’est chacun d’entre nous qui l’écrit.