Le Journal de Franfie Pratt de Caroline Preston aux éditions Nil, 2012, 230 pages
Traduit par Katel LE FUR
Quatrième de couverture
Roman d’apprentissage, histoire d’amour sur deux continents, chef-d’œuvre artisanal et fabuleuse machine à remonter le temps. Le Journal de Frankie Pratt est un livre hors du commun
1920. Frankie Pratt a 18 ans lorsqu’elle commence à écrire son Journal. Elève prometteuse, lectrice avertie, la jeune fille rêve de devenir écrivain. Avec une machine à écrire Corona et une fantaisie d’archiviste, elle se lance dans le récit de ses aventure sous forme de scrapbook.
Tour à tour étudiant boursière au Vassar ollège, danseuse de charleston amateur à Greenwwich Village, rédactrice de potins à grand tirage, secrétaire d’édition auprès de James Joyce, amoureuse éperdue de mauvais garçons, elle nous entraîne dans un périple qui la conduira du New-York de la Prohibition au Paris des Années Folles.
Cartes postales, articles et dessins de presse, gravures de mode, tickets de train ou de paquebot, échantillons de tissus… Six cent pièces d’époque, glanés chez les antiquaires ou sur internet, ont été necessaires pour composer ce livre.
Caroline Preston est l'auteur de trois romans à succès aux États-Unis, dont Lucy efface tout, traduit en 2001 aux Éditions NiL. Le Journal de Frankie Pratt lui a été inspiré par l'amitié qui lia sa grand-mère à Sylvia Beach, la libraire et éditrice légendaire du Saint-Germain-des-Prés des années 1920. Elle travaille d'ores et déjà à son prochain scrapbook.
Mon avis
Entre parenthèse sur la première de couverture, on lit roman (graphique) estampillé 100% vintage… Et je rajouterai 100% plaisir. Ce livre a le charme désuet des photographies couleur sépia que l’on peut trouver dans une vieille boîte à chaussures ayant appartenues à nos grand-méres. C’est bourré de petits trésors de fonds de tiroirs. Un vrai régal avec un parfum de vieille encre...
Traduit par Katel LE FUR
Quatrième de couverture
Roman d’apprentissage, histoire d’amour sur deux continents, chef-d’œuvre artisanal et fabuleuse machine à remonter le temps. Le Journal de Frankie Pratt est un livre hors du commun
1920. Frankie Pratt a 18 ans lorsqu’elle commence à écrire son Journal. Elève prometteuse, lectrice avertie, la jeune fille rêve de devenir écrivain. Avec une machine à écrire Corona et une fantaisie d’archiviste, elle se lance dans le récit de ses aventure sous forme de scrapbook.
Tour à tour étudiant boursière au Vassar ollège, danseuse de charleston amateur à Greenwwich Village, rédactrice de potins à grand tirage, secrétaire d’édition auprès de James Joyce, amoureuse éperdue de mauvais garçons, elle nous entraîne dans un périple qui la conduira du New-York de la Prohibition au Paris des Années Folles.
Cartes postales, articles et dessins de presse, gravures de mode, tickets de train ou de paquebot, échantillons de tissus… Six cent pièces d’époque, glanés chez les antiquaires ou sur internet, ont été necessaires pour composer ce livre.
« Un délice rétro » The Washington Post
Caroline Preston est l'auteur de trois romans à succès aux États-Unis, dont Lucy efface tout, traduit en 2001 aux Éditions NiL. Le Journal de Frankie Pratt lui a été inspiré par l'amitié qui lia sa grand-mère à Sylvia Beach, la libraire et éditrice légendaire du Saint-Germain-des-Prés des années 1920. Elle travaille d'ores et déjà à son prochain scrapbook.
Mon avis
Entre parenthèse sur la première de couverture, on lit roman (graphique) estampillé 100% vintage… Et je rajouterai 100% plaisir. Ce livre a le charme désuet des photographies couleur sépia que l’on peut trouver dans une vieille boîte à chaussures ayant appartenues à nos grand-méres. C’est bourré de petits trésors de fonds de tiroirs. Un vrai régal avec un parfum de vieille encre...