LIBELLULES
Histoires courtes, édité chez Folio en février 2014
147 pages
Résumé
On a beau avoir deux yeux, ils regardent souvent dans la même direction, si bien qu’au lieu de se compléter, ils travaillent en doublon, ce qui est regrettable. Toute considération esthétique mise à part, s’ils pouvaient, chacun d’eux, faire preuve d’un peu plus d’autonomie, si l’un s’occupait de regarder à droite pendant que l’autre regarde à gauche, on aurait sûrement une vision du monde moins parcellaire. On toucherait d’un peu plus près à la vérité des choses.
Il y a, dans Libellules, un enfant qui grandit et sans cesse s’interroge, un père qui aimerait pouvoir lui répondre, il y a cette femme qui, du matin au soir, secoue son linge à sa fenêtre, il y a Kate, là-bas, en Antarctique, et la tragique histoire d’un chapeau à la mer… Avec tendresse et bienveillance, un homme, écrivain, porte un regard sensible et drôle sur le monde qui l’entoure.
Mon ressenti
Histoires courtes sur un thème, une réflexion entendue, une observation inattendue, une question d’un enfant… tout est prétexte à se poser et à dire ou à réfléchir ou mieux à écrire. C’est un peu une boîte à chocolat ou de bonbons, en prendre un au passage et savourer l’instant de la lecture et partir avec l’intensité du texte.
Chocs ou pas, il y a toujours une résonance car les textes nous parlent automatiquement. Notre regard est autonome qu’il se fasse intensif, rêveur, baladeur, amoureux, passionné, étonné, effaré… il se pose toujours quelque part mais sans que nous nous arrêtions forcément. C’est ce que propose l’auteur de faire une pause.
Telle la libellule rapide, alerte, l’auteur part en chasse et nous livre de beaux moments.
A découvrir
Histoires courtes, édité chez Folio en février 2014
147 pages
Résumé
On a beau avoir deux yeux, ils regardent souvent dans la même direction, si bien qu’au lieu de se compléter, ils travaillent en doublon, ce qui est regrettable. Toute considération esthétique mise à part, s’ils pouvaient, chacun d’eux, faire preuve d’un peu plus d’autonomie, si l’un s’occupait de regarder à droite pendant que l’autre regarde à gauche, on aurait sûrement une vision du monde moins parcellaire. On toucherait d’un peu plus près à la vérité des choses.
Il y a, dans Libellules, un enfant qui grandit et sans cesse s’interroge, un père qui aimerait pouvoir lui répondre, il y a cette femme qui, du matin au soir, secoue son linge à sa fenêtre, il y a Kate, là-bas, en Antarctique, et la tragique histoire d’un chapeau à la mer… Avec tendresse et bienveillance, un homme, écrivain, porte un regard sensible et drôle sur le monde qui l’entoure.
Mon ressenti
Histoires courtes sur un thème, une réflexion entendue, une observation inattendue, une question d’un enfant… tout est prétexte à se poser et à dire ou à réfléchir ou mieux à écrire. C’est un peu une boîte à chocolat ou de bonbons, en prendre un au passage et savourer l’instant de la lecture et partir avec l’intensité du texte.
Chocs ou pas, il y a toujours une résonance car les textes nous parlent automatiquement. Notre regard est autonome qu’il se fasse intensif, rêveur, baladeur, amoureux, passionné, étonné, effaré… il se pose toujours quelque part mais sans que nous nous arrêtions forcément. C’est ce que propose l’auteur de faire une pause.
Telle la libellule rapide, alerte, l’auteur part en chasse et nous livre de beaux moments.
A découvrir