Compagnie K
de William March, traduit de l'américain par Stéphanie Levet
roman aux editions Gallmeister, 230 pages
Quatrième de couverture
Décembre 1917. Une compagnie de l'US Marines Corps débarque en France et est envoyée au front. Pour la première fois, les hommes de la Compagnie K découvrent la guerre : attaques de nuit, balles qui sifflent, obus qui explosent, ordres absurdes, grondement de l'artillerie, tentation de déserter. Les cent treize soldats qui composent cette compagnie prennent tour à tour la parole pour raconter leur guerre, toutes les guerres. L'un après l'autre, ils décrivent près d'un an de combats, puis le retour au pays pour ceux qui ont pu rentrer, traumatisés, blessés, marqués à jamais par ce qu'ils ont enduré.
Inspiré par l'expérience de son auteur, Compagnie K est un livre inoubliable qui s'inscrit dans la droite ligne d'À l'ouest rien de nouveau d'Erich Maria Remarque. Salué comme un chef-d'oeuvre lors de sa sortie, ce tableau saisissant de la Grande Guerre telle que l'ont vécue les soldats américains est traduit en français pour la première fois.
Le livre de March est le cri de milliers de gorges anonymes. [...] Sa prose est brute, lucide, sans artifice littéraire. Graham Green
Mon avis
William March a ordonné son roman sous forme de témoignages, 113 au total. Chacun sur une page, deux maximum, décrit un fait particulier, la vie, les obligations ou les pensées de ces soldats. Parfois les témoignages se recoupent, s'imbriquent, la vision de l'événement diffère d'un soldat à l'autre. L'auteur aborde de façon très simple différents sujets comme la mort, la maladie, le suicide, la désertion, la désobéissance, le peloton d'exécution, la faim, le manque d'hygiène, l'amour, la famille, la complicité.
C'est un roman, facile à lire et prenant.
de William March, traduit de l'américain par Stéphanie Levet
roman aux editions Gallmeister, 230 pages
Quatrième de couverture
Décembre 1917. Une compagnie de l'US Marines Corps débarque en France et est envoyée au front. Pour la première fois, les hommes de la Compagnie K découvrent la guerre : attaques de nuit, balles qui sifflent, obus qui explosent, ordres absurdes, grondement de l'artillerie, tentation de déserter. Les cent treize soldats qui composent cette compagnie prennent tour à tour la parole pour raconter leur guerre, toutes les guerres. L'un après l'autre, ils décrivent près d'un an de combats, puis le retour au pays pour ceux qui ont pu rentrer, traumatisés, blessés, marqués à jamais par ce qu'ils ont enduré.
Inspiré par l'expérience de son auteur, Compagnie K est un livre inoubliable qui s'inscrit dans la droite ligne d'À l'ouest rien de nouveau d'Erich Maria Remarque. Salué comme un chef-d'oeuvre lors de sa sortie, ce tableau saisissant de la Grande Guerre telle que l'ont vécue les soldats américains est traduit en français pour la première fois.
Le livre de March est le cri de milliers de gorges anonymes. [...] Sa prose est brute, lucide, sans artifice littéraire. Graham Green
Mon avis
William March a ordonné son roman sous forme de témoignages, 113 au total. Chacun sur une page, deux maximum, décrit un fait particulier, la vie, les obligations ou les pensées de ces soldats. Parfois les témoignages se recoupent, s'imbriquent, la vision de l'événement diffère d'un soldat à l'autre. L'auteur aborde de façon très simple différents sujets comme la mort, la maladie, le suicide, la désertion, la désobéissance, le peloton d'exécution, la faim, le manque d'hygiène, l'amour, la famille, la complicité.
C'est un roman, facile à lire et prenant.
Dernière édition par Jo19lyne le Ven 9 Mai 2014 - 14:34, édité 1 fois