J'ai vu le film à sa sortie, et j'ai ... un peu trop ri.
Je viens de lire le livre, et de comparer le film et le roman.
Si vous avez vu le film et avez été déçu(e), comme moi, rassurez-vous : le livre est bien meilleur que le film. D’ailleurs, à sa lecture, je me suis demandé comment les « choix », plutôt discutables, du metteur en scène, auraient pu survivre à la mise en images du tome 2.
Prenez Clary, par exemple. Le film en fait une vraie gourde, une sous-Bella en quelque sorte, alors qu’elle est bien plus volontaire dans le roman, n’hésitant pas à baffer le beau héros qui a mis sa vie en péril plutôt que de bafouiller : « ah, bon ? » Elle se sent d’une confondante banalité, en conflit avec sa mère, certes, mais quelle adolescente ne l’a pas été au moins une fois ? Tout ce qu’elle découvre la force à s’adapter très vite, et à venir en aide à Simon, son meilleur ami depuis très longtemps – même si celui-ci espère bien plus et a le don de se mettre dans des situations impossibles. Franchement, depuis quand l’aspirant petit ami doit-il être sauvé par la fille qu’il aime en secret, je vous demande un peu ?
Autre transformation de taille, par rapport au film, toujours, Isabelle et Alec Ligthwood. Dans le film, Alec a une dizaine d’années de plus que dans le film, soit 27 ans ans au lieu de 17 et il est beaucoup plus touchant, jusque dans ses sacrifices – et ce qui lui arrive dans le tome 2 est bien plus crédible. Et je ne vous parle même pas de Valentin : on peut être fan de Jonathan Rhys Meyers, qui le joue dans le film, on peut se dire aussi qu’il est particulièrement mal choisi pour le rôle. Pour Harry Potter, Ralph Fiennes a bien joué les méchants, pour La cité des ténèbres, (au vue de la description du personnage), j’aurai davantage vu Eric Bana – Valentin est censé être assez costaud, quinquagénaire et ce n’est pas franchement le cas de l’acteur d’origine irlandaise.
Enfin, l’intrigue du roman est bien mieux menée que celle du film, et le dénouement offre des perspectives bien plus nombreuses quand à l’évolution de la série. Autant, à la vue du film, je me disais qu’une suite ne pourrait être que convenue, autant, à la lecture du roman, je me suis dit que l’auteur pouvait emprunter de nombreuses voies avec ses personnages.
Je viens de lire le livre, et de comparer le film et le roman.
Si vous avez vu le film et avez été déçu(e), comme moi, rassurez-vous : le livre est bien meilleur que le film. D’ailleurs, à sa lecture, je me suis demandé comment les « choix », plutôt discutables, du metteur en scène, auraient pu survivre à la mise en images du tome 2.
Prenez Clary, par exemple. Le film en fait une vraie gourde, une sous-Bella en quelque sorte, alors qu’elle est bien plus volontaire dans le roman, n’hésitant pas à baffer le beau héros qui a mis sa vie en péril plutôt que de bafouiller : « ah, bon ? » Elle se sent d’une confondante banalité, en conflit avec sa mère, certes, mais quelle adolescente ne l’a pas été au moins une fois ? Tout ce qu’elle découvre la force à s’adapter très vite, et à venir en aide à Simon, son meilleur ami depuis très longtemps – même si celui-ci espère bien plus et a le don de se mettre dans des situations impossibles. Franchement, depuis quand l’aspirant petit ami doit-il être sauvé par la fille qu’il aime en secret, je vous demande un peu ?
Autre transformation de taille, par rapport au film, toujours, Isabelle et Alec Ligthwood. Dans le film, Alec a une dizaine d’années de plus que dans le film, soit 27 ans ans au lieu de 17 et il est beaucoup plus touchant, jusque dans ses sacrifices – et ce qui lui arrive dans le tome 2 est bien plus crédible. Et je ne vous parle même pas de Valentin : on peut être fan de Jonathan Rhys Meyers, qui le joue dans le film, on peut se dire aussi qu’il est particulièrement mal choisi pour le rôle. Pour Harry Potter, Ralph Fiennes a bien joué les méchants, pour La cité des ténèbres, (au vue de la description du personnage), j’aurai davantage vu Eric Bana – Valentin est censé être assez costaud, quinquagénaire et ce n’est pas franchement le cas de l’acteur d’origine irlandaise.
Enfin, l’intrigue du roman est bien mieux menée que celle du film, et le dénouement offre des perspectives bien plus nombreuses quand à l’évolution de la série. Autant, à la vue du film, je me disais qu’une suite ne pourrait être que convenue, autant, à la lecture du roman, je me suis dit que l’auteur pouvait emprunter de nombreuses voies avec ses personnages.