SNOBS
Roman édité au livre de poche en septembre 2008
407 pages
Résumé
Quand Edith Lavery, une jeune roturière pleine d'ambition, conquiert le cœur d'un des célibataires les plus convoités de l'aristocratie anglaise, le comte Charles Broughton, sa mère et elle sont folles de joie. Une fois devenue comtesse Broughton, elle ne tarde pas à se lasser des interminables parties de chasse et des thés de bienfaisance chapeautés par sa terrible belle-mère, Googie. C'est alors qu'elle tombe dans les bras de Simon Russel, un acteur de seconde zone... D'une intrigue classique à mi-chemin entre Cendrillon et Madame Bovary, Julian Fellowes tire une satire réjouissante des mœurs de l'aristocratie anglaise.
Mon ressenti
J’ai eu beaucoup de mal à maintenir mon intérêt pour ce livre. L’univers aristocratique et l’humour anglais avaient tout pour me plaire. Cependant les descriptions à n’en plus finir des lieux et des personnages, les propos des personnages et leurs mentalités ont eu raison du peu d’intérêt qu’avaient suscité les 100 premières pages.
Je n’ai trouvé peu de sympathie pour ces personnages très imbus de leur personne et méprisant vis-à-vis de leur prochain. L’auteur dépeint l’aristocratie anglaise avec brio mais pour moi les choses s’arrêtent là.
Il y a quelques passages qui ont été survolés voire passés…
A vous de voir
Roman édité au livre de poche en septembre 2008
407 pages
Résumé
Quand Edith Lavery, une jeune roturière pleine d'ambition, conquiert le cœur d'un des célibataires les plus convoités de l'aristocratie anglaise, le comte Charles Broughton, sa mère et elle sont folles de joie. Une fois devenue comtesse Broughton, elle ne tarde pas à se lasser des interminables parties de chasse et des thés de bienfaisance chapeautés par sa terrible belle-mère, Googie. C'est alors qu'elle tombe dans les bras de Simon Russel, un acteur de seconde zone... D'une intrigue classique à mi-chemin entre Cendrillon et Madame Bovary, Julian Fellowes tire une satire réjouissante des mœurs de l'aristocratie anglaise.
Mon ressenti
J’ai eu beaucoup de mal à maintenir mon intérêt pour ce livre. L’univers aristocratique et l’humour anglais avaient tout pour me plaire. Cependant les descriptions à n’en plus finir des lieux et des personnages, les propos des personnages et leurs mentalités ont eu raison du peu d’intérêt qu’avaient suscité les 100 premières pages.
Je n’ai trouvé peu de sympathie pour ces personnages très imbus de leur personne et méprisant vis-à-vis de leur prochain. L’auteur dépeint l’aristocratie anglaise avec brio mais pour moi les choses s’arrêtent là.
Il y a quelques passages qui ont été survolés voire passés…
A vous de voir