LES GENS HEUREUX LISENT ET BOIVENT DU CAFÉ
Roman édité chez Pocket en juin 2014
186 pages
Résumé
" Ils étaient partis en chahutant. J'avais appris qu'ils faisaient encore les pitres dans la voiture. Je m'étais dit qu'ils étaient morts en riant. Je m'étais dit que j'aurais voulu être avec eux. " Diane a brusquement perdu son mari et sa fille dans un accident de voiture. Dès lors, tout se fige en elle, à l'exception de son cœur, qui continue de battre. Obstinément. Douloureusement. Inutilement. Égarée dans les limbes du souvenir, elle ne retrouve plus le chemin de l'existence. Afin d'échapper à son entourage qui l'enjoint à reprendre pied, elle décide de s'exiler en Irlande, seule. Mais, à fuir avec acharnement la vie, elle finit par vous rattraper... " Poignante, cette histoire de résilience se trouve servie par des phrases courtes, beaucoup de dialogues, et une écriture légère dans laquelle se glissent même quelques notes d'humour. " Catherine Balle – Le Parisien / Aujourd'hui en France
Mon ressenti
Pas grand intérêt à lire ce livre pour ma part, c’est une déception. Sorti en poche peu de temps après celui de Delphine de Vigan « rien ne s’oppose à la nuit », avec le même style de couverture, j’étais déjà dubitative mais avec sa lecture, je n’ai pas été convaincu.
Le livre aborde le deuil d’une femme devenue veuve après un accident de voiture qui a emporté son mari et sa fille, et sa reconstruction personnelle. Je trouve que l’auteur reste très superficiel dans la description de ses personnages, de leur construction. Peu de profondeur, il n’y a aucune surprise sur cette histoire qui n’évite pas la bluette. Cela reste une lecture somme toute agréable mais vite oubliée.
Roman édité chez Pocket en juin 2014
186 pages
Résumé
" Ils étaient partis en chahutant. J'avais appris qu'ils faisaient encore les pitres dans la voiture. Je m'étais dit qu'ils étaient morts en riant. Je m'étais dit que j'aurais voulu être avec eux. " Diane a brusquement perdu son mari et sa fille dans un accident de voiture. Dès lors, tout se fige en elle, à l'exception de son cœur, qui continue de battre. Obstinément. Douloureusement. Inutilement. Égarée dans les limbes du souvenir, elle ne retrouve plus le chemin de l'existence. Afin d'échapper à son entourage qui l'enjoint à reprendre pied, elle décide de s'exiler en Irlande, seule. Mais, à fuir avec acharnement la vie, elle finit par vous rattraper... " Poignante, cette histoire de résilience se trouve servie par des phrases courtes, beaucoup de dialogues, et une écriture légère dans laquelle se glissent même quelques notes d'humour. " Catherine Balle – Le Parisien / Aujourd'hui en France
Mon ressenti
Pas grand intérêt à lire ce livre pour ma part, c’est une déception. Sorti en poche peu de temps après celui de Delphine de Vigan « rien ne s’oppose à la nuit », avec le même style de couverture, j’étais déjà dubitative mais avec sa lecture, je n’ai pas été convaincu.
Le livre aborde le deuil d’une femme devenue veuve après un accident de voiture qui a emporté son mari et sa fille, et sa reconstruction personnelle. Je trouve que l’auteur reste très superficiel dans la description de ses personnages, de leur construction. Peu de profondeur, il n’y a aucune surprise sur cette histoire qui n’évite pas la bluette. Cela reste une lecture somme toute agréable mais vite oubliée.