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2 participants

    LEWIS, Matthew Gregory

    Titi
    Titi
    LEH
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    LEWIS, Matthew Gregory Empty LEWIS, Matthew Gregory

    Message  Titi Lun 24 Jan 2011 - 22:48

    Genre littéraire : Fantastique/Gothique


    LEWIS, Matthew Gregory Lemoine


    Titre : Le moine
    Auteur : Matthew Gregory
    Lewis
    Edition : Gallimard
    Nombre de pages : 441

    Note de l'éditeur
    On le nomme "Monk" Lewis, tant cet écrivain a été marqué par sa créature scandaleuse. Le livre fut d'abord interdit par la censure et Lewis obligé d'en réviser l'édition. Il n'a que vingt ans lorsqu'il écrit Le Moine et confronte le lecteur avec l'Invisible d'une manière directe et brutale. Le Surnaturel y fait sauvagement irruption et s'impose ; d'où la réticence d'un Coleridge, déconseillant aux parents de mettre un tel livre dans les mains de leurs enfants.
    Comme la plupart des auteurs "gothiques", Monk
    Lewis ne fut jamais en odeur de sainteté auprès des critiques et il fallut attendre des auteurs comme Artaud ou Breton pour que certains considèrent enfin Le Moine avec sérieux.

    Mon appréciation
    Je ne connaissais pas cet auteur mais ça a été la très bonne surprise du moment. Une fin incroyable. Une histoire parfaitement bien ficelée. Un vrai régal pour les amateurs du genre

    Ma note 10/10


    Volodia
    Volodia
    LA
    LA


    LEWIS, Matthew Gregory Empty Sur le Moine

    Message  Volodia Lun 27 Aoû 2012 - 12:04

    Mon avis : Volodia

    Le Moine dont l’intrigue est difficile à résumer tant elle est peu liénéaire, raconte la déchéance du religieux le plus fanatique et irréprochable que Madrid ait connu.

    De modèle de pureté et de vertu, Ambrosio va peu à peu céder à ses penchants les plus obscurs et découvrir le vice et le crime. Il est donc constamment question de bien et de mal dans ce livre. Cependant, ce qui devrait faire l’objet du jugement de valeur le plus appuyé et du manichéismes le plus terre à terre, la conduite du moine est finalement contée d’une manière très neutre, renforçant de beaucoup le force de l’impression que laisse le moine sur son lecteur : Ambrosio n’est-il pas finalement un être humain tout à fait banal, à l’image de tous les autres ?












































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