Monique ARCHEN
La récréation est terminée (ou l'art de la manipulation)
220 pages
Résumé :
Résumé :
Enfant, Hippolyte Lempreur rêve d'être marionnettiste et de participer activement au festival mondial de Charleville-Mézières. La réalité de la vie lui impose la gestion de l'entreprise familiale de menuiserie-ébénisterie, à laquelle il ajoute la restauration de mobilier ancien sur une touche d'Art nouveau-Ecole de Nancy. Ne pouvant toutefois s'empêcher de pratiquer son art, année après année, il perfectionne son aptitude à manipuler l'entourage suivant la technique de Machiavel : le fait du Prince . La griserie de la toute-puissance allait dépasser celle de la richesse jusqu'au jour où, lors du conseil d'administration devant conclure à sa réélection au poste de président, deux nouveaux jeunes actionnaires font opposition à sa candidature... Entre étude de caractère et caricature, l'auteure construit un roman cinglant, où se mêlent les fils d'un humour bordé de suspense et d'une certaine philosophie.
Biographie:
Née à Nancy (54), Monique Archen a été professeure de collège, dont vingt-deux ans en zone d'éducation prioritaire. Elle vit aujourd'hui dans la vallée de la Fensch (57). Ses racines lorraines et son premier ouvrage, La figure sur le masque, primé en 2009, l'ont encouragée à poursuivre dans l'écriture. Avec La récréation est terminée, elle signe son septième roman.
Mon avis :
Le roman débute légèrement, avec les souvenirs d'enfance de cette ex-prof devenue écrivain depuis une dizaine d'années.
Puis une histoire romancée commence. On assiste d'abord à l'enfance d'Hippolyte Lempereur qui se fiche de l'entreprise familiale et ne jure que par les spectacles de marionnettes depuis une escapade de chasse avec son père à Charleville, la ville de prédilection des festivals de marionnettes. Mais son père lui interdit d'assister à ce spectacle et l'amène de force à la chasse, comme prévu initialement.
Adolescent, il persiste dans son idée de ne pas reprendre l'entreprise familiale et de se lancer dans les spectacles de marionnettes mais, pour son père, il n'en est pas question. Cette entreprise existe depuis des générations, pas question qu'il n'y ait aucun repreneur.
Le fils reprend l'entreprise mais la mène à vau-l'eau, il préfère s'enfermer dans son bureau rempli de marionnettes. D'ailleurs, sa femme le quittera, sa passion occultant leur vie de couple.
En fait, toute l'histoire ou presque est écrite dans le résumé.
C'est une petite histoire sans prétention, sans beaucoup de surprise, hormis la fin un peu surprenante, mais pas tant que cela.
Je me suis un peu ennuyée par moments, malgré l'épaisseur toute relative de ce roman (220 pages).
Ca fait bizarre de lire un roman de son ancienne prof de collège.
La récréation est terminée (ou l'art de la manipulation)
220 pages
Résumé :
Résumé :
Enfant, Hippolyte Lempreur rêve d'être marionnettiste et de participer activement au festival mondial de Charleville-Mézières. La réalité de la vie lui impose la gestion de l'entreprise familiale de menuiserie-ébénisterie, à laquelle il ajoute la restauration de mobilier ancien sur une touche d'Art nouveau-Ecole de Nancy. Ne pouvant toutefois s'empêcher de pratiquer son art, année après année, il perfectionne son aptitude à manipuler l'entourage suivant la technique de Machiavel : le fait du Prince . La griserie de la toute-puissance allait dépasser celle de la richesse jusqu'au jour où, lors du conseil d'administration devant conclure à sa réélection au poste de président, deux nouveaux jeunes actionnaires font opposition à sa candidature... Entre étude de caractère et caricature, l'auteure construit un roman cinglant, où se mêlent les fils d'un humour bordé de suspense et d'une certaine philosophie.
Biographie:
Née à Nancy (54), Monique Archen a été professeure de collège, dont vingt-deux ans en zone d'éducation prioritaire. Elle vit aujourd'hui dans la vallée de la Fensch (57). Ses racines lorraines et son premier ouvrage, La figure sur le masque, primé en 2009, l'ont encouragée à poursuivre dans l'écriture. Avec La récréation est terminée, elle signe son septième roman.
Mon avis :
Le roman débute légèrement, avec les souvenirs d'enfance de cette ex-prof devenue écrivain depuis une dizaine d'années.
Puis une histoire romancée commence. On assiste d'abord à l'enfance d'Hippolyte Lempereur qui se fiche de l'entreprise familiale et ne jure que par les spectacles de marionnettes depuis une escapade de chasse avec son père à Charleville, la ville de prédilection des festivals de marionnettes. Mais son père lui interdit d'assister à ce spectacle et l'amène de force à la chasse, comme prévu initialement.
Adolescent, il persiste dans son idée de ne pas reprendre l'entreprise familiale et de se lancer dans les spectacles de marionnettes mais, pour son père, il n'en est pas question. Cette entreprise existe depuis des générations, pas question qu'il n'y ait aucun repreneur.
Le fils reprend l'entreprise mais la mène à vau-l'eau, il préfère s'enfermer dans son bureau rempli de marionnettes. D'ailleurs, sa femme le quittera, sa passion occultant leur vie de couple.
En fait, toute l'histoire ou presque est écrite dans le résumé.
C'est une petite histoire sans prétention, sans beaucoup de surprise, hormis la fin un peu surprenante, mais pas tant que cela.
Je me suis un peu ennuyée par moments, malgré l'épaisseur toute relative de ce roman (220 pages).
Ca fait bizarre de lire un roman de son ancienne prof de collège.