TOURISTE
Récit édité au livre de poche en mai 2013
264 pages
Résumé
Certains veulent faire de leur vie une œuvre d'art, je compte en faire un long voyage. Je n'ai pas l'intention de me proclamer explorateur. Je ne veux ni conquérir les sommets vertigineux, ni braver les déserts infernaux. Je ne suis pas aussi exigeant. Touriste, ça me suffit. Le touriste traverse la vie, curieux et détendu, avec le soleil en prime. Il prend le temps d'être futile. De s'adonner à des activités non productives mais enrichissantes. Le monde est sa maison. Chaque ville, une victoire. J. B.-G.
Julien Blanc-Gras appartient à cette race de passeurs décomplexés qui comptent bien traverser Canaan et toute la planète, sans piétiner quarante ans le désert. Cultivé, facétieux et drôlissime, il est doté du regard pénétrant et décalé de celui qui sait apprécier sans être dupe. Bernadette Atlan, Le Nouvel Observateur.
Mon ressenti
C’est avec humour, que l’auteur nous raconte sa passion première : les voyages. Un regard de sa place de touriste, un regard sans prétention au travers de ses rencontres sur notre bonne vieille planète. Au travers différentes anecdotes, il partage ses questionnements, ses insolites, ses étonnements nous amenant par ricochets à nous questionner sur ce que nous vivons.
Un petit voyage qui se veut attractif et sans prétention.
Profitez-en, c’est bientôt les vacances.
Récit édité au livre de poche en mai 2013
264 pages
Résumé
Certains veulent faire de leur vie une œuvre d'art, je compte en faire un long voyage. Je n'ai pas l'intention de me proclamer explorateur. Je ne veux ni conquérir les sommets vertigineux, ni braver les déserts infernaux. Je ne suis pas aussi exigeant. Touriste, ça me suffit. Le touriste traverse la vie, curieux et détendu, avec le soleil en prime. Il prend le temps d'être futile. De s'adonner à des activités non productives mais enrichissantes. Le monde est sa maison. Chaque ville, une victoire. J. B.-G.
Julien Blanc-Gras appartient à cette race de passeurs décomplexés qui comptent bien traverser Canaan et toute la planète, sans piétiner quarante ans le désert. Cultivé, facétieux et drôlissime, il est doté du regard pénétrant et décalé de celui qui sait apprécier sans être dupe. Bernadette Atlan, Le Nouvel Observateur.
Mon ressenti
C’est avec humour, que l’auteur nous raconte sa passion première : les voyages. Un regard de sa place de touriste, un regard sans prétention au travers de ses rencontres sur notre bonne vieille planète. Au travers différentes anecdotes, il partage ses questionnements, ses insolites, ses étonnements nous amenant par ricochets à nous questionner sur ce que nous vivons.
Un petit voyage qui se veut attractif et sans prétention.
Profitez-en, c’est bientôt les vacances.