LA VALLÉE DES ORANGES
Roman, édité chez Charleston en avril 2018
240 pages
Résumé
Marseille, 2016
En démontant le faux plafond d'un hôtel, un ouvrier tombe sur une boîte contenant les souvenirs d'une vieille dame, Magdalena. Son arrière-petite-fille, Anaïs, tenancière du Café de l'Ensaïmada, une institution culinaire à Paris, décide alors de partir à la recherche de ses origines majorquines…
Majorque, 1935
Magdalena, jeune pâtissière, confectionne chaque jour des ensaïmadas, ces brioches majorquines entortillées et saupoudrées de sucre glace. Mais très vite, la guerre civile espagnole frappe aux portes de son village. Au péril de sa vie, Magdalena s'engage alors dans la résistance.
Entre Majorque et Marseille, deux destins de femmes bousculées par la Guerre d'Espagne et un secret de famille, mais unies par une même passion : la pâtisserie.
Mon ressenti
Je ne suis pas une adepte des romans à l’eau de rose comme on dit, des histoires cousues de fils blancs… non plus. Et pourtant, ce qui m’a attirée dans ce roman, c’est avant tout l’histoire de ces deux femmes que la pâtisserie relie.
Et puis, il n’y a pas à dire malgré les clichés, j’ai plongé dans cette histoire qui m’a donnée envie d’en connaître plus sur l’histoire de cette île et ses habitants. L’auteure a une plume légère, elle décrit à merveille les sites, ses personnages, leur histoire dans l’Histoire. Elle donne envie de se faire dorer au soleil, de goûter aux oranges, de partager la fête.
La pâtisserie est une histoire de famille, de génération : 80 ans séparent Anaïs de son arrière-grand-mère Magdalena mais la même passion les unit. C’est au travers du savoir-faire et des recettes de Magdalena, qu’Anaïs va se découvrir et se dévoiler. C’est une idée que j’aime, s’épanouir dans la transmission d’un savoir-faire. Les recettes sont mises aussi dans le livre et viennent rythmer l’avancée des recherches.
C’est un bon moment de lecture et de détente. C’est une invitation au farniente, alors, il ne faut pas se priver…
A découvrir
Roman, édité chez Charleston en avril 2018
240 pages
Résumé
Marseille, 2016
En démontant le faux plafond d'un hôtel, un ouvrier tombe sur une boîte contenant les souvenirs d'une vieille dame, Magdalena. Son arrière-petite-fille, Anaïs, tenancière du Café de l'Ensaïmada, une institution culinaire à Paris, décide alors de partir à la recherche de ses origines majorquines…
Majorque, 1935
Magdalena, jeune pâtissière, confectionne chaque jour des ensaïmadas, ces brioches majorquines entortillées et saupoudrées de sucre glace. Mais très vite, la guerre civile espagnole frappe aux portes de son village. Au péril de sa vie, Magdalena s'engage alors dans la résistance.
Entre Majorque et Marseille, deux destins de femmes bousculées par la Guerre d'Espagne et un secret de famille, mais unies par une même passion : la pâtisserie.
Mon ressenti
Je ne suis pas une adepte des romans à l’eau de rose comme on dit, des histoires cousues de fils blancs… non plus. Et pourtant, ce qui m’a attirée dans ce roman, c’est avant tout l’histoire de ces deux femmes que la pâtisserie relie.
Et puis, il n’y a pas à dire malgré les clichés, j’ai plongé dans cette histoire qui m’a donnée envie d’en connaître plus sur l’histoire de cette île et ses habitants. L’auteure a une plume légère, elle décrit à merveille les sites, ses personnages, leur histoire dans l’Histoire. Elle donne envie de se faire dorer au soleil, de goûter aux oranges, de partager la fête.
La pâtisserie est une histoire de famille, de génération : 80 ans séparent Anaïs de son arrière-grand-mère Magdalena mais la même passion les unit. C’est au travers du savoir-faire et des recettes de Magdalena, qu’Anaïs va se découvrir et se dévoiler. C’est une idée que j’aime, s’épanouir dans la transmission d’un savoir-faire. Les recettes sont mises aussi dans le livre et viennent rythmer l’avancée des recherches.
C’est un bon moment de lecture et de détente. C’est une invitation au farniente, alors, il ne faut pas se priver…
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