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3 participants

    THIERY, Danielle

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    Message  Nina Jeu 12 Juil 2018 - 22:46

    THIERY, Danielle 41pkia10

    Dérapages
    Edition J'ai Lu - 510 pages.

    Présentation de l’éditeur :

    Un corps d’enfant, très déconcertant, est découvert sur une plage du Nord de la France. Un cas troublant qui laisse perplexes tant les forces de police que le médecin légiste.
    Même la commissaire Edwige Marion, qui dirige maintenant un important service de la PJ parisienne, n’a jamais rien vu de tel.
    Au même moment, Marion récupère sa fille Nina en état de choc et couverte de sang. Nina a quitté Londres et sa sœur Angèle, clandestinement. Elle est murée dans son silence. Angèle et son mari, un scientifique renommé, ont disparu.
    Quels peuvent être les liens entre un enfant étrange mort noyé, une adolescente, un scientifique spécialiste du génome humain… et une jeune mère dont on a enlevé le bébé et qui, séquestrée chez elle, sombre dans l’horreur.

    Mon avis :

    Avis à ceux qui aiment les romans policiers sans meurtres et sans violence (oui, de tels fans existent, j’en ai rencontrés),passez votre chemin : ce roman est glauque et sanglant. Les enquêteurs vont avoir fort à faire pour résoudre cette affaire, notamment lutter contre ceux qui leur mettent des bâtons dans les roues. Normal, me direz-vous, un coupable, quel qu’il soit, n’a pas très envie d’être découvert. Sauf que certains enquêteurs eux-mêmes ne sont pas forcément prêts à aider le commissaire Marion et son équipe.
    J’anticipe et je suis floue, oui, mais je ne veux pas trop en dire non plus, parce que l’intrigue est complexe, et parce que les points de vue sont variés. Prenons par exemple cette jeune femme, Jennifer, enfermée dans son curieux appartement. D’un côté, le lecteur la plaint pour les tourments qu’elle endure, pour sa solitude. De l’autre, nous sommes en droit de nous demander dans quelle mesure ce qu’elle voit, ce qu’elle ressent est vrai, et plus encore comment une jeune femme moderne a pu se retrouver aussi isolée, et aussi dépendante d’un seul homme, au point que son enfant voit pour la première fois un médecin à l’âge de quatre mois.
    Effrayant, ce thriller ? Oui. Marion, qui doit de plus veiller sur sa fille Nina, découvre des ramifications à peine croyables, tant « science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Chercher à guérir des maladies, à améliorer le sort des souffrants, oui. Chercher autre chose de plus futile (à mes yeux) non.
    Ce que j’ai aimé, en dépit de l’épaisseur de ce livre, c’est à quel point il est facile à lire, à quel point j’ai tourné les pages rapidement pour découvrir le pourquoi du comment.
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    Message  Pinky Ven 13 Juil 2018 - 8:51

    merci Nina pour cette présentation,
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    Message  Nina Ven 13 Juil 2018 - 9:40

    Merci Pinky pour ta visite.
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    Message  Nina Mar 17 Juil 2018 - 23:58

    THIERY, Danielle 51po2c10

    Tabous
    Edition J'ai lu - 412 pages.

    Présentation de l’éditeur :

    Dans un hôpital d’Arcachon, une femme et son bébé de 4 mois disparaissent mystérieusement. Le commissaire de la PJ de Paris, Edwige Marion, descend épauler son ancien collègue bordelais, accompagnée d’Alix de Clavery, une jeune psycho-criminologue aux méthodes singulières.
    L’enfant est retrouvé… sans sa mère.
    Commence alors une enquête difficile où la spécialiste se heurte aux murs du silence et à la puissances des tabous.

    Mon avis :

    Ce roman suit Dérapages dans l’écriture, mais pas dans la construction de l’intrigue : nul besoin d’avoir lu le précédent pour comprendre et apprécier celui-ci. Le commissaire Marion doit cependant faire avec les conséquences de l’enquête précédente, sa fille Nina est retournée en Angleterre, leurs relations ne sont plus aussi proches qu’elle l’aurait souhaité.
    Pourtant, l’enquête que va mener le commissaire Marion la ramène vingt ans en arrière, à une autre enquête qui, déjà, parlait d’enfants en péril. Je ne veux pas trop m’avancer, mais j’ai l’impression que ce thème est cher à l’auteure. Célia et sa fille Roxane ont disparu, là, comme ça, boum ! d’une maternité où l’on peut entrer et sortir pire que dans un moulin. A la décharge de l’institution, Célia ne venait pas de mettre au monde son bébé, elle revenait en consultation avec sa fille alors même qu’elle n’avait pas accouché ici – premier mystère. Le bébé est retrouvée très vite, mais sa maman, non. Pourtant, mis à part les enquêteurs, personne ne semble se soucier de la jeune femme. Ni ses parents, ni son frère, ni son mari qui est loin, très loin – et pas vraiment aimé par sa belle-famille, au prétexte qu’il est « étranger ».
    L’enquête est presque un huis-clos. On étouffe, dans cette dynastie, qui vit en vase clos. Les enfants ne s’écartent guère de la scierie familiale, même s’ils ont fait, comme Armel et Celia, des études aussi prestigieuses qu’inutiles puisqu’elles ne leur ont pas permis de prendre leur envol. J’ai pensé à Mauriac – un peu – puisque l’enquête se situe dans le bordelais.
    J’ai pensé aussi au débat sur le mariage pour tous (oui, je m’écartais du sujet, un peu) et sur la maternité, thème central s’il en est de ce roman. On vous pose toujours des questions si vous n’avez pas d’enfants on ne vous demandera jamais pourquoi vous avez eu des enfants. Or, dans ce livre, il est peu de relations parents/enfants heureuse. La seule qui l’est, c’est Reynald et Irma, le policier municipal pas toujours futé qui a pris avec lui sa mère devenue impotente et prend soin d’elle à sa manière, sans excès mais sans négligence. Sinon… Prenons par exemple l’intrigue qui semble secondaire, et ce mystérieux Truc – oui, c’est bien son nom. Truc a été surnommé ainsi par sa mère, avant d’être retiré à sa garde. Même chose pour Carole, abandonnée elle aussi et mère célibataire d’une petite fille. Nathalie, l’aide ménagère, est fâchée avec sa fille. L’aisance financière ne change rien à l’affaire : les Laporte ne cessent de montrer leur absence d’amour envers leur descendance. Pire : ils confondent éducation et dressage, tout en essayant de laver leur linge sale en famille.
    Les crimes étaient-ils évitables ? Oui. Il est facile d’imputer le hasard, ou la faute à pas de chance pour certains d’entre eux. Le hasard, ce n’est dans cette histoire que le nom que l’on donne aux causes que l’on ne veut pas ou ne peut pas voir.
    Pinky
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    Message  Pinky Mer 18 Juil 2018 - 9:52

    merci Nina pour cette présentation
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    Message  Nina Mer 18 Juil 2018 - 12:06

    Merco Pinky pour ta visite.
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    Message  Nina Jeu 13 Déc 2018 - 9:42

    THIERY, Danielle 51ombu10

    Féroce
    Edition J'ai Lu - 544 pages.

    Présentation de l’éditeur :

    Une enquête du commissaire Edwige Marion.
    Un inconnu suit une petite fille. Il l’observe comme un animal. Il la veut, il l’aura.
    Des ossements sans têtes sont découverts au zoo de Vincennes dans l’enclos des lions. Des enfants. Alix de Clavery, la criminologue de l’OCRVP, fait immédiatement le lien avec la jeune Swan, dont la disparition au zoo de Thoiry six ans auparavant continue à l’obséder. S’agit-il du même prédateur ? Alors que les forces de l’Office sont mobilisées pour démanteler une filière pédophile, les voilà atteintes en plein coeur : l’adjoint de la commissaire Marion est retrouvé inconscient, les mains en sang, et une brigadière a disparu. Mais le pire est encore à venir. Une alerte enlèvement est déclenchée : il s’agit d’une petite fille…
    De l’homme ou l’animal, on ne sait qui est le plus féroce.

    Mon avis :


    J’aimerai vous dire que ce thriller est soft, doux, facile à lire. Pour la dernière caractéristique, c’est vrai, mais uniquement parce que le récit qui nous est raconté est prenant, comme tous les romans de Danièle Thiery que j’ai lu jusqu’à présent.
    Ce roman, c’est l’histoire d’une enquête qui n’a jamais été vraiment refermée, puisque l’enfant disparu n’a pas été retrouvé. Le fait qu’un corps, un squelette plutôt, soit retrouvé sur les lieux mêmes où l’enfant a été vu en vie pour la dernière fois n’est pas vécu comme une simple coïncidence – forcément – même si d’autres enfants ont disparu, aussi. Dans un récit qui se veut réaliste, tout n’est pas aussi simple que dans un épisode de séries télévisées.
    Ajoutons à cela que la commissaire Marion subit, à nouveau, les conséquences d’une ancienne blessure, si bien qu’elle est contrainte, de s’écarter un peu de l’enquête. Bien sûr, ce n’est pas vraiment ce qu’elle fera, le mot « raisonnable » ne fait pas vraiment partie de son vocabulaire. Surtout, les mauvaises nouvelles s’accumulent : un de ses hommes est gravement blessé, une jeune recrue ne rejoint pas son poste, et une nouvelle affaire débute, puisqu’une petite fille est enlevée. Si vous ajoutez que des activistes anti-zoo manifestent ardemment, et que la brigade tente de démanteler un réseau de pédophilie, vous comprendrez qu’une jolie enquête linéaire ne sera pas de mise, maintes lignes vont s’entrecroiser puisque les enquêteurs devront mener de front toutes ses affaires, parfois de manière assez discrète – qui a bien pu s’attaquer à l’adjoint du commissaire ?
    Ce que je vais dire n’est pas forcément très original : concilier des problèmes personnels lourds et enquêter n’est pas facile, c’est faisable à condition d’être constamment sur le pont, pour ne pas dire effectuer un vrai travail d’équilibriste. Mention spécial pour la criminologue Alix de Clavery, capable de garder son sang froid et son cap en toutes circonstances.
    Nous plongeons aussi, il ne faut pas l’oublier, dans le monde des zoos, dans leur économie, leur fonctionnement. Nous sommes loin d’une image lisse et aseptisée de ce lieu dans lequel quasiment tous les enfants se sont rendus un jour.
    Féroce, un roman policier très réussi.
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    Message  Pinky Jeu 13 Déc 2018 - 11:23

    merci Nina pour cette présentation
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    Message  Nina Jeu 13 Déc 2018 - 21:47

    Merci Pinky pour ta visite.
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    Message  Nina Dim 5 Mai 2019 - 12:10

    THIERY, Danielle Cvt_se10
    Sex Doll
    Edition Flammarion - 405 pages

    Présentation de l’éditeur :

    À Paris, l’ouverture d’un hôtel de passe 2.0, dont les pensionnaires sont des poupées en silicone, ne fait pas l’unanimité. Son jeune propriétaire, précurseur sur le marché du sexe, n’avait pas imaginé les réactions violentes que sa start-up provoquerait … Dans le même temps, l’Office, dirigé par le commissaire Marion, est confronté à une série de meurtres atroces. Trois femmes sont retrouvées mutilées, des parties de leur corps trafiquées afin d’en faire des créatures parfaites. La psycho-criminologue Alix de Clavery, dont l’expertise est indispensable sur ce dossier, a mystérieusement disparu. Si Marion devine que ces affaires sont liées, elle n’imagine pas à quel point. De Paris au Japon, elle traque ce Docteur X qui l’obsède depuis quinze ans.

    Mon avis :

    J’aime beaucoup lire les romans de Danielle Thiéry et c’est avec plaisir que j’ai retrouvé la commissaire Edwige Marion. J’apprécie que les personnages soient construit sur la continuité, elle, ses proches, et que ce qu’elle a vécu précédemment ne passe pas à la trappe – il en est de même pour ce qu’ont vécu ses proches, et les autres enquêteurs, tissant des liens avec les précédents récits, sans que cela nuise à la compréhension de celui que l’on est en train de lire.
    Marion a été blessée, dans une précédente enquête, et elle en subit encore, parfois, les séquelles – les corps souffrent, gardent l’empreinte des blessures, ne l’oublions pas. Elle se retrouve pourtant lancée sur une nouvelle enquête de tueur en série – le troisième meurtre vient d’avoir lieu, et l’implique personnellement, par le biais d’une collègue, d’une proche, ou de sa propre fille, de retour de Londres. Oui, l’enquête s’annonce peu facile – vous en connaissez, vous, des enquêtes faciles ? et chaque jour, chaque demi-journée qui passe, devrai-je dire, apporte son lot d’indices mais aussi de problèmes. De plus, l’un des membres de l’équipe, nouvellement arrivé en remplacement d’un collègue assassiné, ne fait pas l’unanimité. Pire, il n’est pas vraiment à fond dans l’enquête, ce qui peut devenir très vite carrément gênant. Avec son prénom qui semble tout droit tiré d’un roman du XVIIe siècle et sa coiffure digne de Veronica Lake, Philémon ne passe pas inaperçu, quand il daigne honoré l’enquête de sa présence. Oui, je suis un peu « méchante » avec ce personnage, il faut dire qu’il est un poil (un cheveu ?) exaspérant.
    Ce roman nous parle de la sexualité 2.0, de cette prostitution new look qui n’en est pas une, puisque les hommes ont commerce avec des poupées. Elles renvoient à ce que certains attendent des femmes : la perfection physique (groumpf) et surtout une extrême docilité, une soumission totale. Vous pouvez dire « beurk », et je serai d’accord avec vous – n’est-ce pas ce que l’on enseignait aux jeunes filles, il n’y a pas si longtemps que cela ? Je vous renvoie aux manuels de la parfaite épouse des années soixante : autant dire que les personnages des enquêtrices, Marion à leur tête, tranchent avec ce modèle. Quant à l’intrigue…Je pourrai vous dire simplement qu’elle ne comporte pas de temps mort. Je pourrai vous dire surtout que, comme les précédents romans de Danièle Thiéry, les lieux et leur occupation sont importants, notamment la notion d’enfermement. Que l’on soit dans un château, dans une maison close moderne, un hôpital ou un lieu désaffecté (ils sont souvent à explorer dans l’oeuvre de la romancière), l’important est de pouvoir conserver sa liberté de mouvement – quitter un lieu est souvent plus difficile que d’y entrer.
    Un livre que j’ai beaucoup apprécié, comme les précédents.
    Ratdebibliotheque
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    Message  Ratdebibliotheque Dim 5 Mai 2019 - 15:42

    Merci pour cet avis, Nina.
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    Message  Pinky Lun 6 Mai 2019 - 10:18

    merci Nina pour cette présentation
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    Message  Nina Lun 6 Mai 2019 - 18:21

    Merci Ratdebibliothèque et Pinky pour votre visite.
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    Message  Nina Jeu 19 Sep 2019 - 19:44

    THIERY, Danielle 41ynds10

    Piquette à la roquette
    Edition French pulp fiction - 288 pages

    Présentation de l’éditeur :

    Un ancien taulard qui prétend rechercher sa petite-fille disparue, la réapparition d’une ancienne maîtresse, morte depuis trois ans, amènent Burma dans le bouillonnant 11ème arrondissement de Paris.
    De la Roquette à la Bastille, le quartier des Apaches et des bistrots pris pour cible par les fous de Dieu.
    Celui aussi des tatoueurs, piqueurs en tout genre qui font des corps un terrain de jeux dangereux.
    Parce qu’on ne le provoque pas impunément, le détective de choc va plonger dans les tréfonds nauséabonds, au fond des caves où se planque le diable !

    Mon avis :


    J’ai bien sûr commencé cette lecture avec un préjugé : j’aime Nestor Burma, j’aime les romans de Danielle Thiéry qui ne m’ont jamais déçue. Je pensais donc passer un bon moment de lecture, et je ne me suis pas trompée. J’ai à la fois retrouvé Burma et le style de l’autrice. Mais, pour tous ceux qui ne connaîtraient ni l’un ni l’autre, plongeons nous dans cette intrigue.
    Elle est sombre, très sombre, et commence pourtant comme presque toutes les enquêtes : un client se présente parce qu’il souhaite que Nestor Burma retrouve sa petite-fille disparue. Le souci est que le client ne dit pas tout, pour ne pas dire qu’il ne confie presque rien, avant d’être retrouvé assassiné. Y a-t-il un lien entre sa mort et la disparition de celle de sa petite-fille, ou prétendue telle ? Je ne dirai pas « à vous de voir », je vous dirai que les coïncidences ne peuvent pas passer inaperçu aux yeux de Burma, qui a eu aussi fort à faire avec Mansour, son acolyte spécialisé dans la traque sur internet. Note : Burma ne se privera pas pour rendre au jeune homme la monnaie de sa pièce, en tout bien, tout honneur, sans douleur, sauf pour son ego. Il aura aussi fort à faire pour Kardiatou, sa très efficace secrétaire, qui ne manque pas d’esprit d’initiative. Ne jamais douter de ses collaborateurs, une évidence pour Burma.
    Malgré son humour, Nestor se retrouve confronté à une enquête des plus sombres, désespérantes, montrant tout ce que l’homme est capable de faire à autrui, et pas en bien. L’imagination semble ne pas avoir de limites, les ressources pour faire du mal non plus. Il faut toute la persévérance de Burma, le fait qu’il ne recule devant rien lui non plus pour venir à bout de cette enquête.
    Autre élément important : le passé de Burma, celui dont il n’a pas envie de parler, parce que le passé est mort, enterré, et pourtant, Burma ne divague pas, il « voit » son ancien amour, morte depuis trois ans. Pourquoi ? Burma ne devient pas fou, l’intrigue ne s’égare pas non plus dans des méandres irréalistes, il s’agit de se dire que rien ne peut rester inachevé.
    Pinky
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    Message  Pinky Ven 20 Sep 2019 - 11:40

    merci Nina pour cette présentation
    Nina
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    Message  Nina Ven 20 Sep 2019 - 11:50

    Merci Pinky pour ta visite.

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