LA FOLIE DE JOSÉPHINE BAKER
Biographie éditée au serpent à plume en octobre 2001
360 pages
Résumé
Joséphine Baker peut désormais être considérée comme la première star noire de l'Histoire. On la retrouve au croisement de tous les grands courants artistiques du début du XXe siècle, dans les capitales de l'époque - New York, Paris, Berlin -, incarnant soudain les aspirations des créateurs les plus novateurs. Peintres, sculpteurs, photographes et autres collectionneurs d'art africain, créateurs de mode, directeurs de ballet, de théâtre et de comédies musicales se bousculent pour la mettre en scène, l'habiller, la déshabiller, la photographier, la dessiner, la faire chanter et l'applaudir. En phase avec les nouvelles musiques, avec les idées naissantes de libération de la femme et les mouvements anti-racistes, elle est annonciatrice de l'explosion créatrice afro-américaine du XXe siècle. Un peu plus de vingt-cinq ans après sa mort, la petite Joséphine, née Carson dans un milieu humble de descendants d'esclaves noirs de Saint-Louis, Missouri, est devenue une légende, une des figures internationales parmi les plus populaires que l'humanité ait connues. Subversive, rebelle, visionnaire : telle fut Joséphine Baker.
Mon ressenti
C’est en visitant « le château des Milandes» demeure qu’elle a acheté en Dordogne, que j’ai découvert son univers et plus globalement son histoire. Je connaissais l’artiste et certains de ses déboires.
Cette biographie met en avant l’artiste, mais aussi la femme. C’est femme mariée à 13 ans est devenue une femme au grand cœur et qui pensait que tous les Hommes étaient bons. Elle a donné, encore donné, dépensé sans compter jusqu’à se faire expulser de chez elle.
La chanteuse n’était pas qu’une star du music-hall, elle était humaniste, une fervente défenderesse de la cause noire, a combattu pour les Alliés pendant la guerre, pour la cause des enfants et pour un monde meilleur.
La trahison, les traitrises, l’exploitation rien ne lui sera épargnée… même si elle était un panier percé, elle ne comptait pas et tentait de réaliser ses rêves, elle a su donner et faire vivre ses rêves pour les réaliser. Je suis admirative de sa famille arc-en-ciel qu’elle a tenté de faire vivre.
Le dernier cliché de Joséphine aux Milandes est impensable et insoutenable. Il pose les questions de reconnaissance, d’expulsion, de la dégradation infligée à une personne…
Même si Joséphine est partie depuis un moment, sa mémoire et son aura reste imprégnées au château des Milandes devenu un château-musée, témoin d’une destinée haute en couleurs.
A découvrir
Biographie éditée au serpent à plume en octobre 2001
360 pages
Résumé
Joséphine Baker peut désormais être considérée comme la première star noire de l'Histoire. On la retrouve au croisement de tous les grands courants artistiques du début du XXe siècle, dans les capitales de l'époque - New York, Paris, Berlin -, incarnant soudain les aspirations des créateurs les plus novateurs. Peintres, sculpteurs, photographes et autres collectionneurs d'art africain, créateurs de mode, directeurs de ballet, de théâtre et de comédies musicales se bousculent pour la mettre en scène, l'habiller, la déshabiller, la photographier, la dessiner, la faire chanter et l'applaudir. En phase avec les nouvelles musiques, avec les idées naissantes de libération de la femme et les mouvements anti-racistes, elle est annonciatrice de l'explosion créatrice afro-américaine du XXe siècle. Un peu plus de vingt-cinq ans après sa mort, la petite Joséphine, née Carson dans un milieu humble de descendants d'esclaves noirs de Saint-Louis, Missouri, est devenue une légende, une des figures internationales parmi les plus populaires que l'humanité ait connues. Subversive, rebelle, visionnaire : telle fut Joséphine Baker.
Mon ressenti
C’est en visitant « le château des Milandes» demeure qu’elle a acheté en Dordogne, que j’ai découvert son univers et plus globalement son histoire. Je connaissais l’artiste et certains de ses déboires.
Cette biographie met en avant l’artiste, mais aussi la femme. C’est femme mariée à 13 ans est devenue une femme au grand cœur et qui pensait que tous les Hommes étaient bons. Elle a donné, encore donné, dépensé sans compter jusqu’à se faire expulser de chez elle.
La chanteuse n’était pas qu’une star du music-hall, elle était humaniste, une fervente défenderesse de la cause noire, a combattu pour les Alliés pendant la guerre, pour la cause des enfants et pour un monde meilleur.
La trahison, les traitrises, l’exploitation rien ne lui sera épargnée… même si elle était un panier percé, elle ne comptait pas et tentait de réaliser ses rêves, elle a su donner et faire vivre ses rêves pour les réaliser. Je suis admirative de sa famille arc-en-ciel qu’elle a tenté de faire vivre.
Le dernier cliché de Joséphine aux Milandes est impensable et insoutenable. Il pose les questions de reconnaissance, d’expulsion, de la dégradation infligée à une personne…
Même si Joséphine est partie depuis un moment, sa mémoire et son aura reste imprégnées au château des Milandes devenu un château-musée, témoin d’une destinée haute en couleurs.
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