UN ÉTÉ SANS LES HOMMES
Roman édité chez Babel en avril 2013
213 pages
Résumé
Incapable de supporter plus longtemps la liaison que son mari, Boris, neuroscientifique de renom, entretient avec une femme plus jeune qu'elle, Mia, poétesse de son état, décide de quitter New York pour se réfugier auprès de sa mère qui, depuis la mort de son mari, a pris ses quartiers dans une maison de retraite du Minnesota. En même temps que la jubilatoire résilience dont fait preuve le petit groupe de pétillantes veuves octogénaires qui entoure sa mère, Mia va découvrir la confusion des sentiments et les rivalités à l'œuvre chez les sept adolescentes qu'elle a accepté d'initier à la poésie le temps d'un été, tout en nouant une amitié sincère avec Lola, jeune mère délaissée par un mari colérique et instable... Parcours en forme de "lecture de soi" d'une femme à un tournant de son existence et confrontée aux âges successifs de la vie à travers quelques personnages féminins inoubliables, ce roman aussi solaire que plaisamment subversif dresse le portrait attachant d'une humanité fragile mais se réinventant sans cesse.
Mon ressenti
Je suis partagée avec ce livre : à la fois véritable introspection autour de Mia avec ses humeurs, ses tourments, ses émotions et ses réflexions suite à sa séparation et sa rencontre avec le groupe d’amies de sa mère et celui d’adolescentes. Le cocktail s’avère merveilleux ou très lent car rythmé par l’introspection de Mia.
Entre l’une qui essaye de reprendre goût à la vie et les autres qui attendent de passer dans un autre monde, les rencontres s’avèrent épiques. Comment enseigner la poésie à sept adolescentes et donner l’envie ?
Plusieurs femmes se répondent en résonnance à des stades différents de leur évolution : être une femme « libérée » n’est pas si facile… qu’est-ce qu’une femme en fin de compte ?
L’auteure s’attache à nous livrer des portraits touchant de femmes prises dans leur contradiction mais révèlent au mieux leur humanité.
A découvrir
Roman édité chez Babel en avril 2013
213 pages
Résumé
Incapable de supporter plus longtemps la liaison que son mari, Boris, neuroscientifique de renom, entretient avec une femme plus jeune qu'elle, Mia, poétesse de son état, décide de quitter New York pour se réfugier auprès de sa mère qui, depuis la mort de son mari, a pris ses quartiers dans une maison de retraite du Minnesota. En même temps que la jubilatoire résilience dont fait preuve le petit groupe de pétillantes veuves octogénaires qui entoure sa mère, Mia va découvrir la confusion des sentiments et les rivalités à l'œuvre chez les sept adolescentes qu'elle a accepté d'initier à la poésie le temps d'un été, tout en nouant une amitié sincère avec Lola, jeune mère délaissée par un mari colérique et instable... Parcours en forme de "lecture de soi" d'une femme à un tournant de son existence et confrontée aux âges successifs de la vie à travers quelques personnages féminins inoubliables, ce roman aussi solaire que plaisamment subversif dresse le portrait attachant d'une humanité fragile mais se réinventant sans cesse.
Mon ressenti
Je suis partagée avec ce livre : à la fois véritable introspection autour de Mia avec ses humeurs, ses tourments, ses émotions et ses réflexions suite à sa séparation et sa rencontre avec le groupe d’amies de sa mère et celui d’adolescentes. Le cocktail s’avère merveilleux ou très lent car rythmé par l’introspection de Mia.
Entre l’une qui essaye de reprendre goût à la vie et les autres qui attendent de passer dans un autre monde, les rencontres s’avèrent épiques. Comment enseigner la poésie à sept adolescentes et donner l’envie ?
Plusieurs femmes se répondent en résonnance à des stades différents de leur évolution : être une femme « libérée » n’est pas si facile… qu’est-ce qu’une femme en fin de compte ?
L’auteure s’attache à nous livrer des portraits touchant de femmes prises dans leur contradiction mais révèlent au mieux leur humanité.
A découvrir