LES HOMMES FRÉNÉTIQUES
SF édité en 1920 et réédité chez Snag en avril 2019
350 pages
Résumé
Le roman fondateur de l'anticipation enfin réédité. Ernest Pérochon, prix Goncourt en 1920 a inspiré tous les plus grands auteurs de science-fiction grâce à ce roman. Un livre culte de la science-fiction française méconnu qui a inspiré notamment Barjavel et son roman " La Nuit des temps ".
" Le " roman apocalyptique et visionnaire qui pose les grandes questions de nos sociétés actuelles comme la domination des machines sur l'homme et l'absence d'avenir sans conscience éclairée et humanisme.
Après le grand cataclysme, une nouvelle ère débute. La technologie est au centre de tout et la société est organisée en fonction des corps des métiers. Peu à peu, les tensions entre les peuples s'accentuent. Harrisson, physicien, lutte pour maintenir la paix quitte à détruire l'espèce humaine en la stérilisant.
Avec Les hommes frénétiques (1925), Ernest Pérochon (1885-1942), lançait un stupéfiant cri d'alarme contre une " science sans conscience " dont on commençait à peine alors à mesurer le danger. Chronique impitoyable de la fin de l'humanité, ce roman visionnaire devait marquer les esprits au point de devenir l'un des classiques fondateurs de la science-fiction moderne.
Mon ressenti
Le résumé en dit long déjà sur ce livre. Après une guerre, l’humanité s’est reconstruite autour des scientifiques. Puis au détour d’une élection, les tensions entre communautés ressurgissent et une nouvelle guerre voit le jour. Qui dit science, dit avancées et inventions : toujours plus loin. Les armes sont plus meurtrières et perfectionnées, elles font des millions de morts.
La 1ère guerre mondiale plane sur ce livre. Avant cette guerre, la science était synonyme de progrès, de bien-être, d’amélioration des conditions de vie, hélas après la guerre, celle-ci était synonyme d’un instrument de mort.
Le livre est une histoire sans demi-mesure qui fait froid dans le dos puisqu’il évoque une histoire du futur horrible. L’intrigue est minime, l’imaginaire est comblé par de multiples destructions et conflits. Ce livre est comme le témoignage éprouvant de la pensée d’un survivant de la 1ère guerre mondiale.
Force est de constater, que les peurs et perspectives que soulève l’auteur, est aujourd’hui toujours d’actualité, que l’homme n’a toujours pas compris et tiré profit de l’expérience du passé.
A découvrir
SF édité en 1920 et réédité chez Snag en avril 2019
350 pages
Résumé
Le roman fondateur de l'anticipation enfin réédité. Ernest Pérochon, prix Goncourt en 1920 a inspiré tous les plus grands auteurs de science-fiction grâce à ce roman. Un livre culte de la science-fiction française méconnu qui a inspiré notamment Barjavel et son roman " La Nuit des temps ".
" Le " roman apocalyptique et visionnaire qui pose les grandes questions de nos sociétés actuelles comme la domination des machines sur l'homme et l'absence d'avenir sans conscience éclairée et humanisme.
Après le grand cataclysme, une nouvelle ère débute. La technologie est au centre de tout et la société est organisée en fonction des corps des métiers. Peu à peu, les tensions entre les peuples s'accentuent. Harrisson, physicien, lutte pour maintenir la paix quitte à détruire l'espèce humaine en la stérilisant.
Avec Les hommes frénétiques (1925), Ernest Pérochon (1885-1942), lançait un stupéfiant cri d'alarme contre une " science sans conscience " dont on commençait à peine alors à mesurer le danger. Chronique impitoyable de la fin de l'humanité, ce roman visionnaire devait marquer les esprits au point de devenir l'un des classiques fondateurs de la science-fiction moderne.
Mon ressenti
Le résumé en dit long déjà sur ce livre. Après une guerre, l’humanité s’est reconstruite autour des scientifiques. Puis au détour d’une élection, les tensions entre communautés ressurgissent et une nouvelle guerre voit le jour. Qui dit science, dit avancées et inventions : toujours plus loin. Les armes sont plus meurtrières et perfectionnées, elles font des millions de morts.
La 1ère guerre mondiale plane sur ce livre. Avant cette guerre, la science était synonyme de progrès, de bien-être, d’amélioration des conditions de vie, hélas après la guerre, celle-ci était synonyme d’un instrument de mort.
Le livre est une histoire sans demi-mesure qui fait froid dans le dos puisqu’il évoque une histoire du futur horrible. L’intrigue est minime, l’imaginaire est comblé par de multiples destructions et conflits. Ce livre est comme le témoignage éprouvant de la pensée d’un survivant de la 1ère guerre mondiale.
Force est de constater, que les peurs et perspectives que soulève l’auteur, est aujourd’hui toujours d’actualité, que l’homme n’a toujours pas compris et tiré profit de l’expérience du passé.
A découvrir