La sorcière de Magicville
96 pages.
Résumé : Camille et Thibault ont dix ans, ils sont jumeaux. Cet été, ils passent leurs vacances chez leurs grands-parents à Magicville, un lieu dont on leur avait caché l’existence jusque-là. À leur grande surprise, ils découvrent qu’eux aussi, comme les habitants de la petite cité, possèdent des pouvoirs. Tout serait merveilleux si la sorcière Démonia n’avait décidé de s’emparer du trône du roi Barnabet.
Mon avis :
Mon premier postulat va peut-être vous étonner : le roman a beau se passer dans l’univers de la magie, Camille et Thibault évoluent dans un univers serein. Leurs parents s’entendent bien, ils ont des liens forts avec leurs grands-parents. Certes, jusqu’à présent, ils n’étaient jamais allés chez eux, mais les contacts avec ceux-ci étaient fréquents, les uns et les autres se connaissent bien. C’est peut-être pour cette raison que la révélation de l’existence de Magicville, de la véritable nature de leur famille se passe relativement bien : les deux enfants sont bien entourés et sont encore suffisamment jeunes pour avoir conservé toutes leurs capacités d’émerveillement (note : on peut les conserver très longtemps).
Sauf que… comme dans tout roman ou presque, il y a un souci, une mouche dans le lait, ou plutôt une sorcière qui revient à Magicville et a bien l’intention de parvenir à ses fins – oui, elle n’est pas en vacances, elle, et cela sonne un peu (beaucoup) comme la fin du repos pour les jumeaux. Oui, ils découvraient petit à petit l’univers magique, les pouvoirs de la magie, mais sans pression. Leur famille, et d’autres personnalités de la ville, se retrouvent en première ligne pour lutter. Et oui, même dans un roman de littérature jeunesse, on ne part pas au combat en se disant que tout va bien se passer : il faut aussi penser à ce qui pourrait arriver si tout ne se passait pas bien.
Ce fut un roman facile et agréable à lire, avec des péripéties qui retiennent l’attention du lecteur. De même, le vocabulaire ne pose pas de difficultés (oui, c’est la professeur qui parle), l’intrigue se suit avec plaisir. Bref, un récit à recommander pour les enfants dès huit ans.
96 pages.
Résumé : Camille et Thibault ont dix ans, ils sont jumeaux. Cet été, ils passent leurs vacances chez leurs grands-parents à Magicville, un lieu dont on leur avait caché l’existence jusque-là. À leur grande surprise, ils découvrent qu’eux aussi, comme les habitants de la petite cité, possèdent des pouvoirs. Tout serait merveilleux si la sorcière Démonia n’avait décidé de s’emparer du trône du roi Barnabet.
Mon avis :
Mon premier postulat va peut-être vous étonner : le roman a beau se passer dans l’univers de la magie, Camille et Thibault évoluent dans un univers serein. Leurs parents s’entendent bien, ils ont des liens forts avec leurs grands-parents. Certes, jusqu’à présent, ils n’étaient jamais allés chez eux, mais les contacts avec ceux-ci étaient fréquents, les uns et les autres se connaissent bien. C’est peut-être pour cette raison que la révélation de l’existence de Magicville, de la véritable nature de leur famille se passe relativement bien : les deux enfants sont bien entourés et sont encore suffisamment jeunes pour avoir conservé toutes leurs capacités d’émerveillement (note : on peut les conserver très longtemps).
Sauf que… comme dans tout roman ou presque, il y a un souci, une mouche dans le lait, ou plutôt une sorcière qui revient à Magicville et a bien l’intention de parvenir à ses fins – oui, elle n’est pas en vacances, elle, et cela sonne un peu (beaucoup) comme la fin du repos pour les jumeaux. Oui, ils découvraient petit à petit l’univers magique, les pouvoirs de la magie, mais sans pression. Leur famille, et d’autres personnalités de la ville, se retrouvent en première ligne pour lutter. Et oui, même dans un roman de littérature jeunesse, on ne part pas au combat en se disant que tout va bien se passer : il faut aussi penser à ce qui pourrait arriver si tout ne se passait pas bien.
Ce fut un roman facile et agréable à lire, avec des péripéties qui retiennent l’attention du lecteur. De même, le vocabulaire ne pose pas de difficultés (oui, c’est la professeur qui parle), l’intrigue se suit avec plaisir. Bref, un récit à recommander pour les enfants dès huit ans.