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Céline72
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15 participants
BRUSSOLO Serge
Valou- LA
- Message n°27
Re: BRUSSOLO Serge
Merci pour ton avis Igg!!! Je me le note! j'adore Serge Brussolo!!!!
Atti'- M
- Message n°28
Re: BRUSSOLO Serge
Merci Igg pour cette présentation.
Pas trop emballé par le thème malgré ton avis positif, je vais passer mon tour.
Pas trop emballé par le thème malgré ton avis positif, je vais passer mon tour.
Igg- LEH
- Message n°29
Re: BRUSSOLO Serge
C'est gentil de vous intéresser à mon avis
J'ai vu que ce livre avait une suite : Le masque d'argile et comme il est à la bibliothèque, il n'y a plus qu'à...
Je lis, également, Brussolo avec plaisir.
J'ai vu que ce livre avait une suite : Le masque d'argile et comme il est à la bibliothèque, il n'y a plus qu'à...
Je lis, également, Brussolo avec plaisir.
Kasper- LEH
- Message n°30
Re: BRUSSOLO Serge
Merci Igg! Celui-là je ne l'ai pas lu, je le note ainsi que sa suite!
J'ai lu "Le labyrinthe de Pharaon" et j'ai vraiment beaucoup aimé!
J'ai lu "Le labyrinthe de Pharaon" et j'ai vraiment beaucoup aimé!
Ratdebibliotheque- ML
- Message n°31
Re: BRUSSOLO Serge
Merci pour ton avis, Igg, mais il ne me tente pas, trop historique à mon goût !
Igg- LEH
- Message n°32
Re: BRUSSOLO Serge
Effectivement, Kasper, je l'ai lu aussi, très bonne lecture. C'est cyclique mais je reviens toujours vers Brussolo.
Valou- LA
- Message n°33
Re: BRUSSOLO Serge
imagik.fr
" La captive de l'hiver "
Editions:Editions du masque
Pages:315
Genre:Thriller
4ème de couverture:
Pourquoi les Vikings ont-ils traversé les mers pour enlever Marion, l'ymagière qui sculte des vierges de pierre au fond d'une abbaye de la côte normande?
Pourquoi les guerriers de la mer sont-ils terrifiés par cette jeune femme, au point de lui emprisonner les mains dans des gantelets d'acier?
C'est un univers gouverné par d'étranges superstitions quiattend Marion au-delà des glaciers. Là, elle doit veiller sur les divinités du clan au péril de sa vie, et se défier des intrigues que la jalousie fait naître autour d'elle. Car certains détestent cette " sorcière " venue de France, et multiplient les complots pour ruiner son crédit.
Marion triomphera-t-elle des rites barbares du peuple des neiges, ou bien finira-t-elle par succomber aux dangereux secrets qu'elle a commis l'erreur de mettre au jour?
Mon avis:
Encore une fois, j'ai été embarquée dans cette incroyable histoire de Serge Brussolo!!! Ce thriller qui se passe au temps des Vikings est surprenant!!!
Marion a été enlevée par un clan Viking pour sauvegarder les divinités qui protègent le dernier clan de guerriers au coeur des glaciers!
Elle y découvre une vie rude, complètement obsédée par les superstitions! Tout au long du livre on a l'impression d'être nous même au coeur des glaciers, tellement tout est bien décrit!!!!
Rök est le chef de ce clan et il est craint par tous les membres car c'est un guerrier sanguinaire et la moindre contrariété peut signer la mort du clan!!! Mais Rök craint Marion, à qui il prête des pouvoirs!! Il l'a enlevée dans un but bien précis, et ce qu'elle va découvrir peut les tuer tous, alors Marion s'applique à cacher ce secret...
Cette histoire est pleine de rebondissement incroyable!!! J'ai beaucoup apprécié les descriptions des rites et superstitions des Vikings! Encore un bon moment de lecture!!
" La captive de l'hiver "
Editions:Editions du masque
Pages:315
Genre:Thriller
4ème de couverture:
Pourquoi les Vikings ont-ils traversé les mers pour enlever Marion, l'ymagière qui sculte des vierges de pierre au fond d'une abbaye de la côte normande?
Pourquoi les guerriers de la mer sont-ils terrifiés par cette jeune femme, au point de lui emprisonner les mains dans des gantelets d'acier?
C'est un univers gouverné par d'étranges superstitions quiattend Marion au-delà des glaciers. Là, elle doit veiller sur les divinités du clan au péril de sa vie, et se défier des intrigues que la jalousie fait naître autour d'elle. Car certains détestent cette " sorcière " venue de France, et multiplient les complots pour ruiner son crédit.
Marion triomphera-t-elle des rites barbares du peuple des neiges, ou bien finira-t-elle par succomber aux dangereux secrets qu'elle a commis l'erreur de mettre au jour?
Mon avis:
Encore une fois, j'ai été embarquée dans cette incroyable histoire de Serge Brussolo!!! Ce thriller qui se passe au temps des Vikings est surprenant!!!
Marion a été enlevée par un clan Viking pour sauvegarder les divinités qui protègent le dernier clan de guerriers au coeur des glaciers!
Elle y découvre une vie rude, complètement obsédée par les superstitions! Tout au long du livre on a l'impression d'être nous même au coeur des glaciers, tellement tout est bien décrit!!!!
Rök est le chef de ce clan et il est craint par tous les membres car c'est un guerrier sanguinaire et la moindre contrariété peut signer la mort du clan!!! Mais Rök craint Marion, à qui il prête des pouvoirs!! Il l'a enlevée dans un but bien précis, et ce qu'elle va découvrir peut les tuer tous, alors Marion s'applique à cacher ce secret...
Cette histoire est pleine de rebondissement incroyable!!! J'ai beaucoup apprécié les descriptions des rites et superstitions des Vikings! Encore un bon moment de lecture!!
Céline72- LEH
- Message n°36
Re: BRUSSOLO Serge
La princesse noire
Mon avis :
Mon avis :
Le premier livre que j'ai lu de cet auteur et vraiment j'ai trouvé qu'il a une écriture fluide et vivante au point il a réussi à me faire plonger dans ces décors plus ou moins lugubres. De plus, l'intrigue est prenante et jusqu'au bout le suspens est omniprésent avec des personnages très attachants principalement l'héroïne : Inga.
Bref, j'ai passé un très bon moment en compagnie de ce roman où l'on est en plein cœur des légendes vikings. Un livre que je recommande vivement.
Bref, j'ai passé un très bon moment en compagnie de ce roman où l'on est en plein cœur des légendes vikings. Un livre que je recommande vivement.
Céline72- LEH
- Message n°37
Re: BRUSSOLO Serge
Le manoir des sortilèges
Éditions Le Livre de Poche de 2007, 317 pages
Quatrième de couverture :
Gilles, un jeune écuyer, voit mourir son maître au cours d'un tournoi. Devenu la propriété du vainqueur, le voilà dès lors contraint de servir un étrange chevalier à l'armure couverte de rouille, et dont personne n'a jamais vu le visage. Ce baron maudit serait-il lié aux enlèvements d'enfants qui terrorisent la contrée ?
Peu après, ce maître mystérieux accepte une mission : retrouver, au coeur d'un manoir perdu dans les forêts du Ponant, un grimoire de sorcellerie dont la possession confère des pouvoirs maléfiques. Commence alors pour l'écuyer un dangereux voyage, qui va lier son sort à celui d'un monstre et l'entraîner aux confins de la peur.
Dans la veine du Château des poisons et de L'Armure de vengeance, Serge Brussolo nous plonge au coeur des superstitions et des ténèbres, dans un suspense qui ne laisse nul répit.
Peu après, ce maître mystérieux accepte une mission : retrouver, au coeur d'un manoir perdu dans les forêts du Ponant, un grimoire de sorcellerie dont la possession confère des pouvoirs maléfiques. Commence alors pour l'écuyer un dangereux voyage, qui va lier son sort à celui d'un monstre et l'entraîner aux confins de la peur.
Dans la veine du Château des poisons et de L'Armure de vengeance, Serge Brussolo nous plonge au coeur des superstitions et des ténèbres, dans un suspense qui ne laisse nul répit.
Mon avis :
Dans ce livre, l'histoire se passe presque à huis-clos, dans une atmosphère plus ou moins angoissante. En effet, l'action se déroule dans un manoir où nos trois héros, bien différents l'un de l'autre : un jeune écuyer, une sorcière et un chevalier, ont pour but commun, la recherche d'un grimoire magique.
A travers cette histoire, on se rend compte qu'au Moyen-Age, la crainte de la sorcellerie était dure à vivre.
Ce roman sombre au côté un peu fantastique, se lit très bien avec quelques rebondissements au fil des pages, et une fin surprenante à laquelle je m'y attendais pas. De plus, l'écriture de Serge Brussolo est fluide, simple et vivante, qui fait que l'on ne s'ennuie à aucun moment.
A tous ceux qui aiment la période moyenâgeuse ainsi que la sorcellerie, je leur recommande donc cette lecture que j'ai moi-même apprécié.
A travers cette histoire, on se rend compte qu'au Moyen-Age, la crainte de la sorcellerie était dure à vivre.
Ce roman sombre au côté un peu fantastique, se lit très bien avec quelques rebondissements au fil des pages, et une fin surprenante à laquelle je m'y attendais pas. De plus, l'écriture de Serge Brussolo est fluide, simple et vivante, qui fait que l'on ne s'ennuie à aucun moment.
A tous ceux qui aiment la période moyenâgeuse ainsi que la sorcellerie, je leur recommande donc cette lecture que j'ai moi-même apprécié.
Pinky- M
- Message n°38
Re: BRUSSOLO Serge
LE SYNDROME DU SCAPHANDRIER
SF
188 pages édité chez Gallimard en octobre 2000 et en poche
résumé
David est un chasseur de rêves.Chaque nuit il s'enfonce au cœur du sommeil pour en ramener d'étranges objets que se disputent des collectionneurs avides.
Si, dans le monde réel, David est un modeste fonctionnaire au service d'une administration sans visage, en rêve il mène la vie exaltante et dangereuse d'un cambrioleur aux effractions chaque fois plus risquées. Les psychologues lui affirment que cet univers parallèle n'existe pas, que ces complices, ces gangsters, ces femmes fatales des profondeurs sont un pur produit de son imagination. Mais comment en être vraiment sûr ? Et si l'on pouvait émigrer, passer en fraude la frontière de la réalité pour se réfugier dans la zone libre des songes ?
Mon ressenti
Le rêve ou les rêves, quoi de plus merveilleux que cela… Chacun a sa définition du rêve… monde à part, monde de la nuit ou quête vers lequel la passion nous emmène.. Utopie ou réalité… de nombreuses expressions viennent émailler le rêve ! Qu’est-ce que nous sommes bien lorsque nous rêvons, que nous faisons part de nos rêves, nous sommes vivants… Le personnage principal est un artiste du rêve, à chaque rêve il ramène quelque chose de là-bas. Il y retourne d’autant plus qu’il a une autre vie bien meilleure à bien des niveaux !
L’auteur nous convie à une ballade dans un univers onirique ou cauchemardesque … un univers où la réalité n’est pas spécialement celle que l’on croit. Comme un miroir à l’infini, tout semble déformé, incompréhensible, éphémère… l’étrange côtoie le sublime, la création le déni de soi, l’acquisition prévaut la négation de l’autre…
J’ai adoré cette métaphore de la plongée pour évoquer l’artiste, la confrontation à soi et le regard de l’autre. L’autre, moi ou vous, le consommateur, le collectionneur… quel est notre rapport à l’art notre façon de l'appréhender ? Une oeuvre pour une œuvre ? le bien être qu'elle peut apporter ? sa valeur marchande ? Faut-il être malheureux pour pouvoir créer et être reconnu et touché au sommet de son art ? Des idées de l'auteur à foison à chaque chapitre ….
J’ai adoré ce livre même si je n’apprécie pas toujours le style de l’auteur, mais là il m’a bluffée et scotchée. Autre bémol, c’est le côté désespoir ou noir de ses personnages, la spirale d’autodestruction du personnage principal. Est-ce que le génie ou la création entraîne toujours une certaine autodestruction ?
En tout cas, j’ai aimé l’ambiguïté permanente du propos s’opposant à l’étrange et au côté fantastique me perdant dans les dédales des mondes évoqués.
A découvrir absolument, faites de beaux rêves …
merci Kasper pour cette découverte
SF
188 pages édité chez Gallimard en octobre 2000 et en poche
résumé
David est un chasseur de rêves.Chaque nuit il s'enfonce au cœur du sommeil pour en ramener d'étranges objets que se disputent des collectionneurs avides.
Si, dans le monde réel, David est un modeste fonctionnaire au service d'une administration sans visage, en rêve il mène la vie exaltante et dangereuse d'un cambrioleur aux effractions chaque fois plus risquées. Les psychologues lui affirment que cet univers parallèle n'existe pas, que ces complices, ces gangsters, ces femmes fatales des profondeurs sont un pur produit de son imagination. Mais comment en être vraiment sûr ? Et si l'on pouvait émigrer, passer en fraude la frontière de la réalité pour se réfugier dans la zone libre des songes ?
Mon ressenti
Le rêve ou les rêves, quoi de plus merveilleux que cela… Chacun a sa définition du rêve… monde à part, monde de la nuit ou quête vers lequel la passion nous emmène.. Utopie ou réalité… de nombreuses expressions viennent émailler le rêve ! Qu’est-ce que nous sommes bien lorsque nous rêvons, que nous faisons part de nos rêves, nous sommes vivants… Le personnage principal est un artiste du rêve, à chaque rêve il ramène quelque chose de là-bas. Il y retourne d’autant plus qu’il a une autre vie bien meilleure à bien des niveaux !
L’auteur nous convie à une ballade dans un univers onirique ou cauchemardesque … un univers où la réalité n’est pas spécialement celle que l’on croit. Comme un miroir à l’infini, tout semble déformé, incompréhensible, éphémère… l’étrange côtoie le sublime, la création le déni de soi, l’acquisition prévaut la négation de l’autre…
J’ai adoré cette métaphore de la plongée pour évoquer l’artiste, la confrontation à soi et le regard de l’autre. L’autre, moi ou vous, le consommateur, le collectionneur… quel est notre rapport à l’art notre façon de l'appréhender ? Une oeuvre pour une œuvre ? le bien être qu'elle peut apporter ? sa valeur marchande ? Faut-il être malheureux pour pouvoir créer et être reconnu et touché au sommet de son art ? Des idées de l'auteur à foison à chaque chapitre ….
J’ai adoré ce livre même si je n’apprécie pas toujours le style de l’auteur, mais là il m’a bluffée et scotchée. Autre bémol, c’est le côté désespoir ou noir de ses personnages, la spirale d’autodestruction du personnage principal. Est-ce que le génie ou la création entraîne toujours une certaine autodestruction ?
En tout cas, j’ai aimé l’ambiguïté permanente du propos s’opposant à l’étrange et au côté fantastique me perdant dans les dédales des mondes évoqués.
A découvrir absolument, faites de beaux rêves …
merci Kasper pour cette découverte
Valou- LA
- Message n°39
Re: BRUSSOLO Serge
" Le manoir des sortilèges "
Editions: éditions des masques
Pages: 318
Genre: Thriller
Mon avis:
Un chevalier maudit, un écuyer, et une sorcière ont pour mission de se rendre dans un manoir abandonné et maudit,pour récupérer un grimoire....
Un bon suspense moyennageux, des rebondissements à chaque pages, et une fin surprenante...voilà encore une fois un bon livre de Serge Brussolo! Il se lit facilement et on attend la suite avec impatience! Décidément Serge Brussolo sait me tenir en haleine et me surprend par chacun de ses livres!!!
Editions: éditions des masques
Pages: 318
Genre: Thriller
Mon avis:
Un chevalier maudit, un écuyer, et une sorcière ont pour mission de se rendre dans un manoir abandonné et maudit,pour récupérer un grimoire....
Un bon suspense moyennageux, des rebondissements à chaque pages, et une fin surprenante...voilà encore une fois un bon livre de Serge Brussolo! Il se lit facilement et on attend la suite avec impatience! Décidément Serge Brussolo sait me tenir en haleine et me surprend par chacun de ses livres!!!
rhiannon- ML
- Message n°41
Re: BRUSSOLO Serge
LE CHIEN DE MINUIT
Quatrième de couverture:
Sur les toits de Los Angeles, des bandes s'affrontent pour la possession des espaces de béton qui surplombent le vide. Ils sont des dizaines là-haut, à vivre de rapines dans les appartements qu'ils atteignent en escaladant les façades. Ils se sont juré de ne plus jamais redescendre dans la rue.
Seul le toit du 1224 Horton Street, occupé par un luxueux complexe de loisirs, demeure inaccessible; il est défendu par Dogstone, terrible gardien qui n'hésite pas à précipiter les intrus dans le vide, et qu'ils ont surnommé le Chien de Minuit ...
Une remarquable évocation de l'enfer urbain dans l'Amérique d'aujourd'hui, couronnée par le prix du Roman d'aventures 1994.
Mon avis :
Je dois reconnaître que l'histoire en elle-même ne m'a pas trop passionnée, mais l'écriture de Serge Brussolo est prenante : il décrit avec force détails l'univers des clochards et des bandes qui vivent sur les toits des immeubles comme s'il peignait un tableau, d'une manière très fluide, très vivante.
Bref, j'ai lu ce livre sans même m'en rendre compte, juste parce que je voyais cet univers se construire et les personnages évoluer sans qu'à aucun moment je me dise "pas très intéressant" ou "bon, je vais au bout juste pour savoir comment ça va finir".
Je pense que je retenterai ma chance avec cet auteur, en espérant tomber sur un sujet qui me passionne plus, mais rien que son style me donne envie d'en lire plus.
Quatrième de couverture:
Sur les toits de Los Angeles, des bandes s'affrontent pour la possession des espaces de béton qui surplombent le vide. Ils sont des dizaines là-haut, à vivre de rapines dans les appartements qu'ils atteignent en escaladant les façades. Ils se sont juré de ne plus jamais redescendre dans la rue.
Seul le toit du 1224 Horton Street, occupé par un luxueux complexe de loisirs, demeure inaccessible; il est défendu par Dogstone, terrible gardien qui n'hésite pas à précipiter les intrus dans le vide, et qu'ils ont surnommé le Chien de Minuit ...
Une remarquable évocation de l'enfer urbain dans l'Amérique d'aujourd'hui, couronnée par le prix du Roman d'aventures 1994.
Mon avis :
Je dois reconnaître que l'histoire en elle-même ne m'a pas trop passionnée, mais l'écriture de Serge Brussolo est prenante : il décrit avec force détails l'univers des clochards et des bandes qui vivent sur les toits des immeubles comme s'il peignait un tableau, d'une manière très fluide, très vivante.
Bref, j'ai lu ce livre sans même m'en rendre compte, juste parce que je voyais cet univers se construire et les personnages évoluer sans qu'à aucun moment je me dise "pas très intéressant" ou "bon, je vais au bout juste pour savoir comment ça va finir".
Je pense que je retenterai ma chance avec cet auteur, en espérant tomber sur un sujet qui me passionne plus, mais rien que son style me donne envie d'en lire plus.
Keana- ML
- Message n°42
Re: BRUSSOLO Serge
Merci Rhiannon pour cet avis ! Mais je ne pense pas le lire, l'histoire ne me dit pas vraiment, après comme tu as dis, l'écriture de l'auteur peut sauver ce livre.
Pinky- M
- Message n°43
Re: BRUSSOLO Serge
merci Rhiannon pour cette présentation. Un livre qui était classé à sa sortie dans les policiers /thrillers. je l'ai lu, ce que je garde en mémoire surtout, c'est surtout les ingénieux systèmes qu'ils mettaient en place pour éviter de redescendre des toits. En bas, il y a ceux qui restent sur les trottoirs. Ce que j'avais apprécié c'est cette autre vision du SDF qui prend de la hauteur et qui est insaisissable...
Invité- Invité
- Message n°44
Re: BRUSSOLO Serge
Les emmurés
L'histoire :
A l'origine, la mission de Jeanne était simple : s'installer quelque temps dans un immeuble où furent commis, des années plus tôt, plusieurs crimes inexpliqués, afin d'y écrire un reportage si possible sensationnel... Mais aussitôt franchi le seuil de l'étrange maison Malestrazza, la jeune femme va deviner que les maléfices ne sont pas uniquement dus aux fantasmes du voisinage. Est-il vrai que l'assasin habiterait toujours là, caché dans un appartement invisible ? Y a-t-il comme on le prétend des cadavres emmurés aux différents étages ? Et que lui veut au juste ce gamin trop imaginatif, le fils de la concierge, qui, spontanément, s'offre à lui faire découvrir les arcanes de la bâtisse ?
Ce que j'en ai pensé :
Ce livre est un thriller psychologique qui joue son rôle à merveille.
Jeanne, jeune journaliste qui a râté un scoop se voit confier la mission d'écrire l'histoire de la maison Malestrazza pour racheter son erreur. Cette maison, du nom de son architecte, construite selon des procédés pour le moins inhabituels, a renfermé et renferme encore des corps emmurés vivants.
A vouloir connaître l'histoire de la batisse hantée par son architecte fou, la jeune femme va se retrouver elle aussi prise au piège de la maison coincée entre 4 murs sans aucune issue possible. C'est certes oppressant mais pour autant j'en attendais encore plus, même si j'avoue que la claustrophobe que je suis, n'a pas toujours été à l'aise à la lecture de ce livre.
Quant à la fin, alors que je pensais que tout était rentré dans l'ordre pour l'héroïne, la dernière page nous prouve le contraire. De ce point de vue là, je trouve la chute un peu décevante car guère crédible, mais surtout n'ayez pas la curiosité de la lire tout de suite sous peine de gâcher tout le plaisir de la lecture.
A relire sur mon blog ici
L'histoire :
A l'origine, la mission de Jeanne était simple : s'installer quelque temps dans un immeuble où furent commis, des années plus tôt, plusieurs crimes inexpliqués, afin d'y écrire un reportage si possible sensationnel... Mais aussitôt franchi le seuil de l'étrange maison Malestrazza, la jeune femme va deviner que les maléfices ne sont pas uniquement dus aux fantasmes du voisinage. Est-il vrai que l'assasin habiterait toujours là, caché dans un appartement invisible ? Y a-t-il comme on le prétend des cadavres emmurés aux différents étages ? Et que lui veut au juste ce gamin trop imaginatif, le fils de la concierge, qui, spontanément, s'offre à lui faire découvrir les arcanes de la bâtisse ?
Ce que j'en ai pensé :
Ce livre est un thriller psychologique qui joue son rôle à merveille.
Jeanne, jeune journaliste qui a râté un scoop se voit confier la mission d'écrire l'histoire de la maison Malestrazza pour racheter son erreur. Cette maison, du nom de son architecte, construite selon des procédés pour le moins inhabituels, a renfermé et renferme encore des corps emmurés vivants.
A vouloir connaître l'histoire de la batisse hantée par son architecte fou, la jeune femme va se retrouver elle aussi prise au piège de la maison coincée entre 4 murs sans aucune issue possible. C'est certes oppressant mais pour autant j'en attendais encore plus, même si j'avoue que la claustrophobe que je suis, n'a pas toujours été à l'aise à la lecture de ce livre.
Quant à la fin, alors que je pensais que tout était rentré dans l'ordre pour l'héroïne, la dernière page nous prouve le contraire. De ce point de vue là, je trouve la chute un peu décevante car guère crédible, mais surtout n'ayez pas la curiosité de la lire tout de suite sous peine de gâcher tout le plaisir de la lecture.
A relire sur mon blog ici
rhiannon- ML
- Message n°47
Re: BRUSSOLO Serge
LA MELANCOLIE DES SIRENES PAR TRENTE METRES DE FOND
Quatrième de couverture:
Femme scaphandrier, Lize Unke appartient à la brigade de police fluviale chargée d'enquêter sur la catastrophe du métro englouti. Qu'est-il réellement arrivé, ce jour-là, quand le plafond du tunnel a crevé, laissant le fleuve s'engouffrer dans le réseau souterrain pour noyer des kilomètres de galeries, de rames ... et des milliers d'usagers ?
Bien des années ont passé depuis le drame, mais l'énigme reste entière. On parle de survivants, prisonniers de poches d'air. Des survivants qui connaîtraient la vérité... mais que personne ne semble pressé de ramener à la surface.
La solution du mystère est là, quelque part dans le labyrinthe des tunnels inondés. Lize, qui a perdu sa jeune sœur dans la catastrophe, s'est donné comme mission de faire la lumière sur cette étrange histoire. Décision imprudente s'il en est, car quoi de plus vulnérable qu'un scaphandrier perdu sous les eaux !
Mon avis :
C'est angoissant, dérangeant, glauque, atroce sur certains points ... mais ce qui m'a le plus gênée, c'est que c'est très très pessimiste .... pas le genre de livre que j'aurais dû lire en ce moment ...
Quatrième de couverture:
Femme scaphandrier, Lize Unke appartient à la brigade de police fluviale chargée d'enquêter sur la catastrophe du métro englouti. Qu'est-il réellement arrivé, ce jour-là, quand le plafond du tunnel a crevé, laissant le fleuve s'engouffrer dans le réseau souterrain pour noyer des kilomètres de galeries, de rames ... et des milliers d'usagers ?
Bien des années ont passé depuis le drame, mais l'énigme reste entière. On parle de survivants, prisonniers de poches d'air. Des survivants qui connaîtraient la vérité... mais que personne ne semble pressé de ramener à la surface.
La solution du mystère est là, quelque part dans le labyrinthe des tunnels inondés. Lize, qui a perdu sa jeune sœur dans la catastrophe, s'est donné comme mission de faire la lumière sur cette étrange histoire. Décision imprudente s'il en est, car quoi de plus vulnérable qu'un scaphandrier perdu sous les eaux !
Mon avis :
C'est angoissant, dérangeant, glauque, atroce sur certains points ... mais ce qui m'a le plus gênée, c'est que c'est très très pessimiste .... pas le genre de livre que j'aurais dû lire en ce moment ...