Inspecteur Machard, tome 1 : La mort sous enveloppe
édition Oxymoron - 65 pages
Présentation de l’éditeur :
L’inspecteur MACHARD de la Brigade Mobile est envoyé à Beauvais pour enquêter sur le vol de 200 000 francs ayant disparu au domicile de monsieur Leroy. Arrivé sur les lieux, il est étonné de constater la présence d’une foule de badauds, de policiers et même ces messieurs du Parquet ! Bigre, tant de monde pour un simple vol ? se dit MACHARD, ce Leroy doit être un homme important. « Devait être » serait plus juste, monsieur Leroy vient d’être retrouvé mort empoisonné
Mon avis :
Pauvre inspecteur Machard ! Si, si, j’insiste. Il appartient à la brigade mobile, et pourtant, dans le cadre d’une enquête des plus banales, il est envoyé à Beauvais. Pire : il pleut, il pleut, puis après, il pleut. Bref, il est tout sauf ravi de se retrouver dans cette ville de province qu’il ne parvient pas à trouver belle puisqu’il ne la voit qu’à travers un rideau de pluie. Oui, deux cent mille francs ont été volé à monsieur Leroy. Cependant, un homme aussi riche ne se soucie pas tant que cela de perdre une telle somme. Les enquêteurs de Beauvais pourraient enquêter, non ? Non. Quand l’inspecteur Machard arrive chez les Leroy, c’est pour constater qu’il a été assassiné quelques heures plus tôt. Cela change tout, ou presque.
L’oeuvre est courte, comme le voulait le principe de la littérature fasciculaire. Mais l’on peut faire court et faire cohérent, c’est le cas ici. Oui, l’inspecteur Machart est bougon, râleur, cela ne l’empêche pas d’enquêter très rigoureusement, s’appuyant sur des preuves, non sur des intuitions, encore moins en se laissant influencer par les proches. En effet, la soeur de la victime, mademoiselle Angélique Leroy, est persuadée que son vertueux frère s’est suicidé. Son fils, avec lequel il était brouillé depuis dix ans, veut récompenser toute personne qui aiderait à trouver le coupable. Nous rencontrons aussi les amis de la victime, et même si nous les voyons peu, ils sont tout de même bien campés.
Le dénouement est rapide, à cause du format utilisé, mais il est cohérent, crédible – et l’inspecteur Machart pourra enfin repartir pour Paris, non sans une dernière visite aux amis de la victime.
édition Oxymoron - 65 pages
Présentation de l’éditeur :
L’inspecteur MACHARD de la Brigade Mobile est envoyé à Beauvais pour enquêter sur le vol de 200 000 francs ayant disparu au domicile de monsieur Leroy. Arrivé sur les lieux, il est étonné de constater la présence d’une foule de badauds, de policiers et même ces messieurs du Parquet ! Bigre, tant de monde pour un simple vol ? se dit MACHARD, ce Leroy doit être un homme important. « Devait être » serait plus juste, monsieur Leroy vient d’être retrouvé mort empoisonné
Mon avis :
Pauvre inspecteur Machard ! Si, si, j’insiste. Il appartient à la brigade mobile, et pourtant, dans le cadre d’une enquête des plus banales, il est envoyé à Beauvais. Pire : il pleut, il pleut, puis après, il pleut. Bref, il est tout sauf ravi de se retrouver dans cette ville de province qu’il ne parvient pas à trouver belle puisqu’il ne la voit qu’à travers un rideau de pluie. Oui, deux cent mille francs ont été volé à monsieur Leroy. Cependant, un homme aussi riche ne se soucie pas tant que cela de perdre une telle somme. Les enquêteurs de Beauvais pourraient enquêter, non ? Non. Quand l’inspecteur Machard arrive chez les Leroy, c’est pour constater qu’il a été assassiné quelques heures plus tôt. Cela change tout, ou presque.
L’oeuvre est courte, comme le voulait le principe de la littérature fasciculaire. Mais l’on peut faire court et faire cohérent, c’est le cas ici. Oui, l’inspecteur Machart est bougon, râleur, cela ne l’empêche pas d’enquêter très rigoureusement, s’appuyant sur des preuves, non sur des intuitions, encore moins en se laissant influencer par les proches. En effet, la soeur de la victime, mademoiselle Angélique Leroy, est persuadée que son vertueux frère s’est suicidé. Son fils, avec lequel il était brouillé depuis dix ans, veut récompenser toute personne qui aiderait à trouver le coupable. Nous rencontrons aussi les amis de la victime, et même si nous les voyons peu, ils sont tout de même bien campés.
Le dénouement est rapide, à cause du format utilisé, mais il est cohérent, crédible – et l’inspecteur Machart pourra enfin repartir pour Paris, non sans une dernière visite aux amis de la victime.