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L'OURS ET LE ROSSIGNOL
SF édité chez Folio SF en mars 2020
464 pages
Résumé
Au plus froid de l'hiver, Vassia adore par-dessus tout écouter, avec ses frères et sa soeur, les contes de Dounia, la vieille servante. Et plus particulièrement celui de Gel, ou Morozko, le démon aux yeux bleus, le roi de l'hiver. Mais, pour Vassia, ces histoires sont bien plus que cela. En effet, elle est la seule de la fratrie à voir les esprits protecteurs de la maison, à entendre l'appel insistant des sombres forces nichées au plus profond de la forêt. Ce qui n'est pas du goût de la nouvelle femme de son père, dévote acharnée, bien décidée à éradiquer de son foyer les superstitions ancestrales. Inspiré de contes russes, L'Ours et le Rossignol a su en garder toute la poésie et la sombre cruauté. C'est le premier roman de Katherine Arden.
Mon ressenti
Cette histoire est une plongée rafraîchissante dans les contes slaves, son folklore et ses légendes. C’es en suivant Vassia, sa venue au monde et son regard qu’elle porte sur sa famille et le monde, que nous découvrons son village, les habitants invisibles qui accompagnent la vie de tous quotidiennement. Vassia a une place particulière, un peu sorcière, un peu sauvage mais tout à chacun accepte ce qu’elle est.
Jusqu’au jour, où son père se remarie ! Il faut faire autrement, abandonner les croyances futiles pour la religion (qui est une autre croyance) et qui démarque la frontière entre les « paysans » et « les riches », « les moins que rien sans culture » et ceux « qui savent ».
Les croyances s’affrontent et Vassia devra choisir son destin et sa voie. Pas toujours simple lorsque l’on est encore une petite fille et de se faire entendre des adultes qui ne voient pas l’invisible.
Un premier tome épique, où suspenses et rebondissements sont aux coudes à coudes et où j’ai eu très envie de secouer certains personnages.
A découvrir
SF édité chez Folio SF en mars 2020
464 pages
Résumé
Au plus froid de l'hiver, Vassia adore par-dessus tout écouter, avec ses frères et sa soeur, les contes de Dounia, la vieille servante. Et plus particulièrement celui de Gel, ou Morozko, le démon aux yeux bleus, le roi de l'hiver. Mais, pour Vassia, ces histoires sont bien plus que cela. En effet, elle est la seule de la fratrie à voir les esprits protecteurs de la maison, à entendre l'appel insistant des sombres forces nichées au plus profond de la forêt. Ce qui n'est pas du goût de la nouvelle femme de son père, dévote acharnée, bien décidée à éradiquer de son foyer les superstitions ancestrales. Inspiré de contes russes, L'Ours et le Rossignol a su en garder toute la poésie et la sombre cruauté. C'est le premier roman de Katherine Arden.
Mon ressenti
Cette histoire est une plongée rafraîchissante dans les contes slaves, son folklore et ses légendes. C’es en suivant Vassia, sa venue au monde et son regard qu’elle porte sur sa famille et le monde, que nous découvrons son village, les habitants invisibles qui accompagnent la vie de tous quotidiennement. Vassia a une place particulière, un peu sorcière, un peu sauvage mais tout à chacun accepte ce qu’elle est.
Jusqu’au jour, où son père se remarie ! Il faut faire autrement, abandonner les croyances futiles pour la religion (qui est une autre croyance) et qui démarque la frontière entre les « paysans » et « les riches », « les moins que rien sans culture » et ceux « qui savent ».
Les croyances s’affrontent et Vassia devra choisir son destin et sa voie. Pas toujours simple lorsque l’on est encore une petite fille et de se faire entendre des adultes qui ne voient pas l’invisible.
Un premier tome épique, où suspenses et rebondissements sont aux coudes à coudes et où j’ai eu très envie de secouer certains personnages.
A découvrir
