Le sac à dos bleu
édition Didier Jeunesse – 80 pages
Présentation de l’éditeur :
Tout l’été, Marion passe devant la vitrine d’un magasin en admirant un magnifique sac à dos bleu. Comme promis, sa mère et elle s’en vont l’acheter le 1er septembre. Mais catastrophe… le sac n’est plus là ! Marion repart, déçue, avec un sac à dos rose à la place. Le jour de la rentrée, elle découvre que c’est Mathilde, une fille de sa classe, qui a acheté le cartable bleu. Elles ne sont pas amies… Un soir, la mère de Marion ramène Mathilde chez elle en voiture et en sortant, la petite fille se trompe de sac et laisse son sac à dos bleu ! Marion n’en revient pas. C’est ainsi que les deux écolières écrivent la première page d’une belle amitié autour de l’échange de leurs cartables.
Mon avis :
L’achat d’un sac à dos, ou d’un nouveau cartable, est une étape importante dans la scolarité, comme la promesse d’un nouveau départ, de nouveaux horizons (dit l’acheteuse compulsive de sacs à main et autres cartables). Marion en a rêvé, de ce nouveau sac à dos, mais sa maman a retardé l’achat au dernier moment. Pourquoi ? Cela ne nous regarde pas, mais le jour dit, elle tient sa promesse. Las ! Le sac a été vendu, Marion doit donc se contenter d’un sac rose. Je me suis demandé si l’autrice n’avait pas joué avec les clichés, puisque Marion veut un sac à dos bleu, et se retrouve avec un sac à dos rose – comme il se doit pour une fille si l’on respecte tous ces fameux clichés (et si vous surfez un peu sur le net, vous en lirez de beaux !). Marion n’est pas la seule à aimer le bleu, elle découvre qu’une élève de sa classe, Mathilde, possède le sac qu’elle convoitait tant. Elles ne sont pas amies au début de l’histoire, non, elles se connaissent, elles ont chacun leur centre d’intérêt. Ce sac leur permettra de se rapprocher.
Cela fait du bien de lire une histoire simple, même si celle de Mathilde, issue d’une famille décomposée, mais d’une famille qui a existé, n’a pas dû l’être tant que cela. C’est l’histoire de la naissance d’une amitié, sans heurt, sans conflit, alors qu’il aurait été très facile d’en créer un, une histoire simple écrit avec des mots simples, pour que les élèves puissent, pour une fois, découvrir que l’on peut aussi leur raconter des histoires douces.
édition Didier Jeunesse – 80 pages
Présentation de l’éditeur :
Tout l’été, Marion passe devant la vitrine d’un magasin en admirant un magnifique sac à dos bleu. Comme promis, sa mère et elle s’en vont l’acheter le 1er septembre. Mais catastrophe… le sac n’est plus là ! Marion repart, déçue, avec un sac à dos rose à la place. Le jour de la rentrée, elle découvre que c’est Mathilde, une fille de sa classe, qui a acheté le cartable bleu. Elles ne sont pas amies… Un soir, la mère de Marion ramène Mathilde chez elle en voiture et en sortant, la petite fille se trompe de sac et laisse son sac à dos bleu ! Marion n’en revient pas. C’est ainsi que les deux écolières écrivent la première page d’une belle amitié autour de l’échange de leurs cartables.
Mon avis :
L’achat d’un sac à dos, ou d’un nouveau cartable, est une étape importante dans la scolarité, comme la promesse d’un nouveau départ, de nouveaux horizons (dit l’acheteuse compulsive de sacs à main et autres cartables). Marion en a rêvé, de ce nouveau sac à dos, mais sa maman a retardé l’achat au dernier moment. Pourquoi ? Cela ne nous regarde pas, mais le jour dit, elle tient sa promesse. Las ! Le sac a été vendu, Marion doit donc se contenter d’un sac rose. Je me suis demandé si l’autrice n’avait pas joué avec les clichés, puisque Marion veut un sac à dos bleu, et se retrouve avec un sac à dos rose – comme il se doit pour une fille si l’on respecte tous ces fameux clichés (et si vous surfez un peu sur le net, vous en lirez de beaux !). Marion n’est pas la seule à aimer le bleu, elle découvre qu’une élève de sa classe, Mathilde, possède le sac qu’elle convoitait tant. Elles ne sont pas amies au début de l’histoire, non, elles se connaissent, elles ont chacun leur centre d’intérêt. Ce sac leur permettra de se rapprocher.
Cela fait du bien de lire une histoire simple, même si celle de Mathilde, issue d’une famille décomposée, mais d’une famille qui a existé, n’a pas dû l’être tant que cela. C’est l’histoire de la naissance d’une amitié, sans heurt, sans conflit, alors qu’il aurait été très facile d’en créer un, une histoire simple écrit avec des mots simples, pour que les élèves puissent, pour une fois, découvrir que l’on peut aussi leur raconter des histoires douces.