Merci Pinky pour ta visite.
+4
Céline72
Atti'
Pinky
Nina
8 participants
COLIN, Fabrice
Nina- ML
- Message n°27
Re: COLIN, Fabrice
Wonderpark, tome 3 : Cyclos
Edition Nathan -146 pages.
Présentation de l’éditeur :
Avec l’aide de l’Archange et des super-héros de Mégalopolis, Jenn, Mervin et Orage ont réussi à échapper à la redoutable Légion Ténébris et à trouver la porte ouvrant sur Cyclos, la station spatiale – où extraterrestres et habitants de toute la galaxie côtoient dangereux mercenaires et chasseurs de prime.
Mon avis :
Je n’avais pas tellement aimé les deux tomes précédents. Celui-ci est bien meilleur, grâce, notamment au personnage de la Vouivre, que l’on voit au centre de la couverture. Rien ne se passe comme il le faudrait au début de ce tome 3, et la suite est à l’avenant. L’univers futuriste mis en place est vraiment très réussi, et très inquiétant aussi. Mention spécial pour le personnage de Goony, qui n’est pas ami avec la Vouivre pour rien.
Ah, oui, au rang des petits nouveaux, nous trouvons aussi Tancrède, le recycleur. Il m’a semblé tout droit sorti de l’univers cinématographique de Mad Max plus encore que de la guerre des Etoiles dont parle Mervin.
Nous n’avons aucun temps mort dans ce troisième tome, et j’espère qu’il en sera de même pour le suivant.
Nina- ML
- Message n°28
Re: COLIN, Fabrice
Wonderpark, tome 4 : Astrakan
Edition Nathan - 146 pages.
Présentation de l'éditeur :
Grâce au sacrifice de la Vouivre et à l'aide de l'ingénieuse créature Goony, Jenn, Mervin et Orage ont réussi à quitter la station spatiale Cyclos. Ils sont désormais dans le monde médiéval d'Askaran et il semblerait qu'ils soient plus proches que jamais de retrouver Zoey. Cette dernière serait tenue prisonnière par le roi Tibor qui s'est retranché dans la capitale du royaume, la cité volante de Sarakande…
Mon avis :
J'ai l'impression que la série a trouvé son rythme de croisière, justement parce que l'intrigue part dans des directions que l'on attendait pas. Exit le monde futuriste de Cyclos, nous sommes désormais dans un univers médiéval. Nous rencontrons même de charmantes bestioles dragonnesques, promptes à accueillir et à accompagner les nouveaux venus. Oui, il y en a qui ont de la chance.
Ici, comme ailleurs, il ne fait pas bon être différent (e), avoir des aspirations autres, vouloir changer les choses. Bref, il faut encore et toujours se méfier des apparences, un traître peut toujours en cacher un autre, quel que soit le monde que l'on visite. Mais l'on peut, aussi, rencontrer de nouveaux adjuvants, pas aussi charismatiques que la Vouivre, ce qui ne veut pas dire qu'ils ne seront pas utiles dans leur quête, qu'ils ne perdent pas de vue.
J'espère que le tome 5 conservera le même dynamisme.
Nina- ML
- Message n°31
Re: COLIN, Fabrice
Wonderpark - tome 5 : Discordia
édition Nathan – 140 pages.
¨Présentation de l’éditeur :
Jenn, Mervin et leur petite sœur Zoey ont réussi à rejoindre Discordia, la ville des fous, dont la devise est « Demain est un autre jour, et nous ne savons pas lequel. » Inquiets pour Orage, qui a été enlevée par un serviteur du redoutable Seigneur Langley, les enfants ne savent pas vers qui se tourner pour les aider… jusqu’à ce qu’ils rencontrent un jeune garçon : Tom, le chef des Orpailleurs, une communauté de vagabonds. Peuvent-ils vraiment s’y fier ? Qui croire dans un monde gouverné par la folie ?
Mon avis :
Après quatre tomes et quatre mondes différents, il est encore possible d’innover avec ce cinquième tome, tout entier tourné vers l’action. Nous retrouvons les personnages non pas là où nous les avons laissés, mais projetés dans un nouveau monde qui défie toutes les règles du bon sens. Bienvenue à Discordia – et non pas en Absurdie, comme on aurait pu tenter de le croire. En effet, ce n’est pas tant que ce monde est absurde, c’est qu’il est changeant, et que ses habitants ne peuvent pas savoir de quoi demain sera fait. Leur impératrice elle-même, dotée de sept fils qui commandent les sept robots géants de la ville, n’est pas un modèle de sérénité.
Les enfants ont mûri au cours de leurs aventures, j’ai presque envie de dire « malheureusement ». Ils ont appris à leur dépend qu’ils ne devaient pas faire confiance au premier venu – pas facile quand on se retrouve seul dans un monde inconnu dont on ne maîtrise pas du tout les codes. Ils font des rencontres, bien sûr, notamment celle de Tom, un jeune homme qui vit en marge d’un monde qui est déjà bien compliqué.
L’action, les rebondissements ne manquent pas dans ce cinquième tome dans lequel on prend à nouveau de la hauteur.
Le sixième tome est paru, il ne me reste plus qu’à me le procurer.
Pinky- M
- Message n°32
Re: COLIN, Fabrice
merci Nina pour cette présentation, même l'enfance a une fin mais au vu des mondes qu'ils ont traversés, de l'expérience acquise, je ne doute pas qu'ils deviennent des adultes formidables dans leurs ouvertures d'esprit
Nina- ML
- Message n°33
Re: COLIN, Fabrice
Merci Pinky pour ta visite.
Je n'en doute pas non plus : avoir de l'ouverture d'esprit est plus rare qu'on ne le pense, malheureusement.
Je n'en doute pas non plus : avoir de l'ouverture d'esprit est plus rare qu'on ne le pense, malheureusement.
Pinky- M
- Message n°34
Re: COLIN, Fabrice
ARCADIA
SF édité chez Bragelone en septembre 2018
420 pages
Résumé
« Votre âme s’est étourdie aux lumières de Londres, et vous avez oublié que Camelot était le coeur d’Arcadia… »
Londres, 1872. Dans le monde d’Arcadia, la réalité a les couleurs du rêve : un royaume idéal, baigné de féerie arthurienne, dans lequel les ministres sont poètes et les artistes sont rois, où le futur est tabou et la mort improbable.
Un jour pourtant, d’étranges présages viennent troubler la sérénité de la belle capitale. Neige bleutée, vaisseau fantôme… Le peintre Rossetti et ses amis se sentent mystérieusement concernés. Cent quarante ans plus tard, dans un Paris agonisant plongé sous les eaux, quatre jeunes gens férus d’art victorien entendent le même appel, et s’apprêtent à déchirer le voile qui sépare les deux mondes.
Mon ressenti
J’ai peiné à finir ce livre pourtant il y a beaucoup de potentiel. L’histoire était prometteuse mais je pense qu’il y a trop de tout ou de référence à des mondes connus (l’univers de Lewis Caroll), de légendes (légendes arthuriennes, la guerre des mondes…), ce qui rend l’ensemble un peu trop indigeste à mon goût.
De plus, le narrateur passe du présent à l’imparfait ce qui donne un style particulier et je me suis perdue souvent. Les personnages sont parfois un peu trop caricaturés à mon goût et des comportements féminins qui datent déjà d’une autre époque littéraire…
Dommage
A vous de voir
SF édité chez Bragelone en septembre 2018
420 pages
Résumé
« Votre âme s’est étourdie aux lumières de Londres, et vous avez oublié que Camelot était le coeur d’Arcadia… »
Londres, 1872. Dans le monde d’Arcadia, la réalité a les couleurs du rêve : un royaume idéal, baigné de féerie arthurienne, dans lequel les ministres sont poètes et les artistes sont rois, où le futur est tabou et la mort improbable.
Un jour pourtant, d’étranges présages viennent troubler la sérénité de la belle capitale. Neige bleutée, vaisseau fantôme… Le peintre Rossetti et ses amis se sentent mystérieusement concernés. Cent quarante ans plus tard, dans un Paris agonisant plongé sous les eaux, quatre jeunes gens férus d’art victorien entendent le même appel, et s’apprêtent à déchirer le voile qui sépare les deux mondes.
Mon ressenti
J’ai peiné à finir ce livre pourtant il y a beaucoup de potentiel. L’histoire était prometteuse mais je pense qu’il y a trop de tout ou de référence à des mondes connus (l’univers de Lewis Caroll), de légendes (légendes arthuriennes, la guerre des mondes…), ce qui rend l’ensemble un peu trop indigeste à mon goût.
De plus, le narrateur passe du présent à l’imparfait ce qui donne un style particulier et je me suis perdue souvent. Les personnages sont parfois un peu trop caricaturés à mon goût et des comportements féminins qui datent déjà d’une autre époque littéraire…
Dommage
A vous de voir
Nina- ML
- Message n°35
Re: COLIN, Fabrice
Merci Pinky pour cet avis.
Ma PAL déborde, et ce n'est pas mon genre de prédilection, je passe donc mon tour.
Ma PAL déborde, et ce n'est pas mon genre de prédilection, je passe donc mon tour.