Titre: Les étoiles de Compostelle
Auteur: Henri Vincenot
Editions: Folio
Nombres de pages: 345
ISBN: 978-2-07-037876-0
Quatrième de couverture:
XIII e siècle. Les " essarteurs " vous prenaient une foret chenue et, en vingt ans, vous en faisaient un versant fertile. Jehan le Tonnerre était de ceux-là, sauvages et farouches comme des chevreuils, tenus en lisière par les gens des villages, quand la curiosité et la fatalité l'ont mené jusqu'au chantier de construction d'une abbaye cistercienne. Et le voilà bientôt enrôlé par les Compagnons constructeurs, ces " Enfants de Maître Jacques ", mystérieux " Pédauques " dont il fera partie après une longue initiation.
Vincenot se fait plus que le chroniqueur de cette singulière aventure, à la fois mystique et quotidienne, des bâtisseurs de cathédrales: " Ces gens, ces pays, ces édifices, je les ai vraiment vus, touchés, respirés avec les yeux, les mains, les poumons de Jehan le Tonnerre ... J'ai pensé alors que j'étais le " retour " de Jehan le Tonnerre, à sept cents ans de distance, dans le cercle d'Abred ..."
Mon avis:
Trop de technique tue la technique.
On suit Jehan le Tonnerre, dans son initiation par les Compagnons constructeurs. Mais c'est un livre pour ma pars beaucoup trop technique avec des formules de géométrie à n'en plus finir, alors peut être pour les passionné de géométrie ca passe, mais moi non. J'ai lu beaucoup en diagonale, car non seulement il y a cette géométrie, avec des schémas, les phrases sont longues avec des mots complexes, certes à la fin il y a un lexique, mais il n'y a que quelques définitions, du coup se ne fut pas une lecture agréable. Et il faut attendre les 3/4 du livre pour partir sur les chemins de Compostelle, et là ils ont pris le TGV tellement c'est vite expédier, les villes s'enchainent à la queue leu leu, paf, ils arrivent, paf ils repartent.
Je l'ai quand même lu jusqu'au bout, mais ce fut dur.
Auteur: Henri Vincenot
Editions: Folio
Nombres de pages: 345
ISBN: 978-2-07-037876-0
Quatrième de couverture:
XIII e siècle. Les " essarteurs " vous prenaient une foret chenue et, en vingt ans, vous en faisaient un versant fertile. Jehan le Tonnerre était de ceux-là, sauvages et farouches comme des chevreuils, tenus en lisière par les gens des villages, quand la curiosité et la fatalité l'ont mené jusqu'au chantier de construction d'une abbaye cistercienne. Et le voilà bientôt enrôlé par les Compagnons constructeurs, ces " Enfants de Maître Jacques ", mystérieux " Pédauques " dont il fera partie après une longue initiation.
Vincenot se fait plus que le chroniqueur de cette singulière aventure, à la fois mystique et quotidienne, des bâtisseurs de cathédrales: " Ces gens, ces pays, ces édifices, je les ai vraiment vus, touchés, respirés avec les yeux, les mains, les poumons de Jehan le Tonnerre ... J'ai pensé alors que j'étais le " retour " de Jehan le Tonnerre, à sept cents ans de distance, dans le cercle d'Abred ..."
Mon avis:
Trop de technique tue la technique.
On suit Jehan le Tonnerre, dans son initiation par les Compagnons constructeurs. Mais c'est un livre pour ma pars beaucoup trop technique avec des formules de géométrie à n'en plus finir, alors peut être pour les passionné de géométrie ca passe, mais moi non. J'ai lu beaucoup en diagonale, car non seulement il y a cette géométrie, avec des schémas, les phrases sont longues avec des mots complexes, certes à la fin il y a un lexique, mais il n'y a que quelques définitions, du coup se ne fut pas une lecture agréable. Et il faut attendre les 3/4 du livre pour partir sur les chemins de Compostelle, et là ils ont pris le TGV tellement c'est vite expédier, les villes s'enchainent à la queue leu leu, paf, ils arrivent, paf ils repartent.
Je l'ai quand même lu jusqu'au bout, mais ce fut dur.