Cinq matins de trop
Roman
150 pages, édité chez Autrement en janvier 2008
Résumé
«Voilà
une caractéristique bien particulière des gens de l'Ouest, songea
Grant. Tu peux coucher avec leurs femmes, spolier leurs filles, vivre à
leurs crochets, les escroquer, faire presque tout ce qui te frapperait
d'ostracisme dans une société normale : ils n'y prêtent guère attention.
Mais refuser de boire un coup avec eux et tu passes immédiatement dans
le camp des ennemis mortels. Et merde, à quoi bon ? Il ne voulait même
plus penser à l'Ouest, à ses habitants et à leurs manies. Laissons-les
tranquilles. Une fois à Sydney, qui sait, il ne remettrait peut-être
plus jamais les pieds ici.»
Jeune instituteur planté au fin fond
de l'Outback, coeur de l'Australie, John Grant doit passer la nuit à
Bundanyabba avant de prendre l'avion pour des vacances à Sydney. Il
dépose ses valises à l'hôtel, va boire un verre et jouer dans l'un des
nombreux pubs de cette petite ville surchauffée et poussiéreuse, où tout
le monde s'ennuie...
Thriller atypique, à la fois initiatique
et nihiliste, Cinq matins de trop nous transporte dans le cauchemar
éveillé d'un homme ordinaire, autant acteur que spectateur, petit à
petit enchaîné à l'alcool, au jeu, au sexe, à la violence, à
l'autodestruction.
Mon avis
Ce
n'est pas les vacances pour tout le monde, le personnage part en
vacances mais c'est une tout autre réalité qui va s'abattre sur lui...
un roman étouffant, poussiéreux comme le sable de là-bas... et une
descente aux enfers... un peu comme "Cul-de sac" de Douglas Kennedy....
une descente aux enfers...
A lire quand le moral est bon.... mais c'est magistralement écrit...
A découvrir absolument, un écrivain australien très reconnu dans son pays.
Amicalement, Pinky
Roman
150 pages, édité chez Autrement en janvier 2008
Résumé
«Voilà
une caractéristique bien particulière des gens de l'Ouest, songea
Grant. Tu peux coucher avec leurs femmes, spolier leurs filles, vivre à
leurs crochets, les escroquer, faire presque tout ce qui te frapperait
d'ostracisme dans une société normale : ils n'y prêtent guère attention.
Mais refuser de boire un coup avec eux et tu passes immédiatement dans
le camp des ennemis mortels. Et merde, à quoi bon ? Il ne voulait même
plus penser à l'Ouest, à ses habitants et à leurs manies. Laissons-les
tranquilles. Une fois à Sydney, qui sait, il ne remettrait peut-être
plus jamais les pieds ici.»
Jeune instituteur planté au fin fond
de l'Outback, coeur de l'Australie, John Grant doit passer la nuit à
Bundanyabba avant de prendre l'avion pour des vacances à Sydney. Il
dépose ses valises à l'hôtel, va boire un verre et jouer dans l'un des
nombreux pubs de cette petite ville surchauffée et poussiéreuse, où tout
le monde s'ennuie...
Thriller atypique, à la fois initiatique
et nihiliste, Cinq matins de trop nous transporte dans le cauchemar
éveillé d'un homme ordinaire, autant acteur que spectateur, petit à
petit enchaîné à l'alcool, au jeu, au sexe, à la violence, à
l'autodestruction.
Mon avis
Ce
n'est pas les vacances pour tout le monde, le personnage part en
vacances mais c'est une tout autre réalité qui va s'abattre sur lui...
un roman étouffant, poussiéreux comme le sable de là-bas... et une
descente aux enfers... un peu comme "Cul-de sac" de Douglas Kennedy....
une descente aux enfers...
A lire quand le moral est bon.... mais c'est magistralement écrit...
A découvrir absolument, un écrivain australien très reconnu dans son pays.
Amicalement, Pinky