LE BAISER AU LÉPREUX
Roman classique
126 pages édité au livre de poche en janvier 1984
Résumé
Bien qu’il soit un avorton et d’une grande laideur, on ne refuse pas le fils Péloueyre ! Ce mariage sera un calvaire : pour la jolie et sage Noémi qui, malgré ses efforts, ne pourra pas s’habituer à lui, et aussi pour Jean qui, lucide, voit sa femme dépérir à son contact. Comme il l’adore, Jean essaiera de trouver une solution à ce drame.
Peinture impitoyable de la société Landaise qu’il connaissait si bien, Le baiser au lépreux révéla François Mauriac et le classa parmi les plus grands romanciers.
Mon ressenti
Je n’ai pas aimé du tout ce texte… non pas qu’il ne soit pas crédible ou pas bien écrit mais je n’ai pas réussi à m’attacher aux personnages, à m’identifier…
Peinture d’une époque révolue (enfin je pense !), conflit interne pour Noémie qui souhaite être une parfaite épouse chrétienne et prends conscience de ses désirs, pour Jean qui est fou amoureux et prend conscience de sa laideur. Chacun va découvrire sa face cachée grâce à l’autre, entre répulsion, répugnance, et espoir…
Car, c’est un roman d’amour, un conte un peu comme « la belle et la bête » mais qui ne finit pas bien du tout… mais la moral est sauve par le sacrifice de Noémie et de Jean.
Le thème principal est l’amour dans le mariage dans un climat très chrétien du début du XXème siècle.
L’écriture est belle, mais son rythme est plus complexe, les propositions subordonnées relatives sont très présentes…
A découvrir mais quand votre moral est au beau fixe.
Roman classique
126 pages édité au livre de poche en janvier 1984
Résumé
Bien qu’il soit un avorton et d’une grande laideur, on ne refuse pas le fils Péloueyre ! Ce mariage sera un calvaire : pour la jolie et sage Noémi qui, malgré ses efforts, ne pourra pas s’habituer à lui, et aussi pour Jean qui, lucide, voit sa femme dépérir à son contact. Comme il l’adore, Jean essaiera de trouver une solution à ce drame.
Peinture impitoyable de la société Landaise qu’il connaissait si bien, Le baiser au lépreux révéla François Mauriac et le classa parmi les plus grands romanciers.
Mon ressenti
Je n’ai pas aimé du tout ce texte… non pas qu’il ne soit pas crédible ou pas bien écrit mais je n’ai pas réussi à m’attacher aux personnages, à m’identifier…
Peinture d’une époque révolue (enfin je pense !), conflit interne pour Noémie qui souhaite être une parfaite épouse chrétienne et prends conscience de ses désirs, pour Jean qui est fou amoureux et prend conscience de sa laideur. Chacun va découvrire sa face cachée grâce à l’autre, entre répulsion, répugnance, et espoir…
Car, c’est un roman d’amour, un conte un peu comme « la belle et la bête » mais qui ne finit pas bien du tout… mais la moral est sauve par le sacrifice de Noémie et de Jean.
Le thème principal est l’amour dans le mariage dans un climat très chrétien du début du XXème siècle.
L’écriture est belle, mais son rythme est plus complexe, les propositions subordonnées relatives sont très présentes…
A découvrir mais quand votre moral est au beau fixe.