Titre : Petites histoires de quartiers
Auteur : Julia Billet.
Editeur : Océan éditions.
Nombre de pages : 197.
Quatrième de couverture :
Dans ces Petits histoires de quartiers, on rencontre un adolescent qui rêve d'être journaliste et ne supporte plus qu'on lui demande ses origines, un autre qui se demande ce qu'il fera de sa vie alors qu'il fait tant de fautes d'orthographe, des filles qui ne peuvent pas sortir le soirt parce qu'elles sont des filles justement, des hommes et des femmes qui aimeraient vitre sans craindre le regard des autres, une petite fille qui voudrait se dépêcher de grandir pour échapper à l'ogre. Tous vivent dans leur quotidien une forme d'inégalité. Parce qu'ils ne sont pas dans cette "norme" qui voudrait gommer ce qui reind chacun de nous unique, ils se heurtent aux petites ou aux grandes injustices, aux violences ou au rejet. Dix-sept petites histoires, parfois drôles, parfois graves, qui viennent rythmer des bouts de vie de héros très ordinaires.
Mon avis :
Rédiger ce fameux "avis" revient à faire des choix. Je pourrais analyser chaque nouvelle une à une, distinguer celles dont le narrateur est omniscient, de celles dont la voix du narrateur s'élève pour nous conter son histoire ou celle d'un proche. Je ne le ferai pas, non par paresse, mais parce que le but de ce billet est de vous donner envie de découvrir ce recueil, non de vous le résumer.
Je vous dirai simplement que deux nouvelles sont très drôles, même si les sujets abordés ne le sont pas.
Je vous dirai que l'écriture (au sens le plus large du terme) est le centre de deux autres nouvelles et que les contes de fées se récrivent au présent.
Je vous dirai qu'aucun thème n'effraie Julia Billet, et si "les inégalités" sont le fil conducteur de ce livre, elles prennent des visages très variées. Inégalités dues à la couleur de la peau, au sexe (les clichés sexistes ont la vie dure), à l'âge ou à la naissance. Inégalité entre les riches et les pauvres, exacerbés quand une des nouvelles s'apparente à la science-fiction.
Je vous dirai que tout n'est pas toujours bien qui finit bien.
Je vous dirai aussi que ce livre "de littérature jeunesse" plaira sans doute davantage aux adultes qu'aux adolescents - ce qui constitue sans doute sa faiblesse.
Je vous dirai que j'ai lu ce recueil d'une traite, et que je l'ai vraiment adoré.
Auteur : Julia Billet.
Editeur : Océan éditions.
Nombre de pages : 197.
Quatrième de couverture :
Dans ces Petits histoires de quartiers, on rencontre un adolescent qui rêve d'être journaliste et ne supporte plus qu'on lui demande ses origines, un autre qui se demande ce qu'il fera de sa vie alors qu'il fait tant de fautes d'orthographe, des filles qui ne peuvent pas sortir le soirt parce qu'elles sont des filles justement, des hommes et des femmes qui aimeraient vitre sans craindre le regard des autres, une petite fille qui voudrait se dépêcher de grandir pour échapper à l'ogre. Tous vivent dans leur quotidien une forme d'inégalité. Parce qu'ils ne sont pas dans cette "norme" qui voudrait gommer ce qui reind chacun de nous unique, ils se heurtent aux petites ou aux grandes injustices, aux violences ou au rejet. Dix-sept petites histoires, parfois drôles, parfois graves, qui viennent rythmer des bouts de vie de héros très ordinaires.
Mon avis :
Rédiger ce fameux "avis" revient à faire des choix. Je pourrais analyser chaque nouvelle une à une, distinguer celles dont le narrateur est omniscient, de celles dont la voix du narrateur s'élève pour nous conter son histoire ou celle d'un proche. Je ne le ferai pas, non par paresse, mais parce que le but de ce billet est de vous donner envie de découvrir ce recueil, non de vous le résumer.
Je vous dirai simplement que deux nouvelles sont très drôles, même si les sujets abordés ne le sont pas.
Je vous dirai que l'écriture (au sens le plus large du terme) est le centre de deux autres nouvelles et que les contes de fées se récrivent au présent.
Je vous dirai qu'aucun thème n'effraie Julia Billet, et si "les inégalités" sont le fil conducteur de ce livre, elles prennent des visages très variées. Inégalités dues à la couleur de la peau, au sexe (les clichés sexistes ont la vie dure), à l'âge ou à la naissance. Inégalité entre les riches et les pauvres, exacerbés quand une des nouvelles s'apparente à la science-fiction.
Je vous dirai que tout n'est pas toujours bien qui finit bien.
Je vous dirai aussi que ce livre "de littérature jeunesse" plaira sans doute davantage aux adultes qu'aux adolescents - ce qui constitue sans doute sa faiblesse.
Je vous dirai que j'ai lu ce recueil d'une traite, et que je l'ai vraiment adoré.