Bienvenue à Oakland
Éditions Fayard de 2011, 414 pages
Quatrième de couverture :
États-Unis, de nos jours. T-Bird Murphy, la quarantaine, fils d’immigrés irlandais, se terre dans un box de parking. On le soupçonne d’un crime qu’il n’a peut-être pas commis. Incarnation du quart-monde occidental, T-Bird écrit sa rage. Un long monologue intérieur, animé par les figures de son passé, qui vient tromper sa solitude et mettre des mots sur la violence de l’exclusion. T-Bird a grandi dans le ghetto noir et mexicain d’Oakland, une ville industrielle qui rejette les Noirs, les Chicanos et les Blancs pauvres vers les décharges, sur les bords pollués de la baie de San Francisco. Pour faire mentir le destin, il a sacrifié à la sainte trinité : études, mariage et consommation. Il a fait tous les petits boulots, vécu dans les pires conditions. Mais on n’a jamais voulu voir en lui que l’enfant de ses origines, fauteur de troubles en puissance. Renvoyé à sa misère et du fond du chaos qui l’a englouti, il revendique la déchéance comme nouvelle forme de liberté, et la solidarité comme espérance de dignité.
Mon avis :
Dans ce roman, Eric Miles Williamson nous décrit à travers T-Bird Murphy, les ghettos sombres et dangereux d'Oakland, ville située en face de San-Francisco, où les pauvres blancs comme lui sont rejetés de la société.
L'écriture de l'auteur m'a beaucoup dérangé au point que je n'ai pas réussi à terminer ce livre : je me suis arrêtée à la moitié. Pour cause, il y a beaucoup trop de vulgarités : pratiquement à toutes les pages, on est aussi parfois insulté et même si cela colle à la vie de rue d'Oakland, je n'ai pas du tout été touché par ce que vit le narrateur bref pour moi c'est loin d'être un bel ouvrage.
Donc un conseil, si vous êtes comme moi, que vous aimez la belle littérature : passez votre chemin !
L'écriture de l'auteur m'a beaucoup dérangé au point que je n'ai pas réussi à terminer ce livre : je me suis arrêtée à la moitié. Pour cause, il y a beaucoup trop de vulgarités : pratiquement à toutes les pages, on est aussi parfois insulté et même si cela colle à la vie de rue d'Oakland, je n'ai pas du tout été touché par ce que vit le narrateur bref pour moi c'est loin d'être un bel ouvrage.
Donc un conseil, si vous êtes comme moi, que vous aimez la belle littérature : passez votre chemin !