Mort aux cons
Éditions Le Livre de Poche de 2009, 409 pages
Quatrième de couverture :
"Contrairement à l'idée répandue, les cons ne sont pas réformables.
Une seule chose peut les amener non pas à changer, mais du moins à se tenir tranquilles : la peur. Je veux qu'ils sachent que le temps de l'impunité est révolu. Je compte à mon actif cent quarante meurtres de cons. Afin qu'ils ne soient pas morts pour rien, je vous enjoins de lire ce manifeste. Il explique le sens véritable de mon combat." Qui n'a jamais rêvé de tuer son voisin le dimanche matin quand il vous réveille à coups de perceuse ? Ou d'envoyer dans le décor l'automobiliste qui vous serre de trop près ? Mais passé les premiers meurtres d'humeur qui le débarrassent des cons de son entourage, le héros prend peu à peu conscience de l'ampleur de sa mission.
Carl Aderhold nous livre ici son premier roman.
Une seule chose peut les amener non pas à changer, mais du moins à se tenir tranquilles : la peur. Je veux qu'ils sachent que le temps de l'impunité est révolu. Je compte à mon actif cent quarante meurtres de cons. Afin qu'ils ne soient pas morts pour rien, je vous enjoins de lire ce manifeste. Il explique le sens véritable de mon combat." Qui n'a jamais rêvé de tuer son voisin le dimanche matin quand il vous réveille à coups de perceuse ? Ou d'envoyer dans le décor l'automobiliste qui vous serre de trop près ? Mais passé les premiers meurtres d'humeur qui le débarrassent des cons de son entourage, le héros prend peu à peu conscience de l'ampleur de sa mission.
Carl Aderhold nous livre ici son premier roman.
Mon avis :
A travers ce roman, on se prend au jeu dans le combat de notre narrateur, c'est une sorte de vengeance à tous les cons qui empoissonnent sa vie. En plus des passages assez drôle, j'ai apprécié le faite que notre héros nous explique ses critères de recherche et ce qui le pousse à agir dans chaque contextes, ceci nous permet de suivre son évolution dans sa théorie.
Bref, c'est un roman qui se lit assez facilement grâce à une écriture fluide et un bon rythme, sans oublier un bon humour noir comme j'aime et une chute à la hauteur.
Pour finir, je dirai que l'auteur a un petit côté philosophique dans sa façon d'écrire, ainsi je trouve que pour un premier livre, c'est assez prometteur.
Bref, c'est un roman qui se lit assez facilement grâce à une écriture fluide et un bon rythme, sans oublier un bon humour noir comme j'aime et une chute à la hauteur.
Pour finir, je dirai que l'auteur a un petit côté philosophique dans sa façon d'écrire, ainsi je trouve que pour un premier livre, c'est assez prometteur.