L'OGRE DE LA COURONNE
littérature jeunesse
204 pages édité par les 400 coups en avril 2009
Quatrième de Couverture :
Paris, avril 1900. Alors que l'Exposition Universelle est sur le point d'ouvrir ses portes, un tueur s'en prend aux jeunes femmes des quartiers populaires. Surnommé "l'Ogre" par les journaux, l'assassin fait trembler la capitale. Pierrot, qui ne sait pas lire, n'a guère lieu de s'en préoccuper. Vivant de rapines, cet orphelin, livré à lui-même, ne reconnaît aucune autorité : la rue est son domaine, son école, son garde-manger. En dehors de Goupil et du Verveur, ses comparses, il n'a d'autre amie que Blandine, la jolie lavandière dont il est amoureux.
Mais bientôt, Pierrot se retrouve presque malgré lui sur la piste de l'Ogre. Car Blandine pourrait bien être la prochaine victime ...
mon ressenti
si l'histoire en elle-même est plutôt simple et peu crédible (n'oublions pas que c'est un livre pour jeunes ados), la vie des laissés pour compte, dans le Paris de l'année 1900, est plutôt bien évoquée, en partie grâce à l'utilisation de l'argot (pas trop, pour que ce soit compréhensible, mais suffisamment pour colorer le récit).
littérature jeunesse
204 pages édité par les 400 coups en avril 2009
Quatrième de Couverture :
Paris, avril 1900. Alors que l'Exposition Universelle est sur le point d'ouvrir ses portes, un tueur s'en prend aux jeunes femmes des quartiers populaires. Surnommé "l'Ogre" par les journaux, l'assassin fait trembler la capitale. Pierrot, qui ne sait pas lire, n'a guère lieu de s'en préoccuper. Vivant de rapines, cet orphelin, livré à lui-même, ne reconnaît aucune autorité : la rue est son domaine, son école, son garde-manger. En dehors de Goupil et du Verveur, ses comparses, il n'a d'autre amie que Blandine, la jolie lavandière dont il est amoureux.
Mais bientôt, Pierrot se retrouve presque malgré lui sur la piste de l'Ogre. Car Blandine pourrait bien être la prochaine victime ...
mon ressenti
si l'histoire en elle-même est plutôt simple et peu crédible (n'oublions pas que c'est un livre pour jeunes ados), la vie des laissés pour compte, dans le Paris de l'année 1900, est plutôt bien évoquée, en partie grâce à l'utilisation de l'argot (pas trop, pour que ce soit compréhensible, mais suffisamment pour colorer le récit).