Snoopy, tome 17 : Noël blanc.
édition Dargaud – 49 pages.
Mon résumé :
Retrouvez Snoopy, le chien philosophe et tous ses amis dans cette célébration de Noël – mais pas seulement.
Mon avis :
Ce fut un vrai plaisir pour moi de retrouver ses personnages que j’avais perdu de vue depuis…. fort fort longtemps. Après deux ans et demi de blog ce n’est que cette année que j’ai publié ma première chronique BD. Même, je ne me souvenais plus de certains personnages. Je ne vous parle pas de Snoopy, bien sûr, non, je vous parlerai plutôt de Marcie, l’intellectuelle de la bande et de sa meilleur amie Pastille de menthe. Celle-ci, aux allures de garçon manqué, a de grandes difficultés pour se concentrer en classe, est une grande sportive, à la différence de Charlie Brown, toujours malchanceux en sport ou de Lucy Van Pelt, dont les excuses pour avoir raté la balle sont proprement hilarantes.
Je ne me souvenais plus non plus que Snoopy avait des frères. Ici, nous découvrons Olaf, très différent de son aîné. Je ne vous en dirai pas plus. En revanche, Snoopy est toujours proche du cher Woodstock, il aime toujours dormir sur le toit de sa niche, et se plaint si jamais le repas est servi avec quelques secondes de retard.
En revanche, je m’attendais à ce que le thème de Noël soit un peu plus développé. C’est le seul bémol que j’apporterai à la lecture de cette bande dessinée.
édition Dargaud – 49 pages.
Mon résumé :
Retrouvez Snoopy, le chien philosophe et tous ses amis dans cette célébration de Noël – mais pas seulement.
Mon avis :
Ce fut un vrai plaisir pour moi de retrouver ses personnages que j’avais perdu de vue depuis…. fort fort longtemps. Après deux ans et demi de blog ce n’est que cette année que j’ai publié ma première chronique BD. Même, je ne me souvenais plus de certains personnages. Je ne vous parle pas de Snoopy, bien sûr, non, je vous parlerai plutôt de Marcie, l’intellectuelle de la bande et de sa meilleur amie Pastille de menthe. Celle-ci, aux allures de garçon manqué, a de grandes difficultés pour se concentrer en classe, est une grande sportive, à la différence de Charlie Brown, toujours malchanceux en sport ou de Lucy Van Pelt, dont les excuses pour avoir raté la balle sont proprement hilarantes.
Je ne me souvenais plus non plus que Snoopy avait des frères. Ici, nous découvrons Olaf, très différent de son aîné. Je ne vous en dirai pas plus. En revanche, Snoopy est toujours proche du cher Woodstock, il aime toujours dormir sur le toit de sa niche, et se plaint si jamais le repas est servi avec quelques secondes de retard.
En revanche, je m’attendais à ce que le thème de Noël soit un peu plus développé. C’est le seul bémol que j’apporterai à la lecture de cette bande dessinée.