Les Cavaliers
590 pages
édité chez Gallimard en avril 1982, en poche chez Folio
Résumé :
Kessel a situé en Afghanistan une des aventures les plus belles et les plus féroces qu'il nous ait contées. Les personnages atteignent une dimension épique : Ouroz et sa longue marche au bout de l'enfer... Le grand Toursène fidèle à sa légende de tchopendoz toujours victorieux... Mokkhi, le bon sais, au destin inversé par la haine et la découverte de la femme... Zéré qui dans l'humiliation efface les souillures d'une misère qui date de l'origine des temps... Et puis l'inoubliable Guardi Guedj, le conteur centenaire à qui son peuple a donné le plus beau des noms : «Aïeul de tout le monde»... Enfin, Jehol «le Cheval Fou», dont la présence tutélaire et «humaine» plane sur cette chanson de geste... Ils sont de chair les héros des Cavaliers, avec leurs sentiments abrupts et du mythe les anime et nourrit le roman.
Mon avis :
Cela n'a pas été un coup de coeur du tout, j'ai trouvé ce livre très long et très compliqué. J'ai néanmoins découvert un nouveau pays avec de nouvelles coutumes. Les chapitres sont très bien decoupés. J'ai mis très longtemps à le lire et j'ai eu des difficultés peut - être à cause de l'édition (la façon dont été écrit le roman), mais j'ai eu beaucoup de mal à le lire. C'est toutefois une belle fable, donc j'ai aimé mais sans plus.
590 pages
édité chez Gallimard en avril 1982, en poche chez Folio
Résumé :
Kessel a situé en Afghanistan une des aventures les plus belles et les plus féroces qu'il nous ait contées. Les personnages atteignent une dimension épique : Ouroz et sa longue marche au bout de l'enfer... Le grand Toursène fidèle à sa légende de tchopendoz toujours victorieux... Mokkhi, le bon sais, au destin inversé par la haine et la découverte de la femme... Zéré qui dans l'humiliation efface les souillures d'une misère qui date de l'origine des temps... Et puis l'inoubliable Guardi Guedj, le conteur centenaire à qui son peuple a donné le plus beau des noms : «Aïeul de tout le monde»... Enfin, Jehol «le Cheval Fou», dont la présence tutélaire et «humaine» plane sur cette chanson de geste... Ils sont de chair les héros des Cavaliers, avec leurs sentiments abrupts et du mythe les anime et nourrit le roman.
Mon avis :
Cela n'a pas été un coup de coeur du tout, j'ai trouvé ce livre très long et très compliqué. J'ai néanmoins découvert un nouveau pays avec de nouvelles coutumes. Les chapitres sont très bien decoupés. J'ai mis très longtemps à le lire et j'ai eu des difficultés peut - être à cause de l'édition (la façon dont été écrit le roman), mais j'ai eu beaucoup de mal à le lire. C'est toutefois une belle fable, donc j'ai aimé mais sans plus.