L’OMBRE DE L'OISEAU LYRE d’Ibanès Andréa
Sf conte, édité au Diable Vauvert en septembre 2006
532 pages
Résumé
Qui est réellement Adénar ? Le prince qu'il prétend être, ou un pauvre fou aux souvenirs troublés ? Sa quête aventureuse va le conduire à rencontrer un milliardaire de quatorze ans et autres personnages extravagants, et à pénétrer les mystères du vieux palais Turpestis, jusqu'à découvrir le secret de la cité de Floria...
Dans ce roman envoûtant, où les fées croisent des psychiatres, où les mages rencontrent des fonctionnaires kafkaïens, où les alchimistes fréquentent des clubs anglais, Andrés Ibañez mêle l'univers des contes au récit fantastique et à la science-fiction, pour rendre un magnifique hommage à la littérature et au merveilleux.
Mon ressenti
Ce livre est un conte alliant SF, fantasy. L’ensemble est couvert de merveilleux et d’inventivité. Je me suis laissée emportée par ces univers fantastiques. C’est avec Adénar d’abord que j’ai fait connaissance de son monde : un monde où l’écriture et les livres n’existent pas… mais ils ont leur jardin de mémoire qu’ils peuvent consulter à tout moment. Imaginez, un album photo reproduisant les odeurs, les sons, les mots, l’émotion, les mouvements et qui est dans votre tête ! Vous pouvez le regarder en méditant ou le projeter sur votre mur… toujours dans leur univers, tout le monde est d’égal humeur et toujours heureux. La paix règne et que ce soit animaux, fleurs ou humains, tout le monde communique ensemble.
Malgré ce monde idyllique, ce cher Adénar s’ennuie, il est triste. C’est la stupeur pour tous. Les sorciers et magiciens appelés détectent un mal étrange, il a perdu « son âme », son double, il doit le récupérer, sinon….
Autre monde, alors… mais celui-ci m’est plus connu car il ressemble un peu beaucoup au notre : apprentissage, écriture, livre, mécontentement, refus… mais il manque quelque chose. Les gens ne semblent pas si libres que cela…
La dualité de ces deux univers rappelle notre propre dualité interne (ce que je suis et ce que je montre à l’autre, le noir et le blanc) sous couvert de magie, chaque personnage est un écho à notre personnalité. Notre enrichissement et notre épanouissement, se font dans l’apprentissage des nuances.
C’est une invitation au rêve, à la poésie. Il n’y a plus qu’à se laisser porter comme une histoire que l’on vous raconte. Installez-vous confortablement et partez à la découverte de cet oiseau lyre.
C’est un coup de cœur pour moi, j’espère qu’il en sera de même pour vous.
Sf conte, édité au Diable Vauvert en septembre 2006
532 pages
Résumé
Qui est réellement Adénar ? Le prince qu'il prétend être, ou un pauvre fou aux souvenirs troublés ? Sa quête aventureuse va le conduire à rencontrer un milliardaire de quatorze ans et autres personnages extravagants, et à pénétrer les mystères du vieux palais Turpestis, jusqu'à découvrir le secret de la cité de Floria...
Dans ce roman envoûtant, où les fées croisent des psychiatres, où les mages rencontrent des fonctionnaires kafkaïens, où les alchimistes fréquentent des clubs anglais, Andrés Ibañez mêle l'univers des contes au récit fantastique et à la science-fiction, pour rendre un magnifique hommage à la littérature et au merveilleux.
Mon ressenti
Ce livre est un conte alliant SF, fantasy. L’ensemble est couvert de merveilleux et d’inventivité. Je me suis laissée emportée par ces univers fantastiques. C’est avec Adénar d’abord que j’ai fait connaissance de son monde : un monde où l’écriture et les livres n’existent pas… mais ils ont leur jardin de mémoire qu’ils peuvent consulter à tout moment. Imaginez, un album photo reproduisant les odeurs, les sons, les mots, l’émotion, les mouvements et qui est dans votre tête ! Vous pouvez le regarder en méditant ou le projeter sur votre mur… toujours dans leur univers, tout le monde est d’égal humeur et toujours heureux. La paix règne et que ce soit animaux, fleurs ou humains, tout le monde communique ensemble.
Malgré ce monde idyllique, ce cher Adénar s’ennuie, il est triste. C’est la stupeur pour tous. Les sorciers et magiciens appelés détectent un mal étrange, il a perdu « son âme », son double, il doit le récupérer, sinon….
Autre monde, alors… mais celui-ci m’est plus connu car il ressemble un peu beaucoup au notre : apprentissage, écriture, livre, mécontentement, refus… mais il manque quelque chose. Les gens ne semblent pas si libres que cela…
La dualité de ces deux univers rappelle notre propre dualité interne (ce que je suis et ce que je montre à l’autre, le noir et le blanc) sous couvert de magie, chaque personnage est un écho à notre personnalité. Notre enrichissement et notre épanouissement, se font dans l’apprentissage des nuances.
C’est une invitation au rêve, à la poésie. Il n’y a plus qu’à se laisser porter comme une histoire que l’on vous raconte. Installez-vous confortablement et partez à la découverte de cet oiseau lyre.
C’est un coup de cœur pour moi, j’espère qu’il en sera de même pour vous.