BRINS DE ZINC
Saynètes, édité chez le serpent à plume en janvier 2007
120 pages
Résumé
Toutes ces histoires sont rigoureusement authentiques. Certaines paraîtront donc incroyables. La plupart sont datées et localisées. Cela répond à un besoin que l'on a eu de rappeler une évidence : ce qui est pris sur le vif s'évanouit dans le néant, mais, en même temps, les images les plus fugaces sont souvent celles qui s'accrochent le mieux à notre mémoire. Nous sommes faits de cette mosaïque dérisoire autant que de nos projets grandioses. Quant au ridicule, il guette chacun d'entre nous et nous invite donc à la compassion vis-à-vis d'autrui. Et quant à la sagesse, pour ceux qui en rêvent encore, elle commence par savoir rire de soi. Quant à ce recueil, on voudrait qu'il tombe, page par page, comme un joyeux goutte-à-goutte. Y a-t-il des volontaires pour la perfusion ? Un étonnant florilège de vignettes comme autant de brèves de comptoir recueillies par l'auteur du Voyage de Monsieur Raminet.
Mon ressenti
Ces différentes saynètes racontent des tranches de vie, prises au hasard dans les bars, un peu de la même façon que les brèves de comptoir.
Je ne suis pas une fan du genre en soi. Cela se lit facilement et rapidement. Je pense pour ma part que le côté visuel joue beaucoup. Le côté papier pour le coup n’est peut-être pas judicieux pour ce format.
Petites histoires drôles parfois, étonnantes, idiotes pour d’autres nous rappellent que nous pouvons tous à un moment donné être dans des positionnements ou postures que d’autres jugeront complètement décalés. En tout cas, j’ai apprécié le sens de l’observation de l’auteur.
Saynètes, édité chez le serpent à plume en janvier 2007
120 pages
Résumé
Toutes ces histoires sont rigoureusement authentiques. Certaines paraîtront donc incroyables. La plupart sont datées et localisées. Cela répond à un besoin que l'on a eu de rappeler une évidence : ce qui est pris sur le vif s'évanouit dans le néant, mais, en même temps, les images les plus fugaces sont souvent celles qui s'accrochent le mieux à notre mémoire. Nous sommes faits de cette mosaïque dérisoire autant que de nos projets grandioses. Quant au ridicule, il guette chacun d'entre nous et nous invite donc à la compassion vis-à-vis d'autrui. Et quant à la sagesse, pour ceux qui en rêvent encore, elle commence par savoir rire de soi. Quant à ce recueil, on voudrait qu'il tombe, page par page, comme un joyeux goutte-à-goutte. Y a-t-il des volontaires pour la perfusion ? Un étonnant florilège de vignettes comme autant de brèves de comptoir recueillies par l'auteur du Voyage de Monsieur Raminet.
Mon ressenti
Ces différentes saynètes racontent des tranches de vie, prises au hasard dans les bars, un peu de la même façon que les brèves de comptoir.
Je ne suis pas une fan du genre en soi. Cela se lit facilement et rapidement. Je pense pour ma part que le côté visuel joue beaucoup. Le côté papier pour le coup n’est peut-être pas judicieux pour ce format.
Petites histoires drôles parfois, étonnantes, idiotes pour d’autres nous rappellent que nous pouvons tous à un moment donné être dans des positionnements ou postures que d’autres jugeront complètement décalés. En tout cas, j’ai apprécié le sens de l’observation de l’auteur.